Pour atteindre le château-Perret, il faut emprunter la même route que le plus illustre de ses anciens propriétaires. En bord de Saône, à Collonges-au-Mont-d’Or, juste avant le restaurant Paul Bocuse, il faut tourner au rond-point et s’engager sur les hauteurs. Au début du XXe siècle, Emile Loubet était discrètement descendu de Paris pour récupérer ce bien légué par la veuve de l’industriel Jean-Baptiste Perret. Le président de la République, qui y avait séjourné à plusieurs reprises, était venu par le train officialiser sa nouvelle vie de châtelain.
En arrivant dans les esses qui forment la frontière entre Collonges et Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, impossible de snober la vue sur cette prouesse architecturale du XIXe siècle, qui ne laisse rien transparaître du violent incendie qui l’a en partie ravagée durant l’entre-deux-guerres. Pourtant, il n’est pas possible de visiter le château-Perret. Il faut se contenter de l’apercevoir brièvement durant ce trajet, ou bien de l’observer de l’autre côté de la route, en attendant son bus par exemple.
Car il fait partie du centre hospitalier de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or depuis maintenant plus de 50 ans. En son sein, pas de patients. On y retrouve la direction générale, la direction des affaires financières, le centre de documentation et des salles de réunion. Un cadre idyllique où sont prises des décisions iniques pour le reste des bâtiments de santé, où évoluent 800 salariés médicaux et paramédicaux prenant en charge 12 000 patients à l’année.
Il faut remonter au mois de novembre 2022 pour le premier épisode fondateur de la situation saint-cyrôte. L'Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes prenait la décision peu commune de placer le centre hospitaliser de santé mentale sous administration provisoire. Le directeur, Jean-Charles Faivre-Pierret, se retrouvait dans le viseur de Jean-Yves Grall, dix ans après être arrivé à la tête de Saint-Cyr.
Pour avoir émis des doutes sur certains aspects de ce qui deviendra dans nos colonnes l'affaire Grall (lire LyonMag n°190), le futur lanceur d'alertes avait été écarté du château Perret suite à un "nombre conséquent de signalement émanant des professionnels de santé de l'établissement, de la gouvernance ainsi que de la commission des usagers". Une gouvernance qualifiée de toxique par des détracteurs rassemblés en collectif.
Il est établi aujourd'hui que certaines voix qui ont décrié opportunément Jean-Charles Faivre-Pierret, y compris dans la presse, ont bénéficié ensuite d'une promotion ou de passe-droits. À commencer par le président de la commission médicale d’établissement (CME), Jean-Pierre Salvarelli, qui a mené la fronde contre lui.
Depuis, c’est une lente descente aux enfers pour une grande partie du personnel qui fait face, en plus de la difficulté du quotidien avec des patients instables, voire dangereux, à une obligation de faire le moins de vagues possibles. Comble de l’horreur, certains salariés sont tellement poussés à bout qu’ils terminent à leur tour… en psychiatrie.
Mais alors qu’en France, de nombreux syndicats s’alarment des situations "classiques" en psy liées au manque de lits et de personnels, et organisent des manifestations, rien ne sort de Saint-Cyr. Un jeu de pouvoirs est en cours, alors que les deux administrateurs provisoires ont été prolongés dans leur mission. Des personnels vont même jusqu’à accompagner ces derniers au tribunal judiciaire de Lyon pour les soutenir dans leur procès en diffamation intenté par l’ancien directeur.
L’ARS n’a pas pu fermer les yeux sur la situation alarmante, voire dangereuse, pour les patients et le personnel du CH de Saint-Cy-rau- Mont-d’Or. L’arrivée d’une nouvelle directrice en la personne d’Anaïs Jehanno, ancienne figure des Républicains en Bretagne, sera-t-elle suffisante pour inverser la courbe négative ?
Une année noire
Les agressions, fugues et suicides sont le lot des établissements psychiatriques dont le personnel est formé pour les éviter ou, dans le pire des cas, faire face. Malgré toutes les précautions prises, rares sont les centres hospitaliers qui bouclent une année sans incident majeur.
À Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, 2023 fut l’année de tous les records. En un an, le nombre de faits signalés par les patients, et/ou les médecins et aides-soignants, a explosé. On les appelle des Évènements indésirables graves (EIGS). L’automne et le début de l’hiver y ont été particulièrement problématiques.
Le 17 septembre, une aide-soignante signalait à la direction un fait inquiétant. Au sein de l'unité d'hospitalisation de courte durée (UHCD), une jeune patiente SPDT (Soins psychiatriques à la demande d'un tiers) avait déclaré avoir eu un rapport sexuel avec un autre patient du service. On parle ici de personnes fragiles, émotionnellement instables, dont le discernement et le consentement sont souvent abolis. L’affaire avait été révélée par l’intéressée la veille au soir, et sa famille avait été prévenue. Parents et tante de la jeune femme de 20 ans s’étaient même déplacés à Saint-Cyr, annonçant vouloir porter plainte contre l’établissement.
Selon nos informations, la direction n’a pas pris de mesures particulières. La gendarmerie s’est déplacée mais aucune plainte n’a été déposée par l’établissement, la victime présumée a été autorisée à rentrer chez elle et le patient incriminé est resté dans son service, sans entrave particulière.
Le 18 novembre, c’est la victime d’une tentative d’agression sexuelle qu’il avait fallu prendre en charge. Durant l’après-midi, une patiente s’était réfugiée au standard du centre hospitalier après avoir été attaquée dans les toilettes du parc. Le suspect, un ancien patient de Saint-Cyr, harcelait sa victime avec des SMS. Comment s’est-il retrouvé dans l’enceinte du parc ? Là encore, aucune disposition n’est prise pour empêcher ces faits de se reproduire. Une plainte a été déposée contre le CH.
Le même jour, à 3h30 du matin, la compagne d'un patient avait été découverte dans la chambre de ce dernier. Une visite nocturne impromptue et remettant fortement en cause la sécurité de l’établissement. Alors que le personnel cherchait à la chasser, la femme révélait être au milieu d'une tentative de suicide après avoir ingéré des médicaments. Il avait fallu prévenir les pompiers pour la prendre en charge et l'emmener aux urgences.
Le 8 décembre, alors que Lyon célèbre la Fête des Lumières, Saint-Cyr fait face à l’horreur. Un patient déficitaire était violé par un autre pensionnaire de l’établissement. L’agression s’étant déroulée au sein de la section des soins psychiatriques sur décision du représentant de l'État, la victime a été mutée et le suspect est resté en place.
Mais avant cela, le jour-même, comme l’atteste un document que la rédaction a pu consulter, la victime a été examinée a minima par un médecin de l’UHCD. Cible d'attouchements et d'une fellation imposée, la victime confiait au professionnel être en état de choc, avoir honte et surtout avoir peur de représailles de la part de son agresseur parce qu'elle l'avait dénoncé. Pour ce traumatisme manifeste, le médecin décida alors d’accorder… zéro jour d’ITT au trentenaire affecté. Toujours le moins de traces possibles.
Le 12 décembre, une patiente se suicidait le soir en se pendant dans sa salle de bains. Le SAMU, arrivé 30 minutes après sa découverte, n'est pas parvenu à la réanimer.
Et le début d’année 2024 ne déroge pas à la règle, avec une nouvelle série d’EIGS. Un patient suicidaire était autorisé à sortir, mais sa soeur rappelait Saint-Cyr pour faire part de ses idées noires. Refus de le prendre en charge, la régulation préconisait de l’envoyer aux urgences. Le 4 janvier, l’homme se défenestrait.
Puis le 9, le centre hospitalier était contacté par un père désemparé. Persuadé que son fils avait besoin d’être pris en charge, il s’était heurté au refus de ses interlocuteurs, peu concernés. Là encore, le jeune homme se suicidait quelques heures plus tard.
Sans oublier les fugues, trop souvent constatées dans les établissements psychiatriques.
Une affaire de vengeance ?
Tous ces faits auraient-ils pu être évités ? Oui, selon les syndicats qui ont sollicité le recrutement de davantage d’infirmiers, notamment la nuit, et ainsi mettre fin au "mode dégradé" régulièrement décrété à cause d’absences ou de remplacements. Le directeur intérimaire Vincent Thomas avait répondu par écrit que la présence de deux infirmiers était maintenue chaque nuit à l'UHCD, tout en reconnaissant qu'il s'agissait "souvent (de) remplaçants".
Régulièrement, il est demandé oralement au personnel de ne pas faire de déclaration d’un événement indésirable grave. Pas de trace, pas de statistiques. Car les EIGS sont le marqueur d’un centre hospitalier en bonne santé, ou présentant un danger pour le personnel et les patients.
C’est d’ailleurs ce qui avait coûté la tête de Jean-Charles Faivre-Pierret en 2022. Alors qu'il venait de dénoncer Jean-Pierre Salvarelli d'être un élément qui "met en danger l'unité de l'hôpital" qu'il dirige sur la base de la recrudescence de suicides et de plaintes de maltraitances, l'ancien directeur venait de s'attaquer à un proche de Jean-Yves Grall. Pour contre-attaquer, alors que le président du conseil de surveillance du centre hospitalier, le maire de Limonest Max Vincent, réclamait un signalement contre Jean-Pierre Salvarelli, l'Agence régionale de santé dirigée par Grall se séparait de Jean-Charles Faivre- Pierret et mettait Saint-Cyr sous tutelle.
Il est reproché à l'élément perturbateur d'avoir connu une année à 96 EIGS. Un chiffre que conteste l'intéressé, d'autant qu'il restait sur une année 2021 à seulement 12 EIGS, sur les 63 rencontrés en psychiatrie dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. À l’époque, le Point classait d’ailleurs Saint-Cyr dans le top 50 des établissements français.
Quel bilan d’EIGS peut-on imputer à l’ère Vincent Thomas ? Difficile de le dire.
Le 17 mai déjà, la CGT tirait la sonnette d'alarme en interne. Dans un courriel envoyé au personnel de Saint-Cyr, le syndicat dénonçait "de plus en plus de violences" et des faits communiqués "malgré l'entrave aux élus de ne pas avoir accès aux événements indésirables". "Le fait que nous n'ayons toujours pas accès aux EI malgré l'engagement de la direction, nous questionne quant à la volonté de transparence de la direction", s'emportait à nouveau la CGT, cette fois dans un courriel adressé aux dirigeants du château.
Dans une réponse datée du 5 décembre, la direction douche les espoirs des responsables de la CGT. Elle leur rappelle que toute situation de "danger grave et imminent" relève de l'extraordinaire et qu'elle "doit échapper aux risques connus, prévisibles et habituels liés à l'exercice normal du travail". Avant de noter n'avoir "constaté sur la période mentionnée (depuis octobre 2023, ndlr), aucune situation caractérisée". La présence de personnes extérieures au centre hospitalier à deux reprises le 18 novembre, ne présenterait donc pas un danger pour les aides-soignants et les personnes prises en charge, si l’on en croit la direction.
"Au vu des éléments, il est à craindre une nouvelle vague de départs, ce qui serait dommageable pour l'institution", estime de son côté la CGT. Pire qu’une volonté de départ, un cadre de santé à bout a tenté de se suicider. De nombreux documents en possession de notre rédaction, et qui attestent de la recrudescence des EIGS à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, se seraient depuis volatilisés, n’étant plus accessibles pour le personnel, même ceux disposant de responsabilités. "Ils ont fait le ménage", nous rapporte-t-on.
En coulisses, on espère tout de même que le départ de Vincent Thomas, remplacé en ce début d’année 2024 par Anaïs Jehanno, puisse permettre au moins la remise à plat de la situation, et idéalement la fin d’une ambiance de travail délétère. Celle qui fut secrétaire départementale des Républicains en Ille-et-Vilaine, arrive dans un bourbier.
Personne n’est dupe, les cadavres dans les placards devraient y rester. Avec la bénédiction de certains grands pontes de la santé locale et nationale. D’autant que Jean-Pierre Salvarelli, dernier des Mohicans, est toujours en poste à la tête de la CME, et disposant de sa garde rapprochée, visiblement prête à tout par fidélité.
D’ailleurs, preuve que le système paraît encore vicié, Anaïs Jehanno se fait remarquer par une première décision étonnante. Selon nos informations, l’ARS et elle ont organisé une petite sauterie le 31 janvier, deux jours après son arrivée à Saint-Cyr. Etaient invités des personnalités du secteur, mais aussi une partie de la presse, triée sur le volet. Curieusement, il s’agit des médias qui ont porté la version de Jean-Yves Grall, de Jean-Pierre Salvarelli et de Vincent Thomas, à savoir le Progrès, Médiacités, Hospimedia et le Monde. Une certaine idée de la féodalisation.
A.A.
Mon Dieu mais qu'elle horreur ! Que font les autorités ?
Signaler RépondreMais où est le ministre ? À Toulouse il paraît 😂
Signaler RépondreLes familles et patients de saint Cyr pas intéressant pour lui ???? Il est pourtant assisté depuis la semaine dernière d une collaboratrice de premier choix puisque Mme G ex ARS AURA est en charge des établissements de santé
Des hauts fonctionnaires hors sol, mis en place juste pour protéger leur petit cercle, toujours les mêmes, la même clique. Dans les hauts de France, puis à Lyon et enfin à Paris
Allez Gabriel on y crois
Mon attente n'a pas été déçue : "celle-là", avec un trait d'union...
Signaler RépondreVous n’avez rien compris décidément, vous êtes autiste ? Mon patron ? Il n’y a QUE des Directeurs, des sous directeurs, des DRH à la pelle et des employés comme moi qui vivent sans bosser sur le dos des blaireaux qui a la base , travaillent dur , transpirent, payés des impôts aussi , se fatiguent physiquement, épointée sous payés et en plus ne profiteront jamais de leur retraite puisque beaucoup iront à 67 ans et seront mort 💀 avant . Bref , moi je suis heureux d’être bien payé et de ne rien faire pratiquement, sinon me lever tôt le matin et de ne bosser que le matin avec des primes , des 13 e mois , des participations aux bénéfices, des intéressements etc… je plains la base salariale qui en plus de mangé du pain dur et de se priver travaille comme des esclaves pour nous nourrir.
Signaler RépondreAh ! Celle là, je l'attendais.
Signaler Répondresi votre patron est un c.. (ca arrive ) , changez de boite ; si votre métier vous em.... (ca arrive aussi ) , changez de métier ; cela entraine certaines contraintes et remises en cause ; mais je l'ai fait plusieurs fois et je ne l'ai jamais regretté
Signaler Répondreune entreprise se doit d'etre concurrentielle et rentable ou elle disparait (ce qui nécessite une rationalité entre ses postes de production et ses dépenses ) alors qu'une administration n'en a cure ; elle taxe puis sur taxe puis s'endette puis se sur endette ; nous en sommes la
Signaler RépondreComme dans ma multinationale ou à la base une minorité de personnels payés au minimum et sans vraiment de motivation et d’expérience font vivre une immense majorité de personnels feignants et nonchalants dans des milliers de bureaux et d’autres actionnaires .
Signaler Répondrea l'image de toutes nos administrations nationales ou locales ; 30% du budget de l'hopital public est pour l'administratif ...
Signaler RépondreRappeler vous Claude Allègre qui voulait 'dégraisser le mammouth ' c'était en 1997 , cela n'a fait qu'empirer depuis ; création
de multiples agences , commissions , observatoires et autres 'machins ' inutiles et très couteux
Un peu à sens unique et influencé par la CGT qui comme chacun sait,ne dit que la vérité..😂
Signaler RépondreAlors là je ne pourrais pas dire mieux.
Signaler RépondreIls coûtent très chers et ne servent à rien.
Près de 2000 personnes à l ARS Aura, 3000 à l"ARS ile de France etc...
Pour quels résultats ?
ce pays est en train de s'auto détruire sous nos yeux. Nous sommes comme impuissants face à quelques décideurs qui ont choisi d'installer le chaos , la peur et la misère dans tout le pays ...
Signaler Répondresolidarité avec tous ceux qui luttent à leur niveau , solidarité avec ces malades maltraités ...
Nous perdons toute humanité....
Nos gouvernants préfèrent s'occuper de la mort : mettre l'avortement dans la constitution, mettre en place l'accompagnement à mourir , envoyer des hommes se battre en Ukraine ....
Futur logement des migrants.....
Signaler RépondreC'est la bas qu'il faut envoyer doucet et toute l'équipe alors !
Signaler Répondresi tu as besoin de rien tu peux les contacter, pour avoir travaillé de nombreuses années avec ses fonctionnaires je peux affirmer que c'est une belle brochette de glands.
Signaler RépondreOn peut (avec un "t"...).
Signaler RépondreNon les ARS et consoeurs ils sont là pour le job facile, pas stressant, la machine à café étant un outil de travail, et la sécurité de l'emploi.
Signaler RépondreQuoique ça risque pas de ne pas durer, le 1er sinistre et celui de l'économie (du raclement des fonds de poches) ont dit que la santé publique coûtait un pognon de dingue, ça va tailler dans les effectifs de base qui n'étaient déjà pas bien actifs...
C'est dimanche, impossible de lire même une ligne.
Signaler RépondreNumber One ! Encore un anglophone.
Signaler RépondreOn peux compter ?
tout à fait !
Signaler RépondreVoilà un article documenté après une enquête qui ne s'est pas faire en 5 mn. Du vrai journalisme, fouillé, étayé. Félicitations !
Signaler RépondreNotons au passage qu’il y a peu de commentaires, ce qui n'est guère étonnant quand on sait que la plupart des commentateurs habituels n’arrivent pas à lire plus de dix lignes.
"Une étude menée sur une population de patients souffrant de troubles psychiatriques, toutes pathologies confondues, a montré que le taux de mortalité est de 3 à 4 fois plus élevé qu’en population générale, et peut parfois être jusqu’à 20 fois supérieur, chez les sujets jeunes entre 35 et 54 ans." Le Quotidien du Médecin. Et à St Cyr au Mont d'Or, ça donne quoi ?
Signaler Répondreon le sait au niveau des ARS et autres organismes de santé ..ordre des médecins …. tous là pour se faire du fric facile et placer les petits copains ! il faudrait les dissoudre
Signaler Répondreest ce que Lyon Mag fera une enquête sur les officines d'extrême gauche sur les pentes !
Signaler RépondreMa fille en CE 1 , s'amuse à compter les fautes d'orthographe , vous êtes son NUMBER ONE ...
Signaler RépondreCours vite déposer plainte, puisque tu SAIS qu'il y a des élus corrompus et des marchés publics truqués. Tu as du biscuit ? Vas-y fonce pour le bien de la société !!!
Signaler RépondreÀ moins que ce ne soit juste plus facile de raconter n'importe quoi que de le prouver ?...
Une enquête chez les fou pour découvrir des dinguerie rien de dingue est ce que lyonmag fera une enquête sur les factions d'extrême droite dans le vieux Lyon et faire un article sur le détournement de l'argent par les élus et les marchés publics corrompus
Signaler RépondreIl faut fermer ce centre et ouvrir à la place une "maison de l'horreur", ce sera d'autant plus facile au niveau investissement qu'une partie des accessoires sera existante, et ça divertira au lieu de tuer...
Signaler RépondreMais des notables avides de pouvoir.
Signaler Répondreles fous ne sont pas toujours ceux auquel on pense .....
Signaler RépondreCertains lieux semblent...marqués, pour ne pas dire pire.
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