Ce jeudi premier février, le restaurant Paul Bocuse soufflait sa centième bougie : pour rendre hommage dignement à Monsieur Paul, un trio d'exception a pris le contrôle des cuisines. Et leur mission était de taille : récréer le menu Élysée du 25 février 1975, créé à l'occasion de la remise de la médaille de Chevalier de la légion d'honneur à Paul Bocuse par Valéry Giscard d'Estaing.
A la carte de cet évènement, on pouvait retrouver la mythique soupe VGE, créée par Paul Bocuse en 1975 à base de truffes râpées, mais également l'escalope de saumon de la Loire à l'oseille (cuisinée par Pierre Troisgros à l'époque ), et le plat d'aiguillettes de canard et foie gras. Pour compléter le tout, Renée Richard s'occupait des fromages et pour la touche sucrée, le célèbre Président : une génoise fourrée d'une ganache au chocolat et noisettes, avec quelques griottes au cherry, qui avait trouvé une place permanente sur le menu du restaurant Paul Bocuse.
Ce sont donc cette fois-ci les chefs Michel, César et Léo Troisgros qui ont occupé les cuisines pour réaliser l'escalope de saumon, Stéphane Mack (représentant de Michel Guérard) pour le canard, et Philippe Bernachon pour le dessert. Pour s'atteler à la dure tâche de la soupe VGE, ce sont les chefs Meilleurs Ouvriers de France Gilles Reinhardt et Olivier Couvin qui ont été appelés aux fourneaux : ceux-ci ont cependant décidé de servir également une quenelle de sandre et homard sauce champagne et caviar, tandis que le pâtissier Benoît Charvet a ajouté un pré-dessert sur le thème des agrumes.
Du côté des boissons, le sommelier Maxime Valéry a recréé l'accord mets-vins de l'époque, en resservant aux convives les mêmes vins qu'en 1975 (mais aux millésimes différents).
Pour compléter la soirée, Françoise Bernachon Bocuse, fille de Paul Bocuse et digne héritière de l'empire, a reçu par Guillaume Gomez la médaille de Chevalier de l'ordre national du rayonnement gastronomique.
Dans les sachets-cadeaux des 90 invités, une réplique du menu de 1975, et une assiette collector spéciale 100 ans, réalisée par le designer Alain Vavro.
Et alors ? Combien de milliers d'euros un fumeur passe dans ses clopes ? Mais dans ce cas tu viens pas nous parler de la retraite de ton père.
Signaler RépondreComme je suis sympa, je vais t'aider :
On considère 1 paquet/jour sur 30 ans, on va être encore plus sympa, 10€/paquet.
Ça nous fait 10 × 365 × 30 = 109 500 euros !!! Sans compter ce que ce mec va nous coûter en Sécu pour être soigné.
Et cette somme vaut pour ceux qui se plaignent du prix de ce repas.
Et polygame officiellement, avec ses trois femmes...
Signaler RépondreTrès fort, Mr Paul !
Vous êtes encore pire que je pensais !!
Signaler RépondreIl a plutôt fait travailler les autres , le Bocuse lui , passait juste à la caisse pour ramasser l'oseille..( normal pour un cuisto ) ..
Signaler RépondreVenez Nombreux , rien que l’addition est au sel de guerande . Une soirée de la rigolade 😂.
Signaler RépondreTout le monde s'en fout.surtout dans le contexte actuel ou tout le monde est en train de crevé.
Signaler Répondrecoin coin
Signaler RépondreEt alors ??? Bocuse a commencé il n'avait pas 14 ans, il a travaillé comme un fou , il a faut connaître lyon dans le monde entier, il n'a volé personne.
Signaler RépondreJe ne suis pas aigrie ou jalouse des gens qui réussissent par leur travail
c trop de pub pour un repas à presque 700 €/personne soit le montant d’un mois de retraite agricole perçue par mon beau-père qui a travaillé toute sa vie 10 à 15 h par jour !!!! scandaleux....
Signaler Répondreseuls les inities peuvent comprendre .....continuez donc à deguster votre "brouet"!
Signaler RépondreDes restos à la dérive , figés dans le temps , mis à part les sri lankais que l'on retrouve en cuisine !Un temple musée de la mal bouffe d'hier!
Signaler RépondreRien à foutre de ces repas destinés aux rois..les voisins travaillent et n’ont rien à becqueter!!!
Signaler RépondreA quand la faillite ?????
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