Cette dissolution avait été prononcée en mars 2022 par le gouvernement. Elle a donc été validée ce jeudi par la justice, qui dit avoir "apprécié le degré de gravité des provocations reprochées à l’organisation".
"Le Groupe Antifasciste Lyon et Environs a publié des images de violences à l’encontre de policiers, accompagnées de textes haineux et injurieux, ou encore des messages approuvant et justifiant des violences graves envers des militants d’extrême-droite, entraînant des appels à la violence que le groupe n’a pas tenté de modérer", a expliqué le Conseil d’Etat pour justifier sa décision de ne pas rendre la dissolution illégale.
Pour rappel, la GALE, qui n'était pas une association, a un long historique de troubles commis dans l'agglomération lyonnaise. Outre les batailles rangées des antifas avec l'ultradroite, plusieurs agressions, dégradations et menaces ont été recensées par les forces de l'ordre.
"Un rempart (sic) en France vient de s'effondrer. Nous sommes dissous", a réagi la GALE, appelant à un rassemblement de soutien à 19h ce jeudi place des Terreaux.
Ce qui est inquiétant c'est que dans les articles qui rapportent l'info, aucun ne parlent des violences de la Gale durant les émeutes, les tirs de feux d'artifices entre les immeubles et sur les immeubles depuis l'épidémie, les saccages après le premier tour de la présidentielle parce qu'ils n'étaient pas content que LFI soit élu, les menaces contre des salariés de sièges sociaux, les conflits avec les élus de gauche qui pourtant les protègent, etc
Signaler RépondreLe Conseil d'Etat a statué sur le plus soft de ce qui leur était reproché... on est dans le déni le plus dur.
Tiens, le retour du narcissique frustré
Signaler RépondreDingues tous ces violents qui s’estiment résistants, que la gale aille rejoindre la peste du Hamas entre « résistants » ils se comprennent n’est-ce pas.
Signaler RépondreUn rempart (sic) en France vient de s'effondrer. Nous sommes dissous", a réagi la GALE
Il n'y a pas de racaille rouge, il y a la racaille en col blanc et la racaille de banlieue qui ont les memes intérêts et qui se protègent mutuellement
Signaler RépondreQuel courage, l'État a dissous une association de fait, même pas une vraie association.
Signaler RépondreAutant dire que l'État n'a rien fait face à la racaille rouge.