La ferme Perraud est sauvée ! La dernière ferme de Lyon, située dans le 9e arrondissement, a enfin trouvé des repreneurs, aidés par la Ville de Lyon, la Métropole et la mairie de Saint-Cyr-au-mont-d'Or.
Les écologistes ont souhaité "sauvegarder symboliquement" ce lieu en injectant 150 000 euros dans la société coopérative avec les collectivités dans la gouvernance.
Selon l'adjoint Gautier Chapuis, "les collectivités ont leur mot à dire sur le modèle agricole qu'elles souhaitent. On veut une agriculture respectueuse de la biodiversité, qui se tourne vers l'agrobiologie, qui est ancrée sur le territoire et qui alimente localement nos cantines et nos crèches. C'est ce qu'on va défendre avec cette ferme".
L'élu lyonnais estime que l'actuelle colère des agriculteurs est "justifiée. Les agriculteurs sont les premiers à vivre le dérèglement climatique".
Sur la réforme voulue par Emmanuel Macron de la loi PLM, le co-président du groupe écologiste au conseil municipal de Lyon trouve que "logistiquement ça pose un vrai problème. Et ce n'est pas ce qu'attendent les Lyonnais. (...) L'objectif n'est pas de gagner des élections mais bien la démocratie de proximité".
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00:00 Sauvetage de la dernière ferme de Lyon
03:24 Colère des agriculteurs
06:55 Réforme de la loi PLM
08:56 Elections européennes
y finira guillotiné ....par le verdict futur des urnes
Signaler Répondremarie antoinette à trianon
Signaler RépondreLes normes n ont jamais été le problème. Il est là depuis plus de 60 ans. Je peux vous en parler. C est uniquement les cerealiers qui souhaitent tirer partie de la fronde. Le problème est la rémunération et le coût des produits. Les normes sont la pour garantir la qualité des produits et du milieu. Voulez vous mal manger ? Voulez vous détruire le milieu qui vous nourris ? Si il y a un oui alors vous n êtes pas honnête. Maintenant que l on est d'accord sur la volonté de bien manger et de le faire durablement parlons de coût de production et de prix de vente. L agriculteur doit pouvoir dégager une marge. Alors la grande distribution doit garantir des hausse de coût d achat. L état doit aussi interdire l importation de produit ne respectant pas nos normes et le consommateur doit accepter à renoncer à son portable à 2000 euros, à des légumes hors saison ou pas locaux, de la viande de mauvaise qualité mangé tous les jours. Le reste c est de la flûte.
Signaler RépondreDemander de faire un stage d’un an, derrière le cul des vaches pour un type comme ça, vous pouvez toujours aller mettre un cierge à Fourvière….
Signaler RépondreL'Europe a une très grande part de responsabilité avec des normes, des normes et encore des normes......
Signaler RépondreD'accord avec vous, la France n'est pas en reste pour en remettre une couche sur ces normes, en bon élève qu'elle est,
avec ses dirigeants (sa majesté Emmanuel 1er en tète) asservis à l'Europe et à sa commission.
Sur ce sujet, notons que la France va plus loin que les directives européennes (et c'est bien là le problème dénoncé par les agriculteurs).
Signaler RépondreMerci de ne pas tout mettre sur le dos de l'Europe.
Qu'est ce qu'il connaît cet ahuri à l'agriculture, il croît qu'avec son discours formaté écolo, il a toutes les solutions. Il faudrait qu'il aille faire un stage d'un an sous le cul des vaches en se levant à 5 heures du matin et travaillant 7 jours sur 7 sans vacances avec 1000 euros de revenu par mois. Il aurait peu-être une autre vision du monde agricole. 180 suicides par an chez les agriculteurs.
Signaler RépondreA mon avis non, car ce bon écolo bobo respectueux de la loi n'utilisera pas son vélo cargo sur l'autoroute
Signaler RépondreJe propose a ce jeune cadre dynamique écologiste Chapuis d'aller s'expliquer avec les agriculteurs sur les barrages.
Signaler RépondreLe premier problème des agriculteurs Français sont les normes aberrantes et imposées par les illuminés écologistes Français et Européens.
Les agriculteurs ne veulent pas vivre de subventions mais juste de leur travail.
"L'élu lyonnais estime que l'actuelle colère des agriculteurs est "justifiée. Les agriculteurs sont les premiers à vivre le dérèglement climatique".
Signaler RépondreSans rire ?!
Les agriculteurs dénoncent :
- la fiscalité du gazole non routier.
- la multiplication et le matraquage des normes environnementales.
- l'interdiction des pesticides sans solution de rechange.
Il est drôlement perché notre élu Lyonnais pour sortir ça !
Il veut ci, il veut ça...
Signaler RépondreVeut-il payer?
"L'objectif n'est pas de gagner des élections mais bien la démocratie de proximité", faut oser quand même venant d'eux ;-)
Signaler RépondreQui nourrit cet apôtre..
Signaler RépondreUn miracle sûrement
des normes inapplicables , des taxes invraissemblables et des subventions inextricables ; cela coute extrêmement cher en hyper administrativation et fini de couler notre économie moribonde
Signaler RépondreUn champ de blé, c'est pas de la "biodiversité" : que des épis de blé !
Signaler RépondreDonc encore plus de normes qui augmentent les coûts, alors que les agriculteurs étrangers n'ont pas ces normes.
Signaler RépondreAu final, on importe car c'est moins cher mais des produits qui ne respectent pas les normes françaises.
Au final on mange de la m.... et ça pollue à mort car il faut faire venir les produits de l'atre bout du monde.
Mais ça, les crétins pseudo écolos ne peuvent pas le comprendre.....
Les délires des fascistes verts . Ils sont l’étincelle qui déclenchera la guerre civile. Si les Agriculteurs décident de se lever contre ces idéologues totalitaires, qui n’ont de cesse de les humilier et les insulter en permanence, on sera à côté d’eux. On se tient prêt.
Signaler Répondrele monde paysan français divisé par 10 sur 2 générations et la population française a augmenter de près de 50 pour cent!
Signaler RépondreEt il nous parle d’une ferme associative dans le 9 ième…
Ça, c’est une vue d’avenir !
Le grand cirque va durer longtemps ….
En fait le "sauvetage de la ferme" n'est ni agricole, ni économique, ni culturel il est simplement une opération de communication POLITIQUE et communautariste qui permet de se faire plaisir idéologiquement avec les impôts du citoyen ! Cette clique n'est pas plus compétente en agriculture qu'en économie, sécurité et sociologie mais elle parle beaucoup, fort heureusement il n’y en a plus pour longtemps.
Signaler RépondreTout le monde souhaite une agriculture respectueuse de la biodiversité.
Signaler RépondreJ'attends que ce monsieur nous explique comment on fait pour nourrir la population avec une agriculture écologiquement vertueuse. Nous voulons des solutions !
Combien de lyonnais l'ancienne ferme Perraud sera t'elle capable de nourrir et à quel coût (en comptant les subventions) ?
Il est grand temps que nos élus écologistes reprennent notre agriculture en mains et apprennent leur métier aux agriculteurs !
Signaler RépondrePlus que 344 jours pour sauver la planète : Forza EELV !
Très content pour ce qui concerne la reprise de la ferme Perraud, malgré tout, pour parler d'agriculture, il faut au moins savoir un peu de quoi il retourne concrètement! L'Europe est malade de toutes ces "déclarations de bonnes intentions" parfaitement toxiques pour les agriculteurs et de ses technocrates à la vue courte... Mr Chapuis devrait méditer le sujet, ça lui serait surement profitable comme à ses homologues très "verts", encore une fois, la posture ne suffit pas!
Signaler Répondreon veut des élus respectueux des administrés pas de simili dictateurs
Signaler Répondreapres la destruction méthodique de notre industrie, c'est le tour de notre agriculture. Et tout ça grâce à cette europe de technocrates, bisounours hors sol, qui organisent notre pillage par le haut et par le bas et notre disparition a coup de reglements et contraintes débiles. Et en plus, bien aidés par nos brillants technocrates Français qui en rajoutent une couche
Signaler Répondretiens !! encore un expert écologique qui vie dans un monde parallèle
Signaler RépondreLes ecolos font comme si l’agriculture dépendait des villes ou d’un pays, l’Europe et ses normes auquel la France ajoute encore des normes continue les libres échanges avec des pays qui eux n’ont aucunes normes, tout comme notre indépendance énergétique que nous n’avons plus, notre souveraineté alimentaire est détruite sera détruite par des idéologues. Vous voulez du bio ? Donnez aux agricultures les moyens de se battre, le combat la concurrence actuelle est d’une déloyauté absolue, comment peuvent ils gagner ou vivre ces agriculteurs ? Certains vivent avec moins qu’un demandeur d’asile, qui nourrira le peuple dans 50 ans une fois tt détruit ?
Signaler RépondreSi les bobos verts n'ont que ça comme problème.......
Signaler RépondrePas bien sur que l'agriculture vue par nos écolosbobo des villes soit bien en phase avec les revendications du monde paysan qui est en train de bloquer la région Toulousaine
Signaler RépondreCet élu n’a jamais fait pousser un légume de sa vie….et nous fait des leçons… Un petit stage d’une petite semaine dans une ferme ( s’il tient le coup) lui ferait le plus grand bien!
Signaler RépondreCe serait bien que les écologistes s'intéressent vraiment au fond du problème.
Signaler RépondreCar entendre Sandrine ROUSSEAU dire qu'il y a un problème de réchauffement climatique sans reconnaître celui des normes pour les agriculteurs. C'est fort !
Localement, il faut conserver les parcelles agricoles pour faire de l'agriculture de proximité mais cela va l'encontre du secteur immobilier qui a besoin de foncier pour bâtir des logements pour une population croissante.
Les Verts vont devoir choisir !!!