Si certaines oeuvres de street-art recouvrent dignement des murs de Lyon, la plupart des inscriptions réalisées en ville n’embellissent pas les quartiers.
C’est le cas des quais de Saône où les tags fleurissent par dizaines sur des kilomètres. Entre le pont Bonaparte qui relie le Vieux-Lyon à Bellecour, et la passerelle Saint-Vincent à hauteur de la Fresque des Lyonnais, le coût de nettoyage d'environ 700m2 de tags a été estimé par la collectivité à 55 000 euros.
La Métropole de Lyon ne compte pas mettre la main au portefeuille, d’autant que la position laxiste voire bienveillante des Verts face aux tagueurs favorise la recrudescence des dessins et inscriptions. La crainte non dévoilée serait de remettre en état les quais pour finalement devoir recommencer quelques semaines plus tard.
Pour contrer cette spirale qu’ils ont eux-mêmes créés, les écologistes envisagent de détaguer puis ensuite d’occuper l’espace en faisant réaliser à des artistes une grande fresque murale le long de la rivière. Sauf que les architectes des Bâtîments de France sont très pointilleux sur ce genre de rajout dans un secteur classé à l’UNESCO.
Alors en attendant de trouver la solution miracle, ou le chemin jusqu’à son portefeuille, la Métropole laissera les quais dans un état qui ne va faire qu’empirer.
De son côté, la Ville de Lyon met en avant l'argent dépensé depuis des mois, car à chaque passage de manifestations anti-réforme des retraites, des dizaines de tags revendicatifs ou insultants apparaissaient sur le parcours.
Il existe des peintures anti tags. Pourquoi ne pas les employer une fois pour toute ? Ça serait mieux que se laisser aller. La ville où lie que Lyon est aussi une destination touristique très prisée : quelle image de la ville veut on donner ?
Signaler Répondrepourquoi la mairie ne propose pas un emploi pour les étrangers sans papiers avec un salaire
Signaler Répondreje pense qu'il seront très motivé pour faire le nettoyage des tags et une opportunité pour les entreprises lyonnaise de trouvé des nouveaux salariés
parfait ! on laisse faire, puisque ça recommencera ! laissons Lyon se pourrir et laissons faire les saboteurs ! c’est comme se torcher le Q, ça sert à rien puisque ça recommence !
Signaler RépondreUne verbalisation active et efficace, en mettant une surveillance aux heures judicieuses et en taxant les biens de ces destructeurs de notre ville
Signaler RépondreHeureusement qu'il y a encore des voitures pour cacher l'état réel de ses quais. Il faudrait reprendre la vidéo avec aucune voiture pour prendre conscience de l'ampleur de la laideur de ces tags subventionnés par Doucet et sa bande de fou
Signaler RépondreJe propose qu'on fasse une cagnotte pour détaguer les quais de saone
Signaler RépondreJe me faisais la même réflexion, mais cela reviendrait à jouer au chat et à la souris avec des personnes qui commettent leurs méfaits en quelques secondes à peine, tout ça pour une sanction dérisoire.
Signaler RépondreContinuons à donner dans le laisser aller comme dans beaucoup d'autres sujets !
Signaler RépondrePour faire des pistes cyclables qui servent à rien dans plein d'endroits ils trouvent le pognon.
Signaler RépondrePar contre pour enlever les dégâts causés par leurs électeurs il n'y a plus personne.
Ils vont à tous les coups demander du pognon à Wauquiez ou Darmanin...
vite une immense fresque écosexuelle pour que Lundy Grampré puisse bénéficier d'une autre subvention des pastèques
Signaler RépondreY ont des sous pour mettrent des arceaux a vélo partout et n'importe où mais pas pour enlever des tags lol
Signaler RépondreEn 2000 .... en balade montée du gourguillon avec ma nièce agée de 6 ans,qui résidait à Londres, je lui raconte l'histoire de lyon et de ce passage piéton ancré dans l'histoire.
Signaler RépondreDéjà à l'époque des tags .... et ma nièce qui regarde et dis "ils étaient pas très propres les gens au moyen âge". La vérité sort de la bouche des enfants.
Je crains que 23 ans plus tard ces verrues visuelles n'étonnent plus les enfants, ca fait malheureusement partie du paysage dégradé par certains qui pensent que souiller des murs privés comme collectifs est le top de la revendication.
Et si les bombes de peinture avaient une taxe prohibitive collectée afin de financer le détagage ? ca limiterait les achats et financerait le détaguage. Nos élus adorent les taxes, en voilà une à étudier ....
Tout est dit de leur priorité et courage politique
Signaler RépondreLe travail engagé depuis trois ans porte ses fruits comme dirait l'autre !
Signaler RépondreLes cameras pour contrôler la zfe pas de problème pour controler les tags trop compliqué....
Signaler RépondreVite, une fresque apaisante.
Signaler RépondreJ'adore
Signaler Répondrele préfet de police devait se rendre sur l'espace Mazagran vendredi vers 16 h, vendredi à 9H la municipalité a fait effacer une partie des tags qui étaient présent depuis plusieurs mois coté rue Montesquieu.
Si ceux qui avaient commencé à taguer à l’époque avaient été condamnés à une grosse amende et l’Obligation de nettoyer leur mer de , il n’y aurait plus de tag , nulle par .
Signaler RépondreTags comme à Grenoble
Signaler RépondreUne subvention pour du street art avenir ?
Signaler RépondreVoilà où nous conduit le laxisme ou la volonté de détruire une culture enracinée !
Signaler RépondreUne honte, les saboteurs ont gagnés, les écologistes pourissent notre belle ville de Lyon par leur inaction, que l'UNESCO retire son attribution et que la honte a jamais marque au fer rouge EELV!
Signaler RépondreIl vaut mieux donner notre argent à des associations décérébrées avec des mecs a poil imitant un ver de terre....cette équipe de verts est pathétique !
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