La Métropole de Lyon va-t-elle être déjà réformée ? Etienne Blanc et Alexandre Vincendet portent un projet de loi pour revenir à une configuration plus proche de celle du Grand Lyon.
Pour David Kimelfeld, qui fut président de la Métropole, "Etienne Blanc a entièrement raison sur le diagnostic. Mais je ne suis pas d'accord sur le remède. D'abord parce que cette loi ne verra jamais le jour. Et c'est une forme de retour en arrière, de déficit démocratique. On serait la seule collectivité avec un certain nombre de compétences où les habitants ne choisiraient pas leurs représentants".
L'ancien maire du 4e arrondissement estime que "dans le cadre de la loi actuelle", il faudrait "renforcer la présence des maires et leur déléguer un certain nombre de compétences comme la propreté et le RSA".
David Kimelfeld trouve que les difficultés actuelles sont aussi du fait du comportement des écologistes, et notamment du vice-président Fabien Bagnon : "Il faut que Bruno Bernard reprenne en main son exécutif".
Dans les couloirs du pouvoir, on murmure qu'un ticket se prépare pour 2026 : David Kimelfeld à la mairie de Lyon et Alexandre Vincendet à la Métropole. "Peu plausible", selon l'intéressé, qui dit d'abord vouloir "rassembler dans (son) camp".
Les Coulisses du Grand Lyon sont à retrouver tous les jours à 12h sur LyonMag.com et sur la chaîne Youtube de LyonMag.
00:00 Réformer la Métropole de Lyon ?
07:40 Un ticket Kimelfeld/Vincendet ?
08:53 Les Progressistes
10:00 Fin de la guerre avec Gérard Collomb
10:44 Elections européennes
Il a raison.
Signaler RépondreRevenir à une instance comme l'était le Grand Lyon (ou la COURLY pour les plus anciens), c'est redonner la parole aux maires et aux habitants.
La Métropole de Lyon est une expérimentation (élection du conseil au suffrage universel, regroupement des compétences du département et de la communauté de communes) qui devait s'étendre partout en France.
Résultat : aucune autre agglo n'a voulu de ce modèle, c'est significatif de l'échec.
Il y a une différence entre "changer d'avis" et être opportuniste.
Signaler RépondreIls donnent aux français l’envie de révolution !!
Signaler RépondreC’est juste un Politicien comme tous les autres , qui ne bosse Que pour lui et ses indemnités indécentes .
Signaler RépondreDavid kimelfeld, lors des dernières élections métropolitaines, a fait dans le clientélisme pour tenter de se faire élire sans se soucier des dangers occasionnés. Ce type est un fléau mais tout se paie un jour.
Signaler RépondreComme disait Judas , tu as trahi un jour tu trahiras toujours .
Signaler RépondreEn conséquence ...bonne continuation KIM ....mais pas à Lyon .
Ite missa est
Et comment faites-vous pour évaluer un élu tous les 3 mois, alors que les politiques publiques et les projets nécessitent plusieurs années pour être conçus et financés puis votés puis mis en œuvre ?
Signaler RépondreIl y a des élections pour cela tous les 5-6 ans, il suffit d'aller voter pour sanctionner les sortants si jamais on n'est pas satisfait de leur bilan.
METROPOLEXIT. Il faut virer toutes ces sangsues politiques qui n'ont qu'un but se faire du pognon sur le dos des habitants et quand il en manque on augmente les taxes et impots.
Signaler RépondreKIM est un vrai écolo qui quand il reviendra aux affaires saura prendre les bonnes mesures pour l'environnement , pas comme les verts qui à part le vélo ne sont pas à la hauteur
Signaler RépondreC'est l illustration que seuls les cons ne changent pas d'avis ...
Signaler Répondreet ça l arrange ...encore une fois .
Situation qui convient parfaitement à la majorité métropolitaine actuelle vu qu'elle a réussi à être élue dans ces conditions.
Signaler RépondreDes politiciens, maires et autres fonctionnaires improductifs et corrompus qui cultivent le mensonge , NE FONT PLUS RÊVER les FRANÇAIS qui ne Votent PLUS ..
Signaler RépondreCe qui importe, c'est de se débrasser de cette secte écolo totalitaire incapable de diriger cette métropole avec la moindre ouverture, que du militantisme. Il faut le retour de responsables progressistes républicains pour reprendre les commandes (peu importe le parti) pour redonner des perspectives et redonner de l'élan.
Signaler RépondreChaque commune reprend ses billes et se dém....rde.................................
Signaler RépondreDifficile à suivre ! Il veut simplement retrouver son siège.
Signaler RépondreJe rajoute mandat révocable tous les trois mois après évaluation. Si l'élu ne fait pas le boulot correctement, il dégage. Ca va vite calmer les opportunistes aux dents longues dépourvus de sens de l'honneur comme illustré ci-dessus.
Signaler RépondreMoi je propose : reconduction automatique sauf dépôt d'une mention de défiance posée par un comité révocatoire populaire basée sur la signature authentifiée de 3,5 millions de citoyens de la métropole,
Signaler RépondreIl faut absolument encadrer cette révocation par des conditions. Exemple : 1) Lorsque l'élu est mis en examen, ou subit toute procédure judiciaire mettant en cause sa probité 2) Lorsqu'une moitié du mandat est écoulé 3) La révocation est effective si le nombre de voix obtenue pour celle-ci est au moins égale (à un % près ?) au nombre de voix qui l'ont élu.
Pour éviter le déstabilisation des institutions, je crois qu'il est sage de laisser au moins 6 ou 12 mois de travail à un élu, avant de pouvoir faire un bilan sérieux de son travail et de pouvoir éventuellement demander la révocation d'un élu pour faute.
Mais ATTENTION, l
a révocation n’est pas faite pour intervenir sur les politiques menées par un élu mais pour destituer cet élu s’il ne respectait pas la voix du peuple, qu’elle soit exprimée par référendum ou par voix électorale. En effet, en cas de manquement d’un élu, d’autres référendums existent avant de prendre une telle décision. Tel que le référendum abrogatoire, constitutionnel ou législatif, ceci bien sûr, sans oublier les interventions possible sur les traités. On voit bien ici, que le référendum d’initiative citoyenne, ne peut ce faire qu’en toutes matières, (traités y compris), afin de répondre à tous types de situations, en évitant ainsi de déstabiliser les institutions par des révocations excessives et répétitives. La révocation est donc le garant ultime du respect de la démocratie, en cas de manquement graves aux institutions et à la volonté du peuple. La révocation est donc par ce fait limité dans son action et passe après avoir usé des autres voies référendaires.
J'ajouterai que dans les entreprises on ne licencie pas dès le premier manque de résultat, sauf quand le résultat est l'objet même du contrat. L'employeur assume une grande part de la responsabilité, les électeurs doivent aussi le faire. Mais comme l'employeur convoque son salarié pour exprimer son mécontentement et redresser la barre, ma proposition de rencontres tel que je l'ai présentée serait similaire. A l'inverse, je n'admets pas le discours de certains députés LREM, qui sont propriétaires de leur mandat pour 5 ans. Je comprends bien qu'après l'élection de Macron ils se sont défoncés pour être acceptés par le nouveau parti comme candidats à la députation, ils se sont ensuite défoncés pour être élus, beaucoup ont dû se former à ce nouveau métier, ils sont aussi menacés s'ils ne sont pas obéissants : leur sentiment est compréhensible mais pas admissible pour autant. Mais cela ne justifierait aucunement leur révocation.
Quel hypocrite ! Maintenant qu'il n'est plus président de la métropole il faudrait donner plus de pouvoir aux maires évidemment !
Signaler RépondrePuisque c’est l’heure des propositions, en voici 7 pour parachever la logique d’une métropole plus démocratique (et plus efficace ) !
Signaler RépondreUne circonscription unique
Un seul tour
La prime majoritaire ramenée à 25%
Les élections métropolitaines un mois avant les municipales
Le plafond de campagne aligné sur celui des municipales
Incompatibilité du mandat métropolitain avec mandat municipal
Les citoyens européens électeurs et éligibles à l’élection métropolitaine