Je m’explique.
Il y a une vingtaine d’années, un groupe mutualiste voulait construire un hôpital dans le sud-est lyonnais. Un terrain vague en limite d’une rocade a été vendu et l'hôpital des Portes du Sud s’est installé entre les Minguettes, Saint-Fons et Feyzin.
Malins, les dirigeants de cet organisme mutualiste ont demandé des garanties d’emprunts aux mairies et à la Métropole de Lyon pour diminuer leur frais bancaires. Les collectivités se sont vite engagées à payer à la place de l'hôpital si celui-ci avait des difficultés financières. Un hôpital, géré par des gentils mutualistes, ça ne peut pas faire faillite…
Eh bien si ! L’UMGEGL (pour Union mutualiste de gestion des établissements du Grand Lyon - si quelqu’un comprend quelque chose au monde mutualiste, qu’il me fasse signe) vient de faire une demande de placement en redressement judiciaire.
Plus d’argent dans les caisses donc plus de remboursement des emprunts. Et comme un banquier s’arrange pour ne jamais perdre d’argent, ce sont les mairies et la Métropole qui vont être obligés de payer à la place de l'hôpital. Oh, une broutille, il y en aurait pour une dizaine de millions d’euros… C’est pas grave, c’est l’argent du contribuable !
Mais pourquoi cet hôpital a fait faillite ? Les gentils mutualistes arrivent pourtant à en gérer d’autres sans trop de pertes... La réponse est simple : la quasi totalité des patients de cet hôpital viennent des quartiers environnants où on a concentré tous les pauvres, tous les étrangers, tous les psychotiques… Résultat : un personnel soignant usé, violenté, souvent en arrêt maladie, et des factures jamais payées.
C'est tellement connoté Vénissieux que les enfants à la maternité naissent officiellement à Feyzin pour pas porter la croix de la réputation sur les papiers d'identité...
La réputation méritée fait fuir le recrutement de médecins et du personnel de santé.
Personne ne fera le lien entre les millions d’euros dépensés pour renflouer les caisses d’un hôpital en faillite et la ségrégation organisée par les bailleurs sociaux, les mairies, la métropole, l'Education nationale et l'État. Personne car au bout du compte, tout le monde est prêt à payer pour concentrer cette population au même endroit et ne pas la voir. Qu'ils vivent cacher pour que l'on vive heureux !
Mais entre les émeutes, le séparatisme et les faillites d'hôpitaux, ça va commencer à faire cher…
Farid Ben Moussa
Conseiller municipal de Vénissieux
Une population d'origine étrangère, qui ne veut pas s'intégrer, c'est-à-dire qui refuse les règles, usages et coutumes du pays d'accueil, se ségrègue toute seule.
Signaler RépondreCette réalité est toujours mise sous le tapis pour ne pas froisser, et ne pas passer pour un xénophobe ou un raciste.
On en sortira jamais.
"tout le monde est prêt à payer pour concentrer cette population au même endroit et ne pas la voir. " C'est une blague?? ils sont partout dans Lyon, des logements sociaux il y en a partout , sans parler des 10% de social obligatoire dans chaque programme immo neuf.. conséquence , maintenant, des quartiers qui avant était calme, sont désormais invivables avec ces jeunes qui ne respectent rien, ni les habitants, ni l'environnement ni rien ! un fléau.
Signaler RépondreUne fois de plus , on victimise cette communauté.. Ils choisissent de vivre ensemble de ne pas se mélanger de vivre dans leur cité.. pourquoi il n'y a plus que cette communauté dans ces quartiers ? les autres arrivent bien à aller ailleurs.. Le problème n'est pas ces mutuelles/cliniques, le réél problème est cette communauté , qui ne veut pas travailler , ne respectent rien, profitent des aides, se plaint et sème le chaos où elle est .. Venisssieux , St Fons , vaulx en velin, duchère etc... ah cette communauté asiatique...
Signaler Répondrenous n avons pas les memes valeurs
Signaler Répondreçà marche dans les deux sens..une sorte de divorce pas forcement à l amiable
Signaler Répondreça coutera moins cher que les voies lyonnaises et ça sera plus utile.
Signaler RépondreCette désinformation.
Signaler RépondreEn réalité le communautarisme est choisi.
Cette population vie entre elle, se marie entre elle, et emménage entre elle.
Le vivre ensemble est encore moins souhaité par une population que vous essayez de victimiser.
Ce fantastique rigolo nous donne lui-même les raisons de la faillite
Signaler Répondre"Résultat : un personnel soignant usé, violenté, souvent en arrêt maladie, et des factures jamais payées."
et merveilleuse logique il propose comme solution d'etendre ce "savoir faire" local à toute la région
Les politiques de la ville pour les "quartiers prioritaires" ce sont aussi nos impôts, et pour quel résultat ?
Signaler RépondreLes personnels violentés dans cet hôpital, la faute à qui ? Sinon à ceux qui le fréquentent. Qu'ils apprennent les bases de la vie en société et le respect avant toute chose.