Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Selon une étude de Santé Publique France, moins d'une femme sur deux a participé au dépistage du cancer du sein lors de la dernière campagne. Le taux est notamment passé de 47,7% à 46,5% entre les période 2021-2022 et 2022-2023.
Pas d'exception dans le Rhône mais un... (Lire la suite sur Lyon Femmes)
Je suis de votre avis, mais la plupart du temps il est prescrit, sans les examens et analyses. C'est ce que je dénonce. Cordialement.
Signaler RépondreUn traitement hormonal n'a rien de " mortel " quand il est donné à bon escient après les examens et analyses nécessaires. comme tout traitement, et quelquefois il est donné pour soigner. Il en est bien autrement du tabac et de l'alcool, et pourtant c'est en vente libre !!!
Signaler RépondreRévolté par le discours d'une doctoresse à la TV qui incite les femmes en pré-ménopause et qui on du mal à le supporter, à ingérer un traitement hormonale. Stupéfiant ! Il faut savoir qu'un grand nombre de cancers du sein ont été favorisés voir provoqués par ces traitements hormonaux. Elle aurait mieux fait de préconiser un dépistage pour voir avant si les personnes sont sensibles aux hormones au lieu de nous donner l'impression, qu'elle est missionnée par un laboratoire qui fabrique ces "traitements mortels pour certaines femmes". Il faut savoir que certains contraceptifs hormonaux, eux aussi, provoquent le cancer du sein. Une simple prise de sang et un dépistage avant tout traitement hormonale est impératif !
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