Le rendez-vous des étudiants est donné ce samedi 10 février de 10h à 17h à la Sucrière. Pour son édition 2024, le salon de l’orientation Studyrama met le cap sur le développement digital.
A seulement un mois de la fermeture des vœux Parcoursup, les étudiants qui n’ont pas encore fait leur choix pourront profiter du salon pour s’orienter.
Divisé en trois pôles, Studyrama s’adresse aussi bien aux terminales qu’aux futurs étudiants en master. Le salon présentera donc un pôle sur la formation numérique, un autre consacré à l’alternance et l’apprentissage et un dernier pour les masters.
Sur place, 70 corps de métiers différents seront présents pour faire découvrir leur formation et leur quotidien.
Concernant les métiers du numérique, les responsables présenteront leurs programmes, les débouchés, les concours et les conditions d’admission. Plus de 200 formations de Bac à Ba+5 seront disponibles autour de l’ingénierie numérique, le graphisme, la communication visuelle, le e-commerce ou encore le e-marketing.
Pour les formations à Bac+3, des écoles de commerces, d’ingénieur, d’agroalimentaire, de droit, de communication et bien d’autres seront là pour répondre à toutes vos questions.
Le pôle alternance et apprentissage représentera des métiers dans le secteur de l’art, la santé, le tourisme, la logistique, le journalisme… Un atelier sera installé pour préparer votre CV et démarcher des entreprises.
Plusieurs conférences sont prévues dans la journée : les métiers en tension dans le digital, les filières techniques et scientifiques et les métiers de l’ingénieur, faire des études d’ingénieurs en alternance et pour finir le mode d’emploi de l’apprentissage.
L’évènement est 100% gratuit et accessible en transports en commun.
Studyrama, c'est tellement FUN, tellement Frenchie, c'est "chier" comme pourrait dire notre ancien ministre de la culture Jack Lang (selon L.Gerra).
Signaler RépondreC'est bien de valoriser le développement digital à haut niveau, de favoriser une fois de plus les futurs 1er de cordée ;-)
Signaler RépondreIls ne produisent rien pour les Français mais ils rapportent du pognon aux multinationales, continuons...