Deux autres titres du groupe Ebra, le Journal de Saône-et-Loire et le Bien Public, suivent le mouvement après une assemblée générale organisée à l'appel du SNJ.
Les journalistes du quotidien lyonnais fustige l'annonce de leur direction concernant une nouvelle réduction d'effectifs. Il est prévu de supprimer six postes à la rédaction du Progrès : quatre dans le Rhône et deux dans la Loire. Deux postes d'assistantes de rédaction devront également disparaître sur l'ensemble des trois titres en grève.
"Le DG, Pierre Fanneau, justifie ces décisions par des pertes de l’ordre de 2 millions d’euros sur le résultat d’exploitation 2023 du pôle BJP (Bien Public, JSL et Progrès ndlr). La direction croit-elle sérieusement attirer de nouveaux lecteurs, sans nul autre projet que d’appauvrir la couverture médiatique d’immenses secteurs couverts par les agences ?", s'inquiète le SNJ dans un communiqué.
Une nouvelle assemblée générale doit se tenir ce vendredi midi : "Tous les sujets pourront être mis sur la table, y compris celui d’une motion de défiance, pour s’opposer à ce projet insensé".
Le groupe Ebra fait face depuis des années à des pertes colossales de ses titres. Début septembre, le Crédit Mutuel a décidé d'augmenter le capital du groupe de presse en injectant 458 millions d'euros. Une grande partie de cette somme doit servir à éponger les dettes qui s'accumulent pour les différents titres d'Ebra. Ainsi, 20 millions d'euros serviront à renflouer les caisses et apurer une partie des comptes du Progrès à Lyon. La banque aurait déjà dépensé 1 milliard d'euros depuis 2009 dans le groupe Ebra et refuserait de considérer l'offre de Daniel Kretinsky, le milliardaire déjà à la tête du groupe CMI qui édite Elle, Télé 7 Jours, Marianne ou encore Ici Paris.
Pour les communistes de la CGT, la grève, ça a toujours été un Progrès!
Signaler RépondreÇa doit être la planque....
Signaler RépondreBien trop servile grâce aux suventions étatiques, censureur des commentaires de leurs propres lecteurs (un comble !), etc...
Signaler RépondreTout le monde s'en détourne, malgré d'indénaibles composantes d'informations elles utiles au citoyen.
Vous avez oublié nos impots...les aides d’état
Signaler RépondreC’est un Liberation régional
400 journalistes pour faire du copier coller de l’afp
Je boycotte le progrès car il s'agit d'un journal réactionnaire qui a blasphémé en disant toujours du mal des "Voies Lyonnaises" !
Signaler RépondreNa, le méchant Progrès réactionnaire !
https://www.lyonmag.com/article/131819/la-ville-a-velo-somme-le-progres-de-traiter-les-voies-lyonnaises-de-maniere-plus-equilibree
Je boycotte Le Progrès car il s'agit d'un journal wokiste qui refuse de condamner les cyclistes.
Signaler Répondrey vous faut planter des geraniums!!
Signaler RépondreLyon mag
Signaler Répondreva prend la même direction que le progrès... la poubelle!!
la cause c'est surement l'ia (l’intelligence artificiel) sa pompe les emplois et c'est pas fini ,et cela dans tout les secteurs .
Signaler Répondre4,8 millions d'euros d'aides à la presse en 2022 et tout ça pour licencier ? Ca mérite un bel article sur les patrons voyous ! Mais ce genre d'article, on ne le lira pas dans le Progrès ! Pas dans la ligne éditoriale de ce digne représentant du "journalisme de Préfecture".
Signaler RépondreParions que ce mouvement social et ses acteurs sera traité comme les autres par ces "journalistes" : des nantis aux revendications excessives qui feraient mieux de se mettre au boulot !
C'est assez amusant de faire un copier coller sur Google d'un extrait d'article, on le retrouve dans de nombreux journaux....
Signaler RépondreComme quoi, bien des économies sont à faire.
Et en attendant notre pays se transforme en Sahara à cause de la sécheresse...
Signaler Répondre396 pour sauver la planète : Vite, Forza EELV !
Ils n'ont pas tort de s'inquiéter
Signaler RépondreQui croit encore au modèle historique de l'édition ? Même en versions numériques, le chiffre d'affaire n'a rien de comparable
Et surtout, même en numérique, de moins en moins de gens lisent ce type de presse
Alors voilà, encore une activité vouée à une disparation assez rapide, grève ou pas
Moi les infos c'est ma concierge qui me débite les informations
Signaler RépondreC’est très bien résumé. Pourquoi les français sont des millions à ne plus voter ? Les plus intelligents ont bien compris, que voter ne servez à rien . Coluche, l’avait bien compris , si voter servait à quelque choses, cela se saurait .
Signaler RépondreSi au lieu d'attendre des subventions de la propagande, ces journalistes faisaient le job, peut-être qu'ils pourraient vivre honnêtement de leur travail.
Signaler Répondrel'information en France c'est comme un fruit chaqu'un a une forme mais tous les fruits vient de la même arbres bref
Signaler Répondreles médias sont des outils de propagande et de manipulation de masse aux services des puissances interne et externe
Il existe encore ?
Signaler RépondreQui va payer encore ?