Mais chaque effort compte, et la Métropole de Lyon se félicite de prendre sa part dans la lutte contre la crise du logement.
Ce mercredi, la collectivité annonce que son plan d'urgence de 10 millions d'euros a permis de soutenir 49 opérations immobilières, pour un total de 3020 logements, dont 833 logements sociaux.
Ces derniers n'ont pas encore vu le jour, mais l'appui de la Métropole a sauvé de l'annulation 29 opérations qui vont démarrer leurs travaux, tandis que les 20 autres ont pu boucler leur commercialisation.
Et 43 nouvelles opérations sont "en cours d'étude", ce qui permettrait de débloquer 2300 logements supplémentaires, dont 550 logements sociaux.
Pour rappel, le plan d'urgence de 10 millions d'euros prévoit "le rachat d’une part de logements libres par les bailleurs sociaux, la Foncière Solidaire du Grand Lyon ou les opérateurs du logement locatif intermédiaire. Cette intervention, financée en partie par la Métropole de Lyon (pour les BRS et les logements sociaux de type PLS), permet de débloquer les opérations à deux stades : en phase amont, avant démarrage des travaux, lorsque les promoteurs n’arrivent pas à commercialiser 50% de leur opération, celle-ci se trouvant bloquée et en phase aval, lorsque des logements demeurent invendus sur des opérations démarrées".
"Le plan d’urgence est aussi un outil de soutien pour le secteur économique de la promotion immobilière et du BTP : ce sont des emplois sauvés et des carnets de commande qui vont pouvoir se remplir", se félicite le président écologiste de la Métropole de Lyon Bruno Bernard.
plus que milledouze cent nonante douze ,225,11416 jpours pour sauver la planeteeeuuuu
Signaler Répondreles vilains promoteurs capitalistes!!houa!ha!ha!
Signaler Répondred ecolos betonneurs
Signaler Répondrey faut pas y dire,sinon c est chasse aux sorcieres et denonciation csr-csa
Signaler RépondreCurieusement on peut constater que l'accroissement de l'exigence de logements supplémentaire est proportionnel au phénomène migratoire , alors lorsqu'ils parlent de logements sociaux, pour qui ces logements sont-ils prévus , aux français en difficulté , on se moque de nous .
Signaler RépondreLogements sociaux ;quand je vous l'état des appartements des soi disant bailleurs sociaux,c'est une honte .payer des chatres,sans savoir où passe notre fric
Signaler RépondreLes permis de construire sont signés par les maires...
Signaler RépondreLa Métropole n'a pas versé 3000€ par logement, le raisonnement est moins basique que le vôtre : elle a aidé à lancer les opérations bloquées, en soutenant la commercialisation de celles-ci afin que les travaux démarrent. Concrètement, ça veut dire que sur des programmes vendus à 50% (insuffisant pour démarrer les travaux), elle a permis qu'on passe à 60 ou 70% (suffisant pour démarrer les travaux).
C'est trop peu, les verts nous gaves avec le réchauffement mais oublient que la flotte va baisser de -40% d'ici 2050 d'après l'agence de l'eau, et le béton à besoin d'eau douce, c'est d'ailleurs à cause de ça qu'aux dom-tom c'est aussi cher de construire et qu'à mayotte ça construit plus du tout depuis des mois.
Signaler RépondreIl faut construire en masse x15 tant qu'on le peut, déjà pour rattraper le retard et aussi et surtout, pour construire ce qu'on pourra plus construire dans l'avenir entre deux périodes de sécheresse, ce qui veut aussi dire d'arrêter d'importer du parigot et au-delà...
10 millions d'euros sur un budget annuel de 4milliards c'est une goutte d'eau.
Signaler RépondreCela ne représente que 0,25% du budget annuel de la METROPOLE, beaucoup moins que les dépenses pour les Vélos et pistes cyclable, qui ne servent que a une minorité de jeunes BOBO.
10 M€ ça Ça fait 3311 € par logement, ça paie juste 1 petit mètre carré par logement ;-)
Signaler RépondreCe n'est pas "grâce" à la métropole pastèquisée que ces logements se sont construits, en gros ils ont juste signé les permis de construire, quel effort...
Encore des mangeurs de quinoa et autre mafia du BB qui s'auto congratulent, dehors les escrolos !
Y'a un gros problème aussi dans ce secteur. Lorsqu'on constate le prix au m² et la qualité des travaux réalisés, on peut se poser beaucoup de question. Si ce secteur est en crise, c'est qu'il y a trop de détournement d'argent et de foutage de gueule intersidérale. Aucun contrôle, continuez à arnaquer tout le monde
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