En mai 2023, onze associations et dix-sept commerces avaient déposé un recours devant le tribunal administratif de Lyon, remettant en cause la légalité du projet "Presqu'île à vivre", un plan de piétonisation de la presqu'île lyonnaise.
La principale mesure du projet, porté par le président de la métropole Bruno Bernard, est la mise en place d'une Zone à trafic limité (ZTL) d'ici 2025, allant de la place Bellecour à la place des Terreaux, et la piétonisation de 15 rues d'ici 2025.
Le projet avait déjà ses détracteurs : ceux-ci ont décidé de faire entendre de nouveau leur voix, puisque 19 associations ont cette semaine interpellé le Conseil d’État, impatients de connaître la décision du tribunal après dix mois d'attente. Parmi elles, des commerçants et habitants, qui remettent en question, donc, la légalité du projet : selon le président de l'Association de développement de la Presqu'île de Lyon (ADPL) pour LyonCapitale, aucune étude d'impact n'aurait été menée en amont du vote, ce qui pourrait rendre l'entièreté du programme illégal.
Mais ce n'est pas tout ce qui est reproché à la Métropole et à la Mairie : d'un côté, l'inexistence des études d'impact, mais également le manque de concertation et d'information des habitants, qui s'inquiètent des répercussions sur les commerces et riverains. Le Conseil d’État a donc été interpellé pour accélérer la procédure auprès du tribunal administratif. De son côté, ce dernier a indiqué traiter le dossier dans un délai tout à fait normal.
Affaire à suivre.
il n'organise pas ,il désorganise voire détruit l'économie , la ville, la population, un vrai fléau ce mec.
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Signaler RépondreDoucet a été élu et il s'en cogne de vos avis
Signaler RépondreÉtude d'impact et concertation des habitants en amont, avec les pastèques ?
Signaler RépondreJamais avec eux, ces mots sont bannis du dictionnaire écologiste ;-) Il ne faut pas oublier que c'est une dictature leur politique.
Ils font leurs affaires de secte entre eux et rien à f..... des conséquences derrière.
Et si ça râle trop derrière il se tournent vers le gouvernement pour régler les problèmes et se décharger de leurs âneries (pour rester poli).
Espérons qu'avec les histoires judiciaires et les perquisitions menées ces derniers temps les fasse partir avant 2 ans...
Comment construire la ville de demain, mode d'emploi.
Signaler RépondreProcédures tampons.
Signaler RépondreEncore faut il le faire en toute intelligence et avec un minimum de bon sens, ce qui manque cruellement à ces pseudo écolo de pacotille !
Signaler RépondreOn a pas saisi le conseil d'état quand ils se la pétaient avec leurs SUV à 100.000 euros hyper-polluants et leurs magasins de bobos
Signaler Répondre.... la roublardise des commerçants !
Signaler RépondreTouche pas à mon grisbi, voilà leur rengaine.... et leur haine !
Ils s'en tapent du bien vivre du lyonnais intra-muros, ils ne voient que leurs chiffres d'affaires.... mais partez donc en banlieues, vous aurez toute la place nécessaire !
Et quand leurs commerces seront vidés, d'autres commerçants moins revanchards viendront occuper l'espace avec un tout état d'esprit, celui de vivre et faire vivre les "urbains".
La ville appartient d'abord aux piétons et aux transports en communs, ne leurs en déplaise !
Sauf que la ville ne leurs appartient pas
Signaler Répondreen l'occurrence, c'est la métropole qui s'occupe des mobilités pas les maires.
Signaler Répondrehors sujet
à l'envers la tarte
Prochain GTA en vue ?
Signaler Répondrevous avez élus les ecolos maintenant arrangé vous avec ont vous l'avez dit ça va être de la merde et bein taper vous sur les doigts
Signaler RépondrePradel voulait détruire le vieux Lyon .
Signaler RépondreBernard va détruire la presqu’île !
A la place de tous les immeubles , on y fera paître des moutons et des vaches qu’on ne traira pas et qu’on ne tuera pas !
Quelle bonne idée !!!
ouille j'ai un bobo
Signaler RépondreMême le président de la république doit se plier aux lois, pour info la France est un état de droit soit disant
Signaler RépondreAh Ah Ah ! Si je pose un pot de fleur devant chez moi, ils vont saisir le conseil d'état ? Ce serait un comble que les Maires ne puissent plus organiser les villes dont ils sont les gestionnaires.
Signaler RépondreComment détruire une ville, mode d’emploi.
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