Cette dernière, qui donne le ton d'entrée avec son titre "Colonisation et apartheid israélien, quel avenir pour les Palestiniens ?", doit faire intervenir Maryam Abu Daqqa, membre influente du Front populaire de libération de la Palestine. Or, le FPLP est reconnu comme une organisation terroriste par l'Union européenne et les Etats-Unis.
Le Crif réclame l'annulation de la conférence hébergée par l'université lyonnaise et estime que la maintenir serait "une violation grave des valeurs de la République française, des principes de l’université et représente une offense envers la communauté juive".
Sollicitée par notre rédaction, l'Université Lyon II indique avoir reçu les organisateurs de la conférence pour leur rappeler "l’obligation de respecter ces règles (s'assurer de l'absence de propos discriminants, racistes, antisémites et homophobes ndlr) dont ils sont les garants. Dans le cas contraire, l’université prendra toutes les mesures nécessaires pour que cela ne se renouvelle pas, et engagera des poursuites le cas échéant. De la même manière, si des actes d’intimidation, des menaces ont lieu sur nos campus à l’encontre des personnes participant à cet évènement, des poursuites pourront être engagées".
Concernant le cas Maryam Abu Daqqa, la faculté se range derrière une décision de l'Etat : "Sous réserve d’une contre information des services de la Préfecture, la personne invitée à témoigner ne fait pas l’objet d’une procédure juridique ou d’une interdiction de présence sur le sol français".
"De par ces éléments l’Université n’a pas de raison de refuser la tenue de cet évènement, mais sera très vigilante quant à son déroulement", conclut-elle.
Oulala…on ne parle pas de vos maîtres…je me sauve 😇
Signaler RépondreT’es toi,ça vaut rien ce que tu raconte ..les gens intellectuellement honnête savent à quel point tu es mauvais !!
Signaler RépondrePar contre pas de problème pour les enfants morts par le terrorisme ! Essayez de débloquer votre l autre hémisphère de votre maigre cervelet !
Signaler Répondre"L’université est le lieu du débat d’idées dans le but de former les étudiants"
Signaler RépondreCela fait des décennies que ce n'est plus le cas !
l'Université est le chantre de l'harmonisation des modes de pensée ! Le porte drapeau du wokisme et de la pensée unique !
Le CRIF fut neutre et antiraciste a une époque lointaine, il a depuis été infiltré puis contrôlé par la droite et l' extrême droite.
Signaler RépondreAujourd hui Ce n'est plus la communauté Juive dans sa diversité de points de vues qui s'exprime a travers le CRIF.
Il y a un moment que le CRIF est devenu le porte voix d' un gouvernement Israélien d' extrême droite et de ses supporters en France.
Le CRIF représente l' opinion d' une minorité parmi la communauté Juive qui est favorable a la guerre, a la ségrégation et a la poursuite indéfinie de la colonisation.
ce genre de “conférence” à charge n ‘à rien à faire dans une université. L’université est le lieu du débat d’idées dans le but de former les étudiants et non de les endoctriner en leur présentant une seule vérité.
Signaler Répondreisraël n'a jamais existé les anglais et les français se sont mis d'accord pour diviser le moyen orient les accords de sykes-picot et Balfort une page sombre de l'humanité
Signaler RépondreOu la la ... vite vite sa va être annulé c est sur a genoux ils vont se mettre mdr
Signaler RépondreQui est-ce qui commande en France ?
Signaler RépondreLe Crif ? On a pas à s'écraser devant un lobby israélien sur notre territoire qui doit nous dire qui inviter.
Le CRIF attaque la personne, mais jamais il ne dénonce l apartheid que subissent les palestiniens, ni le racisme, les assassinats organisés par Tsahal, les colonies ... le CRIF c est plus un organe de lobbying du gouvernement sioniste.
Signaler RépondreBien dommage que la-dite communauté juive lyonnaise refuse la liberté d'expression, quand celle-ci ne lui plait pas ..
Signaler RépondreIl semblerait qu'il y a ai "un problème" en Palestine. Non ?!
Des enfants qui se font bombardés ne peut trouver AUCUNE justification ni AUCUNE excuse. Merci donc de laisser les gens s'exprimer afin qu'une issue positive soit un jour trouver en Palestine