C'est le grand projet concret des écologistes pour tenter d'être réélus : la transformation de la rive droite du Rhône. "La Rive Droite, c'est un cadeau que l'on fait à tous les usagers de la Presqu'île", promet Raphaël Michaud. L'adjoint au maire de Lyon annonce "une grande promenade de 2,5 kilomètres avec des espaces de fraîcheur, de nature et de repos pour tous les Lyonnais et Grands Lyonnais".
Aujourd'hui, 80 000 véhicules circulent quotidiennement sur la rive droite. Demain, il n'y aura plus que trois voies. Si on pouvait s'attendre à un blocage des voitures d'ici la fin du chantier, les Verts ont décidé de le faire dès le premier coup de pioche : "La vraie révolution aura lieu dès 2025. On va tout de suite retrouver plus de calme, plus de qualité de l'air".
Raphaël Michaud veut ainsi permettre qu'on "retrouve le contact entre les Lyonnais et leur fleuve", et imagine des baignades rendues possibles avec un "système d'eau douce immergé dans le fleuve".
Les Coulisses du Grand Lyon sont à retrouver tous les jours à 12h sur LyonMag.com et sur la chaîne Youtube de LyonMag.
00:00 Rive Droite
09:20 Crise du logement
Une vraie secte!
Signaler RépondreC'est un cadeau que l'on fait à tous les usagers
Signaler RépondreEncore un qui est généreux avec l'argent des autres !!!
Méthode Coué et dogmatisme
Signaler RépondreElle est bonne celle la "système d'eau douce immergé dans le fleuve". Le Rhône serait un fleuve salin ! . Rive droite il faut faire comme à Daytona Beach ou il faut payer un péage pour rouler sur la plage .
Signaler RépondreLa qualité de vie, c'est pas du farniente...
Signaler RépondreComme souvent avec les écolos pas besoin d'études d'impact, il suffit d'appliquer aveuglément les dogmes du parti quel que soit les circonstances. 🙈🙉🙊
Signaler RépondreLa promenade c'est bien, mais il ne faut pas oublier les nécessités de la vie: le travail, les déplacements, et toutes les activités en général.
Signaler RépondreLes voitures qui transitent tous les jours pas le centre ville, le font rarement par choix ou par plaisir.
Une ville qui érige la farniente en valeur cardinale ne peut que mourir.
Enfin le choix des mots est maladroit: "...c'est un cadeau que l'on fait à tous les usagers...". Non ce n'est pas un "cadeau", mais un investissement d'argent public, donc payé par tous.