A l'occasion d'une nouvelle réunion du comité des élus, la préfecture du Rhône communique des résultats "rassurants" après les analyses réalisées sur 88 échantillons d'oeufs de particuliers récoltés sur 29 nouvelles communes. Les teneurs en PFAS sont "inférieures à celles constatées lors des précédentes campagnes", avec même "une absence de contamination" sur les axes Est et Ouest.
Ainsi, il n'y aura pas de recommandation de ne pas consommer les oeufs issus des poulaillers particuliers et la viande de volailles dans les 29 communes suivantes : Brindas, Orliénas, Millery, Corbas, Genay, Neuville-sur-Saône, Albigny-sur-Saône, Collonges au mont d'Or, Grigny, Givors, Loire-sur-Rhône, Ampuis, Condrieu, Ternay, Communay, Simandres, Chasse-sur-Rhône, Vénissieux, Bron, Chassieu, Genas, Pusignan, Soucieu-en-Jarrest, Thurin, Saint-Martin-en-Haut, Duerne, Aveize et Meys.
Par contre, cette recommandation reste en vigueur dans les 18 communes testées en priorité dans les environs d'Arkema et Daikin. Pour rappel, il s'agit de Pierre-Bénite, Oullins, Saint-Genis-Laval, Irigny, Lyon 2e, Lyon 7e, Lyon 8e, La Mulatière, Brignais, Sainte-Foy-lès-Lyon, Feyzin, Saint-Fons, Vernaison, Francheville, Solaize, Charly, Vourles et Chaponost.
La préfecture du Rhône annonce également que les rejets aqueux produits par Daikin "demeurent faibles et maîtrisés", et que ceux d'Arkema "respectent les paliers de réduction imposés par l'arrêté préfectoral du 23 septembre 2022".
Enfin, 150 prélèvements avaient été effectués dans un périmètre de 500 mètres autour de la plateforme industrielle de Pierre-Bénite dans des jardins (sols, potagers et eaux d'arrosage), les sols de six écoles, une crèche et le stade de Brotillon.
"Les résultats montrent une présence de PFAS dans certains échantillons réalisés dans les sols, sur les fruits et légumes et dans l'eau de pluie ou de puits privés utilisée pour l'arrosage des jardins", concèdent les services de l'Etat, précisant toutefois qu'"en l'absence de valeurs de gestion nationales pour ces milieux, l'évaluation des risques sanitaires potentiels est délicate à ce stade".
L'INERIS et le HCSP vont donc se pencher à leur tour sur ces prélèvements afin d'indiquer plus clairement si ces sols, fruits et légumes, et eau sont dangereux ou non. Les résultats tomberont au 2e semestre 2024.
Comme le nuage de Tchernobyl qui n'a pas passé la frontière, tout le monde a pu consommer ses légumes, dans le nord est de la France alors que l'Allemagne à 2 km l'interdisait, comme le glyphosate, pourtant reconnu comme néfaste, mais finalement approuvé jusqu'en 2033 en UE, on va tous crever de cancers, mais à part ça tout va bien, bientôt tous vos voisins vont désherber leur jardin, heureusement Bayer qui a racheté Monsanto sera là pour nous sauver...
Signaler Répondreon attend quoi pour fermer cette entreprise d assassins?
Signaler Répondreles cancers ça vous parle? on peut vivre sans ces poisons, ça me rappelle l amiante...
Je ne le pense pas du tout et bien au contraire !! problème sanitaire à retardement.
Signaler RépondreFacile de critiquer sans preuve
Signaler RépondreCet article est un tissu de gros mensonges
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