Sur trois étages, trois artistes différents sont exposés et le nombre d’œuvres ne se comptent plus. “Ce sont trois expositions qui sont pourtant très complémentaires“, affirme Isabelle Bertolotti, la directrice du MAC Lyon.
Au premier étage, ce sont les œuvres de l’artiste Sylvie Selig qui sont mises à l’honneur. La pièce vedette de l’exposition est la toile River of no Return, mesurant 140 mètres de long. D’une valeur de 140 000 euros, elle a pu être acquise grâce à une souscription publique qui a récolté 85 000 euros et le MAC Lyon a ainsi payé le reste. L’artiste a d’ailleurs pu découvrir sa fresque dépliée pour la première fois, à l’occasion de cette exposition.
Au deuxième étage, c’est au tour d’Antoine de Galbert de présenter les œuvres de sa collection personnelle. Une sélection de 200 œuvres contemporaines est disponible, mais l’artiste confie “je ne sais pas si contemporain veut encore dire quelque chose“. Exposant des photographies, des figurines, des sculptures, des tableaux etc… Elles sont engagées et parfois politique, puisque “la politique est partout ! “, dit Antoine de Galbert. “Operation Rose“ est l’une des œuvres les plus curieuses de cette collection atypique. Elle met en scène une créature rose bizarroïde en train d’accoucher, au milieu d’une salle d’examen très peu commune.
Enfin, au troisième étage, il est possible de découvrir une exposition franco-britannique. En effet, elle présente une collaboration avec le centre d’art Ikon de Birmingham, qui croise les collections du British Council et du MAC Lyon. L’exposition “Friends in Love and War – L’Eloge des meilleurs ennemis“, met en avant des œuvres portant toutes sur le thème de l’amitié. Comprenant aussi l’amitié au sens large, allant jusqu’aux amitiés diplomatiques. Cette collection a commencé en 1938 pour répondre à la montée du fascisme en Europe.
E.M
je ne me suis jamais auto proclamé "artisteeeuuuu"'.juste critique ........éclairé
Signaler Répondreon attend vos œuvres.... la critique sur LM n''est pas de l'art.
Signaler Répondrela critique est aisée...
ok boomer
Signaler Répondrey a t y pas eu un article?? sur lyon mag ,y a quelques temps ,nous expliquant l engouement surfait des ecolos pour une peintreuse octogenaire bobo qui faisait des bulles?
Signaler Répondrec est flagrant avec la FIAC (foire internationale d art contemporain)
Signaler RépondreLes esprits simples ? C'est la veulerie, la crainte de passer à coté d'un mouvement et d'un chef d'oeuvre, qui fait que les bobos, sont devenus des gogos qui gobent n'importe quelle crasse.
Signaler RépondreIls ont peur de louper une nouvelle fois "les impressionnistes" et autres mouvements jugés dégénérés avant que la majorité des gens, au final apprécient. L'état en premier lieu et à mettre en cause, parce qu' avec l' argent de nos impôts, achète chaque année des tableaux qu'il juge moche mais qu'il paye grassement.
A un accouchement si j’ai bien compris
Signaler RépondreVoilà une belle discussion pour le PMU à boire votre RSA.
Signaler Répondredécidément, la critique est aisée pour les esprits simples.
Alors ? Après le point noir unique sur une toile blanche et l'excrement dans un flacon et le plug géant, cette fois ci on va avoir droit à quoi comme création Géniaaliissiiime des esprits Bobo, du vomis ?
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