Comme un air d’été… mais plus pour longtemps. Il a fait chaud ce week-end sur tout le pays. L’agglomération lyonnaise n’a pas échappé à ces températures élevées avec au bout des records de chaleur enregistrés.
En ce qui concerne la journée de samedi, le mercure a atteint les 27,7 degrés à la station de Lyon-Bron, soit le 13 avril le plus chaud depuis 1949.
Un autre record a également été noté ce dimanche avec 29,6 degrés toujours à la station de Lyon Bron. Ce 14 avril 2024 fut le plus chaud jamais enregistré aussi depuis 1949.
Pas de record mensuel en revanche. Celui de 1949 établi à 30,1 degrés reste le plus haut enregistré.
Il ne faudra pas s’habituer à ce mercure élevé puisque Météo France annonce dès ce lundi une baisse des températures. Comptez un maximum de 13 degrés ce mardi, 12 degrés ce mercredi et ce jeudi.
Pour une fois on apprend quelque chose de vraiment intéressant dans les commentaires de LM. Je ne connaissais pas le procédé. Moi qui retape une veille bâtisse, je vais regarder ça de près. Mais les autres solutions dont j'ai parlé sont aussi très efficaces, vas voir la chaîne YouTube de l'ArchiPelle, la vidéo sur comment rénover une passoire thermique des années 70, il y a de très bonnes explications par des spécialistes du domaine.
Signaler RépondreBonne journée
*pensées
Signaler RépondreSi, la solution miracle existe, et depuis des millénaires : le puit à vent. Mais nos constructions n'ont pas été pensé ainsi. Pour la prochaine génération de batiments, avoir un grand puits central qui évacue la chaleur par convection serait l'idéal, mais ça demande une préconception en amont de l'archi.
Signaler RépondreOn pourrait p-e adapter les colonnes sèches en les faisant descendre jusqu'à la cave? Ou en creuser une petite, si besoin est.
Soit disant "ville fraiche" n'importe quoi, ils nous prennent pour des jambons ces écolos. Tout ces efforts pour quel résultat svp ??!!
Signaler RépondreEn fait, il faut contrôler en permanence les apports et les pertes, pour ça il faut prendre en compte plusieurs facteurs qui sont l'isolation, l'inertie, l'isolation, le temps de déphasage et l'effusivité et ne pas les confort entre eux. Tout en sachant que la solution miracle n'existe pas, tout est affaire d'équilibre en fonction du but à atteindre, on ne peut jouer à 100 % que sur un des ces facteurs.
Signaler RépondrePersonne ne dit que les aléas climatiques n'ont jamais existé, sauf les droitards qui ne comprennent rien et déforment les propos des autres.
Signaler RépondreTu vas nous faire croire que les aléas climatiques ne sont pas plus rapprochés qu'avant ? Que les dégâts provoqués par ces aléas ne sont pas de plus en plus violents ?
Vas-y, explique, juste pour rire un bon coup, on est victime d'une impression de temps complètement dérangé ? Et évite de te ridiculiser en confondant climatologie et météorologie, ça serait bien pour une fois.
Très sympa mais le ressenti était bien inférieur.
Signaler RépondreIl faut arriver a se rappeler de la multiplication des episodes d'intense chaleurs sur la duree ,comme l'ete 2023 , qui fut le plus chaud jamais enregistree. Mais bon la memoire et les gens ca fait deux.
Signaler RépondreOn se rassure comme on peut, hein?
Signaler RépondreMesdames et messieurs C’est reparti pour un tour de Manège le cirque des clowns réchauffistes revient sur Lyon
Signaler Répondre30 degrés en avril. MERCI le réchauffement climatique !
Signaler RépondreMacron, sors de ce corps !
Signaler RépondreOui aussi, et toits plats, et végétalisation..
Signaler RépondreLe défi c'est de s'isoler un max sans vivre dans des grottes pour autant. Faut combiner.
Pour un peu ce serait passionnant, on a l'occasion de revoir et repenser l'habitat.
Si on comprend bien " rien de nouveau sous le soleil ," on a eu la même température élevée en 1949 , on ne parlait pas de réchauffement climatique , ni de la pollution de l'air. Finalement il semblerait que par rapport à 1949 si on n'avait rien fait depuis 75 ans la température actuelle devrait être bien plus élevée.... Non ?
Signaler RépondreBatir épais, ça veut dire du frais pendant un mois, puis l'inertie thermique de la pierre/béton va commencer à stocker la chaleur du jour, puis des jours, enfin ça devient une cocotte-minute qui chauffe H24. Le mieux ça reste l'albédo : renvoyer la lumière, infra-rouges compris, vers le ciel. Faut tout couvrir et peindre en blanc.
Signaler RépondreÇa y’est , il fait chaud tous les gens sortent , vraiment comme des cafards
Signaler RépondreIl y a qqs années j'aurais annoncé un été de feu avec certitude à la suite d'un printemps pareil mais...
Signaler RépondreMais de nos jours difficile de faire des prévisions et... tous les étés sont de feu.
Ce qui est sûr c'est qu'on a changé de saison déjà. Et qu'on va encore morfler, faut s'y faire.
Au point où on en est, on pourrait prévoir que les lances des pompiers brumisent la ville depuis Saône, Rhône, canaux et points d'eau, chaque soir à 20h.
Puis arrêter les façades vitrées et bâtir épais.
Que fait la mairie? Ou sont les îlots de fraicheur?
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