Placé en redressement judiciaire, le groupe hospitalier mutualiste de Vénissieux espère trouver un repreneur d'ici le 15 septembre, date fixée par le tribunal à la demande de l'UMGEGL, qui gère le GHM de Vénissieux, ainsi que l'EHPAD La Solidage sur la même commune.
Dans un communiqué de presse, l'Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes se dédouane dans un premier temps, rappelant que dans le cas d'établissements privés, elle "n'est pas décisionnaire" et "ne dispose pas de pouvoir de tutelle à leur encontre et de compétences d'intervention dans leur gestion". Tout en rappelant avoir apporté un "important soutien financier (...) au cours des dernières années" aux Portes du Sud à travers une restauration des capacités financières ou une aide en trésorerie.
L'ARS entend toutefois "rester attentive au maintien de l'offre de soins dans le territoire".
"Soucieuse du maintien des activités de soins essentielles pour répondre aux besoins des habitants, sur un territoire fragile, l’ARS sera attentive aux offres des éventuels repreneurs et se tient à leur disposition dans le cadre de la procédure engagée pour envisager un éventuel soutien. Elle est en particulier prête à contribuer à la recherche d’une solution permettant de maintenir les activités de soins essentielles pour le territoire (médecine, maternité, urgences 24h/24h)", conclut l'ARS.
La fermeture programmée des Portes du Sud a déjà fait l'objet de mobilisations de la part du personnel de l'établissement comptant 317 lits.
Il ne manquerait plus que Mediapart se mêle de l'historique de gestion de la Mutualité du Rhône dès le rachat de la polyclinique des Minguettes , et sur les bilans comptables, sans parler de tout l'argent lâché dans les différents contentieux aux prud'hommes liés au fond à un management lamentable et méprisant sans foi ni lois!
Signaler Répondretout à fait les hospices ont refusé de coopérer avec l privé, gué guerre d un autre âge ……!!!
Signaler RépondrePendant le covid, les urgences des hospices débordaient, les réanimations étaient saturées, les patients mouraient faute de soin. Mais la réa et les soins continus des Portes du Sud étaient quasi vides. Les blocs opératoires étaient à l'arrêt et la clinique attendait désespérément que les HCL accepte de leur muter certains patients.
Signaler RépondreIl faudrait peut-être aussi aller voir de ce côté pour comprendre le fiasco financier de cet établissement.
tout à fait, il faut fermer ces ARS ou les technocrates se multiplient à grande vitesse…..!!!
Signaler RépondreY aurait-il un repreneur pour l'ARS régionale, dont les membres vivant de l'argent public ont prouvé qu'ils agissent contre le public ?
Signaler Répondresupprimons les administratifs plethoriques des ARS et utilisons l'argent libéré pour les unités de soins
Signaler RépondreLa maladie, la souffrance,la vieillesse .la mort ...sont une source d'enrichissement pour les capitalistes qui savent investir...
Signaler RépondreIls vont bien en trouver s'il y a du fric à se faire...
Ou des américains après la vente de l'OL ;-)
Signaler RépondreLe Quatar après la vente de mbappe
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