Si ce n'est qu'il s'est rendu à son domicile de la rue Jeanne-Hachette, l'a poignardée à deux reprises avant de dessiner une croix gammée sur sa porte.
La plupart des réactions indignées de la classe politique dénonce l'antisémitisme flagrant de l'agression. C'est le cas également de Mathilde Panot, députée et présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale. Mais la parlementaire mélenchoniste, qui fait part de son "horreur et indignation" y voit la main de "l'extrême-droite" qui "sème le chaos dans le pays".
A ce stade de l'enquête, rien ne laisse entendre qu'il s'agit d'une attaque d'un membre de l'extrême-droite. Le parquet de Lyon se montre encore très prudent, d'autant que la piste d'un conflit personnel n'est pas écartée, car la victime, dont les jours ne sont pas en danger, serait en instance de divorce.
Ce n'est pas la première fois que la France Insoumise se mêle ainsi d'un fait divers lyonnais. On se souvient qu'en 2020, Jean-Luc Mélenchon avait accusé "un moine d'extrême-droite" d'être l'auteur des tirs contre le prêtre orthodoxe Nikolaos Kakavelakis. Une piste certes étudiée par les enquêteurs à l'époque mais qui avait rapidement fait pschitt.
Que la police retrouve l’agresseur… Elle verra bien. J’ai mon idée, mais je risque la censure.
Signaler RépondreSi Mathilde Panot consultait un psy, il lui expliquerait le concept de "projection".
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