Il a été reconnu coupable de violences conjugales… Patrick Bottero a été condamné par le tribunal correctionnel de Lyon ce lundi à cinq mois de prison avec sursis. L’ancien vice-procureur de Nîmes devra aussi payer 5 000 € de dommages et intérêts à la victime, auxquels s'ajoutent 5 000 € de remboursement de frais judiciaires.
Gifle et strangulation
La victime est une jeune femme de 27 ans. Cette dernière relate une emprise progressive, en dénonçant dix scènes de violences physiques, allant de la gifle à la strangulation, en passant par des pincements. Les sévices auraient duré quatre mois en 2019, avec à l'appui des photos d'hématomes selon l’AFP.
Le prévenu a quant à lui continuer de nier les faits qui lui étaient reprochés.
"Bonjour, je suis un anonyme sur internet et je suis statisticien en amateur".
Signaler RépondreMais combien de magistrat délinquants, voire criminels, pour combien de racailles ? Le ratio doit être de 1 pour 10 000, en encore !
Signaler RépondreLa justice francaise est une honte, et responsable de la délinquance de notre pays.
Signaler RépondreDes gens à 40 condamnations toujours dehors à faire ch*** les gens et commettre des délits. Est-ce normal ??
Les magistrats doivent être lourdement sanctionnés pour des actes contraires à la loi, mais également si leur comportement privé vient contredire le devoir de dignité et de probité qui s’impose à eux, ex : mur des cons, manifestation contre la police, communication par email pour contrer les décisions de l’état. Clairement la justice aujourd’hui a confisqué la souveraineté populaire.
Signaler RépondreIl a dut tomber sur l'un des ses vieux copains du syndicat de la Magistrature...
Signaler Répondrevoilà pourquoi la peine est si faible...
Dis moi qui tu fréquente je te dirai qui tu est...
Serait-il révoqué ou recasé ?
Signaler Répondresursis, c'est la moindre des choses, il fait ce qu' il veut dans le privé avec sa femme
Signaler RépondreS'il n'a pas encore été jugé, c'est parce qu'il est là question d'un crime, pas d'un délit.
Signaler RépondreIl passera aux assises et pas au tribunal correctionnel.
L'enquête est donc plus longue et plus complexe.
Et la sentence sera forte à n'en pas douter... Plus forte que s'il avait été juge ou homme politique...
Votre commentaire est donc inutile et hors de propos.
Vous parlez d'Arnaud Bonnefoy, policier qui avait étranglé à mort sa compagne et qui est parti en cavale 20 jours avec son arme de service ? Lui n'a pas encore été jugé par exemple.
Signaler RépondreLa racaille est partout, pas seulement dans les cités....
Signaler RépondreEt si il avait été jugé par une femme, quel aurait été la sentence ?🤔
Signaler RépondrePour les policiers ils condamnent très sévèrement car les juges considèrent que l’uniforme la fonction exige une conduite irréprochable, pour leurs pairs bien sûr une justice très très arrangeante et minime. Le corporatisme de cette profession, leur impunité absolument totale adossée aux dogmes est très inquiétante. Je n’ai pas confiance du tout mais alors pas tout en la justice.
Signaler RépondreEn fréquentant les délinquants dans son bureau, il a appris à nier l'évidence, bonne formation
Signaler RépondreAu trou , et double peine, au vu de sa profession
Certains procureurs sont aussi les champions pour classer les affaires sans suites ,sans confrontation rien !
Signaler RépondreAh cet obscurantisme moyen ageux 🧐
Signaler Répondre