Ce rassemblement avait pour but de « poursuivre la lutte contre le rejet des perfluorés et dénoncer leurs effets néfastes sur la santé et sur l’environnement » d’après l’association dans un communiqué de presse. Chaque année, le site de Pierre Bénite rejette 3,5 tonnes de perfluorés dans la nature qui "se retrouvent dans l’eau potable et les aliments que les habitants consomment au quotidien".
Au-delà des membres de l’association, deux élus et une conseillère régionale ont pris part au rassemblement pour dénoncer l’impact environnemental d’Arkema : "La scène de crime écologique est bien réelle."
Un référé pénal environnemental a été déposé le lundi 5 juin dans le but de "changer les modes de production et de mettre en œuvre les mesures nécessaires de dépollution afin de minimiser les risques sanitaires et environnementaux". Par ailleurs, Alternatiba demande également une grande clarté sur ces rejets de perfluorés : "Les citoyens qui ont été touchés par la pollution doivent être informés et dédommagés des préjudices qu’ils ont subis."
Et tu aurais voulu que la Métropole fasse quoi ?
Signaler RépondreMerci aux activistes de dénoncer ses actes malveillants de la part de ses industries peu scrupuleuses. merci d agir pour nous 👍
Signaler RépondreHeureusement qu'un journaliste a fait son travail d'investigation, il a permit de découvrir ce que cachent les industriels avec la complicité des politiciens. Remerciement à notre concitoyen Monsieur Martin Boudot.
Signaler RépondreArrêtez avec ça, il parait que le seul problème écologique c’est le gros dans son SUV (Copyright EELV-LFI)
Signaler RépondreCes écolos sont financés par POUTINE afin de couler la FRANCE
Signaler RépondreOh que non, les dégâts d'Arkema sont tout à fait actuels. Les 3,5 tonnes de PFAS qui partent dans le Rhône chaque année, c'est maintenant, pas y a 50 ans ! Et les conséquences, idem : on en retrouve dans le sang des riverains, dans les œufs des poules, dans le lait maternel.
Signaler RépondreLa chimie a quitté la France .
Signaler RépondreEt après on pleure que nous n avons plus de souveraineté .
Les dégâts d arkema datent des années 60 70 a cette époque personne ne s occupait des dégâts environnementaux ..il fallait reconstruire la France ,( idem le cas de l amiante )
Je déteste généralement ces gens qui manifestent pour un truc écolo à la c.. mais là ils ont raison, c'est impardonnable de la part d'Arkema, et de l'état, la région et la métropole qui ne font rien, le dernier étant uniquement occupé par ses pistes cyclables... Toujours pour ces derniers si la nature va et que les humains crèvent ça leur va.
Signaler Répondre« deux élus et une conseillère régionale ont pris part au rassemblement » encore cette extrême droite qui fait chier le monde.
Signaler RépondreTout aussi ridicule que les anti avortements avec leur autocollant sur les vélo'v
Signaler RépondreBref, les minorités dans toute leur splendeur
Tout est contrôlable on savait bref surtout 'e pas bouger..les écolos sont des réactionnaires radicaux ...trop de pouvoir politique
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