Ce mardi se tenait à la salle des fêtes de Caluire-et-Cuire le colloque annuel sur les violences intra-familiales. Une septième édition qui a réuni plus de 140 professionnels.
Chantal Crespy salue une "grosse mobilisation autour d'un thème particulier : les violences dans les couples de jeunes 15-25 ans".
Selon l'élue caluirarde et métropolitaine, "la violence a monté de façon exponentielle dans la société et dans les couples. C'est la suite du Covid".
Grâce au témoignage de la principale d'un collège caluirard, les participants ont pu mesurer la gravité de la situation chez les adolescents.
Certaines collégiennes de 12 ans se retrouvent "sous l'emprise de jeunes garçons, voire de jeunes hommes" et sont victimes d'insultes, de violences physiques, de violences sexuelles...
"Les jeunes n'arrivent pas à dire "non". Mais elles ne le vivent pas comme un viol. On s'aperçoit que les collégiennes minimisent ces actes", se désole Chantal Crespy, qui fait de la prévention son cheval de bataille à Caluire.
Les Coulisses du Grand Lyon sont à retrouver tous les jours à 12h sur LyonMag.com et sur la chaîne Youtube de LyonMag.
00:00 Journée annuelle
00:56 Chiffres en hausse
03:11 Violences au sein des jeunes couples
08:09 Comment la mairie peut-elle agir ?
ils faut qu elles se decouvrent elles memes leur propre conscience de dignite.......à la sortie des colleges ,j en vois souvent qui subissent dejà les assauts de petits adolescents males boutonneux qui s exercent sur elles à la domination
Signaler RépondreIl y a effectivement une absence d’éducation parentale pour éduquer les filles à ne pas accepter la domination masculine et a se faire respecter dans toutes situations.
Signaler RépondreLe courage n’est certainement pas votre point fort . Comme beaucoup d’autres français qui font les braves derrières des écrins et s’écrasent devant les delinquants.
Signaler RépondreA l'exemple de nos responsables politiques qui minimisent toutes les sortes de violences en ne faisant que des discours et marche blanches, sans solutions énergiques et courageuses.
Signaler RépondreVu le niveau de prise en charge et le déni des encadrants au nom du "pas de vague".... les victimes qui dénoncent n'obtiennent pas la protection nécessaire et au final se retrouvent dans une situation pire qu'avant dénonciation.. Leurs agresseurs "se vengent" sur elles en toute impunité.... Et les gamines et les femmes sont des proies faciles puisque physiquement elles ne sont pas en mesure de faire le poids face à des hommes... Et donc, se taire ou minimiser les faits est pour elles le meilleur, ou plutôt le moins mauvais, moyen de ne pas aggraver leur situation.. En fait, face aux absences de prise en compte de leurs souffrances et de réponse pénale appropriée... elles n'ont d'autre choix que de raser les murs... C'est lamentable mais c'est une réalité !
Signaler RépondreBravo à Chantal CRESPY pour sa mobilisation et toute la prévention faite autour de ces femmes. Il y a heureusement dans cette Métropole des élues engagées et qui obtiennent des résultats contrairement au gouvernement et leurs effets d'annonces pendant leur campagne électorale !
Signaler RépondreLe Covid a bon dos: quand on veut à tout pris parler en public pour se faire remarquer, il suffit de se saisir de n’importe quel sujet et de le lier au COVID. De cette façon, vous pouvez démontrer tout ce que vous voulez autant que son contraire ! Comme le dit très justement un commentaire de cet article, les violences notamment intrafamiliales ont tjrs été là mais ce n’était pas un sujet …. Seule différence c’est que depuis qq temps on en parle….
Signaler RépondreA l’image de leurs cassos de parents...
Signaler Répondre"la violence a monté de façon exponentielle dans la société et dans les couples. C'est la suite du Covid".
Signaler RépondreOh que NON !
C'est juste que l'on en parle, beaucoup. Trop ??
Faudrait aussi que l'on parle des violences des femmes envers les hommes, par soucis d'égalité, au lieu de passer ce problème sous silence.
Faudrait aussi que l'on parle des collégiennes de 12 ans. A cette âge, ces jeunes filles n'ont rien à faire avec des garçons. C'est aussi aux parents de surveiller et d'éduquer leurs gosses.
Faut le retour des écoles non-mixtes !!!