Lyon a son lot presque quotidien de faits divers sordides et de protagonistes inquiétants. Le corps découpé et caché dans les canalisations à Saint-Priest, la traque du violeur du 8e, le meurtre impuni de Mohamed Abdelhadi à Villefranche-sur-Saône... Autant de crimes qui sont encore frais dans nos têtes. Mais l'agglomération lyonnaise a toujours eu une histoire sanglante, avec même des premières mondiales.Récit estival des pires figures du crime entre Rhône et Saône, pour tuer le temps pendant les vacances.
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Au sommaire de ce numéro 192 (juillet-août 2023) :
- Le premier serial-killer français était lyonnais – L'histoire de Martin Dumollard et 8 autres récits d'assassins
- Rive droite : et si l'avenir de Lyon se jouait en bord de Rhône ? - les Verts sont prêts pour leur grand projet
- La lutte contre le harcèlement de rue est-elle efficace ? - la communication des autorités et des élus est-elle vraiment suivie des faits ?
- Lundy Grandpré et contes lus par des drag-queens : qui allume les mèches ? - retour sur des polémiques inutiles
- Lyon Femmes : L'été des Lyonnaises - leurs bonnes adresses pour vos vacances à Lyon
- Cinq destinations à moins de 3 heures de Lyon - s'évader a du bon
- Lyon Restaurants : rencontre avec le chef Guillaume Mallet – L'Etage offre une expérience gourmande place des Terreaux
- Lyon Foot : Le foot freestyle veut sa place aux Jeux Olympiques - Nos Lyonnais ont du talent
Emile Louis, Francis Heaulme, Michel Fourniret, Norhal Lelandais.
Signaler RépondreEnfin un secteur d' activité enraciné ou les patriotes résistent au grand remplacement et au globalisme.
le pauvre Lacassagne doit se retourner dans sa tombe en regardant les bobos écolos refuser la réalité des crimes en France
Signaler RépondrePour Grenoble, un certain Piolle (enfin d'après Reconquête, LR et les lecteurs de LyonMag qui affirment en cœur qu' il mange des bébés chaque matin)
Signaler RépondreSaint-Etienne, ils ont eu Chanal. Grenoble, je sais pas.
Signaler RépondreC'est qui le premier couillon de lyon si ce n'est toi, de pas savoir lire un article ou un sujet sur lyonmag
Signaler RépondreTrès intéressant l'article ,alors c'est pas une légende de la femme morte ⁉️
"Le premier serial-killer français était lyonnais"
Signaler RépondreÇa ne m'étonne pas.
Il suffit de lire l’article complètement, c’est Martin Dumollard. Bravo LM pour le jeu de mot 😁
Signaler RépondreRécit estival des pires figures du crime entre Rhône et Saône, « pour tuer le temps » pendant les vacances.
Martin, Nordhal... On risque moins de croiser un serial killer en mangeant au Quick Hallal qu'en mangeant un tablier de sapeur.
Signaler RépondreDumollard cite notamment une jeune fille accompagnée du côté de Vénissieux en 1856 ou 1857, avant de se rétracter. Le corps d'une jeune fille est effectivement retrouvé dans ce voisinage, qui devient le lieu-dit de « La femme morte »
Signaler Répondrealors voila l'origine de la femme morte
Déjà le terme Serial Killer n'existait pas et l'existence de tels individus était fortement mise en doute par les criminologues de l'époque. Le premier Serial Killer "officiel" est Guy Georges, référencé SK1 dans les dossiers avant son identification. Il était déjà fiché sous son nom dans d'autres affaires mais les balbutiements de l'informatique appliquée à la criminologie ne permettaient pas de recouper les dossiers et de comparer les ADN... En fait ce terme Serial Killer est apparu en France quand enfin, les autorités françaises ont fini par admettre l'existence de tels individus sur la base des études criminalistiques américaines... Idem le profilage qui nous vient des US. Et donc, officiellement, le 1er Serial Killer français qualifié ainsi est Guy Georges.
Signaler Répondrec'est quoi le prénom des serial-killer lyonnais
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