Vendredi après-midi, les membres des collectifs Solidarité entre Femmes à la Rue, Droit au Logement 69, et Jamais Sans Toit ont entrepris d’occuper le gymnase Marcel Dargent, dans le 8e arrondissement de Lyon.
Quelques heures plus tard, les forces de l’ordre sont intervenues à la demande de la Ville pour libérer le bâtiment, principalement au regard du "manque de dignité" qui réside dans cette solution d’hébergement, selon la municipalité.
"On a ouvert les portes du gymnase, 170 personnes sont entrées accompagnées d’une quarantaine de soutiens, qui se sont mises dans un coin pendant que l’entraînement de jeunes volleyballeurs en cours s’est un peu prolongé.", raconte Juliette Murtin, porte-parole des collectifs Jamais sans Toit et Solidarité entre Femmes à la Rue. "Ça s’est fait dans le calme : pour ces femmes, c’était un immense soulagement de pouvoir entrer dans ce lieu. Certaines se sont allongées dans un coin et se sont endormies, dans la rue elles passent leur temps à veiller sur leurs enfants."
Un sentiment de sécurité de courte durée puisqu’après avoir reçu un SMS de Sandrine Runel, adjointe aux Solidarités de la Mairie, qui annonçait être prête à discuter le lendemain, les réfugiés ont vu le gymnase se faire encercler par la police municipale, avant d’être rejointe par la police nationale. "L’expulsion n’était pas mentionnée dans les messages, et Mme Runel a dépêché la Police Municipale qui nous a empêché de faire entrer les médias et de ravitailler les enfants."
La suite des évènements s’est donc déroulée de la façon suivante : "l’expulsion s’est faite sans débordement, ce qui n’était pas simple puisque plusieurs personnes voulaient rester et continuer de faire une sorte de blocus. On a décidé collectivement de se replier, au vu du nombre de femmes enceintes et d’enfants."
En parlant aux acteurs de cette occupation-éclair, certains sentiments persistent et reviennent de témoignage en témoignage : "le désarroi", "le désespoir", "délaissées", "abandonnées", et "colère".
Un retour brutal à la réalité
Parmi ces femmes, qui ont dû retourner à leurs conditions de vie précaires, Germique, une Camerounaise de 30 ans, enceinte d’un mois. "On était très heureuses, mais malheureusement la joie n’a pas duré longtemps. Cela fait trois jours que je suis à la Guillotière, je traîne à côté des restaurants pour avoir à manger, je reste dans un coin sombre du métro quand je peux." Germique a fui le Cameroun après un viol collectif, effrayée par ses conditions de vie au pays.
Depuis l’expulsion, elle vit sous un pont, à Villeurbanne, en compagnie de plusieurs dizaines de personnes en précarité : "je suis aide-soignante, mais on ne veut pas m’embaucher car je n’ai pas de papiers. J’ai travaillé deux mois, on ne m’a pas payé, et je n’ai pas pu me défendre car je suis en situation irrégulière. Je dois faire des choses horribles pour survivre, j’ai dû me prostituer, manger des déchets. Certains dorment dans des bennes."
Prises dans un cercle vicieux entre situation d’irrégularité et refus d’être embauchée, Germique n’est pas la seule à peiner à survivre : "je travaille au noir parfois, je fais le ménage", raconte Dalal, une Algérienne de 37 ans, arrivée en France voilà deux ans. "Mais personne ne veut nous embaucher. Mon fils a treize ans, on a eu un espoir d’avoir un toit pour être à l’aise, et après une demi-heure des dizaines de policiers sont arrivés en nous traitant de clochards". Au téléphone, sa voix tressaute. "Les enfants se sont fait pipi dessus. J’ai eu très peur."
Dalal vit dans la rue avec son fils. Venue en France pour retrouver son mari, celui-ci a divorcé à son arrivée. Depuis, elle survit de squat en squat, de canapés d’amis à la rue. "On a vécu avec deux copines dans un squat, sans électricité et avec une seule bombonne de gaz, avec tous nos enfants." Classée prioritaire pour l’accès à un logement d’urgence, le manque de place dans ces derniers l’a abandonné à la rue ces derniers mois.
Samedi, les membres du collectif se sont rendus devant l’Hôtel de Ville et ont "crié, crié, crié" d’après les mots de Samira, Algérienne qui avait investi le gymnase avec ses quatre enfants. Celle-ci habite un squat à Vaise, dans un immeuble qui sera bientôt démoli. Elle a fui son pays à cause d’un ex-mari violent : "je ne pourrai jamais rentrer à cause de lui", raconte-t-elle.
Mais samedi, alors que ces quelques dizaines de femmes et leurs enfants étaient devant la mairie, celle-ci a fait la sourde oreille. "On a crié, sous la pluie, on avait l’impression d’être délaissés, personne n’est venu. C’est comme si on ne nous écoutait pas", raconte Germique, sanglotant dans le combiné. "On a essayé de faire passer le message à la mairie, mais personne n’est descendu", décrit Samira.
De son côté, Marie-Charlotte Garin, députée écologiste de la 3e circonscription du Rhône, a publié un communiqué appelant à la médiation entre les collectifs et la Ville. Car il y a de la friture sur la ligne, surtout après la "trahison" de Sandrine Runel et son SMS, dont elle annonce un contenu différent aux médias. "Ce sont nos revendications de vendredi, avant l’occupation du gymnase. Nous nous sommes rassemblés devant la Métropole, demandant une discussion rassemblant la Métropole, la Mairie, la Préfecture et les collectifs autour d’une table." explique Juliette Murtin.
Si la question a été traitée médiatiquement par les élus, reste à voir si ces derniers s’engageront dans des discussions avec les collectifs, qui n’ont pour l’instant "pas eu de retours."
A.V.
C est exactement ce qui faut faire. Développement des pays, reductuo' de l impact carbone et surtout suppression des réseaux sociaux qui atise convoitise et haine. Pas facile mais une solutio' viable à long terme
Signaler RépondrePeut-ètre que personne n'a raison sur le sujet, sinon. Peut-ètre que la solution n'est ni de transformer la France/Europe en forteresse imprenable, ni d'accueillir n'importe qui en mode auberge espagnole. Et là vous allez me dire : "Alors c'est quoi ta solution, gros malin?"
Signaler RépondreBah j'en sais rien, vraiment. Peut-ètre faire en sorte d'aider, assister ces pays à ne plus ètre des enfers dont tout le monde veut se barrer.
mais si le 'bon sens ' pouvait enfin etre pris en compte surtout par nos politicards , cela pourrait poser les bases de discutions sérieuses sur le devenir de nos territoires a moyen et long terme (soit 20 a 30 ans ) mais la .... ' I have a dream ' ...
Signaler Répondreet bien oui et elle a raison!!!
Signaler Répondreon ne les croit plus.le folklore saint sulpicien qui leur est si cher s est tari comme notre propre porte monnaie (pas le leur ,helas)
Signaler Répondreet donc c est aux électeurs de doucet d assumer? fallait voter
Signaler Répondremalgre les doses de moraline qu on nous impose en intra veineuses depuis des annees..
Signaler Répondre« On a ouvert les portes du gymnase, 170 personnes sont entrées accompagnées d’une quarantaine de soutiens, qui se sont mises dans un coin pendant que l’entraînement de jeunes volleyballeurs en cours s’est un peu prolongé.", raconte Juliette Murtin, porte-parole des collectifs Jamais sans Toit et Solidarité entre Femmes à la Rue. Ça s’est fait dans le calme »
Signaler Répondre😂 je ris jaune , CORRECTION : ces voyous sont entrés sauvagement dans le hymnase avec leur mégaphone s’installant en plein milieu de terrains ou jouaient des enfants de 10 ans . Je vous laisse imaginer la terreur de ceux croyant à une attaque tetroriste ou à un kidnapping, Ils ont heureusement été géré par les coachs en attendant que les parents viennent les chercher 40 minutes avant la fin …
Bande de voyous, et menteurs qui plus est !
Il faudrait arrêter de financer ces associations financer avec nos impôts!
Signaler RépondreTout le monde sais bien, et les migrants les premiers que la France est généreuse avec l'argent des Français qui bossent!
On le voit bien avec ceux qui arrivent et qui pourront toucher le minimum vieillesse sans jamais avoir cotisé!
bien dit
Signaler RépondreSi certain sont bien pensant d autres ont une pensée simpliste ! Si ils sont prêt à risquer leurs vie sur une embarcation de misère pour traverser la méditerranée ou la Manche ce n est pas pour un "bon acceuil" qu ils savent par avance miserable mais pour échapper à la mort à la misère ou les deux. Ces gens n ont rien à perdre et le fait de dormir dehors ne les font pas rentrer. Ça c est ce que dit les politiques pour avoir votre voix et à priori ca marche depuis plus de 60ans. Allait dans la jungle au nord et parlez à ces migrants au lieu de croire un homme en cravate avec une rethorique impecable et de beaux éléments de langage que vous utilisez allègrement ! Le bien pensant n est pas celui qui croit !
Signaler Répondreon voit bien que la France n est pas un pays pour ces gens !!! on les mets dans des conditions déplorables comme les SS le faisaient en 40/45!!!!!!il faut a tout prix condamner ces associations de faux humanitaires riches en mal de sensations et r’ recherches de reconnaissances égoïstes et regarder les choses en face pour arrêter une ecole a faire des esclaves pauvres et sans vrai espoirs!!!!
Signaler Répondreapres leur "sans abrisme" ,le ..."realitisme"!!hi,hi,hi
Signaler RépondreMais ras le bol à la fin Encore qui vont profités de la CAF etc.... et après leurs maris viennent quand c'est tout réglées c'est aussi simple que ça
Signaler Répondreretour ! .
Signaler RépondreUne pensée émue tous ces idealistes humanistes bien pendants qui pensent que la France peut acceuillir toute la misère du monde...
Signaler RépondreVoyez ou votre folie vous conduit et à quoi sont amener a endurer ces pauvres malheureux qui pensent qui vous ecoutent en laissant entendre que notre pays est un eldorado...
Avant je compatissais mais ça c'était avant !!! avant de voir tous mes concitoyens agressés par ceux que l'on a aidé donc j'en ai plus rien à faire , faut leur apprendre la contraception car leurs momes ils les assument jamais
Signaler RépondreHeureux de lire que cette personne reconnaît publiquement le délit d'intrusion et son maintien dans un bâtiment public.
Signaler RépondreJ'espère que le procureur ne manquera pas de se saisir, de la poursuivre, et de demander le retrait de son statut de fonctionnaire d'état.
Par ailleurs, quid de la neutralité de son enseignement ??
1 camerounaise, 2 algériennes. Leurs pays ne sont pas en guerre. Et elles viennent ici réclamer justice et solidarité pour des faits commis dans leurs pays respectifs. Les viols collectifs et les violences conjugales sont réprimés en France. Comme dans leur pays j'imagine. Nous n'avons pas à assumer le service après vente de leurs pays déficients dont ils ne cesseront de vanter les louanges une fois que nous leur auront fait l'aumône.
Signaler RépondreDésolé. Retour à l'envoyeur.
Comme d'habitude y ont des histoires z faire pleurer mais lol genre en Algérie ou chez pas y as pas de travail lol nous on cherche un appartement et ont et pas prioritaire
Signaler RépondreJe n'ai pas d'affection particulière pour les services de Police et de Gendarmerie, mais vous délirez complètement. AUCUN agent des forces de l'ordre ne se comporterait jamais comme vous le dites.
Signaler Répondresi vous le dites ; et selon vous ; a défaut de pouvoir le penser et le dire ; il faudrait faire quoi ?
Signaler RépondreMais c'est déjà fait! Votre commentaire est rempli de conneries !!
Signaler RépondreTant qu'elle est financiée par les belligérants 😉 elle souhaite regarder l'immense plafond de leur hémicycle.
Signaler Répondreun enfant né sur le territoire francais de parents illegaux n est pas francais
Signaler Répondre... mais avec le temps, la scolarisation et tout le reste, il acquiert la nationalité avec toutes les joies du regroupement familial etendu et les aides qui vont avec
en attendant, notons que le Cameroun n est pas un pays en guerre : "après un viol collectif, effrayée par ses conditions de vie au pays"
en gros, la justice de son pays ne vaut rien, et le niveau de vie est faible.. c est triste, mais que pouvons nous y faire?
nous sommes assez cloche pour avoir de bonnes ames prete a l accueillir... au lieu de l aider a faire condamner ses agresseurs et s emanciper par le travail dans son pays
elle croit qu en France la vie est facile? Elle croit que les locaux vont tollerer longtemps la venu d hommes et de femmes comme elle?
Qu'en pense l'ONU ?
Signaler RépondreC'est un classique qui s'installe de + en + dans les commissariats de vouloir volontairement refuser des dépositions de plaintes jugées non recevables pour des raisons d'appréciations personnelles venant des fonctionnaires de police.
Signaler RépondrePourtant, dans chaque commissariat, il y a une chartre de la prise en charge de tout plaignants AFFICHÉE de manière visible pour les requérants.
Cette chartre affiche clairement que " tout requérant victime d'une injustice à le droit de faire un dépôt de plainte quelle que soit la nature du préjudice subit". Cette affiche est placardée soit à l'accueil du commissariat, soit dans l'espace d'attente.
Autrement dit, nul fonctionnaire a le droit de ne pas vous entendre et de tracer par écrit les raisons pour lesquelles vous êtes face à lui.
Vous devriez vous renseigner. Son futur enfant ne sera pas français même s'il nait en France.
Signaler RépondreLa France ne pratique pas le droit du sol mais le double droit du sol.
C'est fou les soit disant défenseurs de notre pays qui n'en connaissent même pas le fonctionnement.
Nous devons d’abord protéger les Français les plus en difficulté et qui sont en précarité. Nous ne devons pas devenir un pays sans foi ni loi! Personne ne leur a demandé de venir en France. Il n’y a pas d’avenir pour ces illégaux à part la rue et donc de générer de l’insécurité.
Signaler RépondreAucune pitié pour ces illégaux. Leur avenir est dans leur pays d’origine afin qu’ils puissent créer de la richesse pour leur pays!
Visiblement elle a dû se prostituée.
Signaler RépondreIl existe un paquet de tarés qui sont prêts à payer plus cher pour baiser sans capote.
J'imagine que l'accès à la contraception était compliquée.
Sa vie semble être un enfer.
Là bas comme chez nous...
Mais je ne la condamnerait pas d'être tombée enceinte
Ca ne prend pas aux tripes du tout.Elles sont là en toute illégalité.Ce que vous pouvez faire:en héberger chez vous!!!
Signaler RépondreDes témoignages qui prennent aux tripes. Je ne sais pas ce qu’on peut faire pour ces femmes, ni pour celles qui suivront…
Signaler RépondreLa dignité serait que ces individus puissent repartir dans leur pays pour refaire leur vie. Il n’y a pas d’avenir pour ces illégaux en France. Nous avons d’abord à nous préoccuper des français en situation de grande détresse et en très grande diffuculte. Nous n’avons pas les moyens d’accueillir la misère du monde.
Signaler RépondreLes escrolos ont créé un appel d'air sur l'hébergement
Signaler RépondreA eux d'assumer maintenant
Vous radotez votre histoire.
Signaler RépondreUn seul moyen: rentrez au bercail.on n a pas besoin de telles personnes qui veulent profiter des aides.basta. point barre
Signaler RépondreMdr . Ils se cachent dans les commissariats, c’est t’a celui ou celle qui ne fera le MOINS. Je l’ai vue de mes propres yeux quand j’ai voulu aller porter plainte , tout est fait pour vous faire partir . Et après deux heures d’attente, j’ai été reçu par une femme policière qui m’a dit que c’était pas possible, j’ai perdu mon temps , car les hommes ne sont pas les bienvenus chez ses misandres en uniforme.
Signaler RépondreJe plussoie...
Signaler Répondreelle casse la (mache) croute
Signaler Répondrec'est pourtant simple, vous faites un enfant en France il est français, a vous tous les avantages liés a cette situation et aucun risque d'être expulsée un jour. Et apres la naissance du premier en mettre vite un autre en route pour ameliorer l'ordinaire
Signaler RépondreBizarre leur pays n'est pas en guerre ??!!! Et l'autre comme par hasard est enceinte...quand l'enfant devient un visa au détriment de son bien être que l'on va financer...et l'histoire du viol collectif...lol faire larmoyer le bobo occidental...on va y croire....oust dehors ....vous avez un chez vous l'autre côté de la mideterannee
Signaler RépondreL'erreur est humaine : ces gens là pensaient avoir une vie meilleure ici. Raté, c'est pas le cas, c'est pire. Pardonnons leur cette erreur, cela peut arriver à tout le monde. Il faut les aider à rentrer chez eux et je pense que les subventions de l'état doivent servir en priorité pour l'accompagnement des ces personnes vers leurs pays.
Signaler RépondreCeux qui sont inhumains au contraire, ce sont ces associations qui disent militer pour le droit des immigrés. Mais c'est faux.
Il n'y a pas de travail pour des gens âgés qui n'ont aucunes qualifications et qui ont vécu des moments très traumatisants et qui en plus enchainent les grossesses. Arrêtez de leur faire croire qu'il y a de l'espoir, il n'y a aucun espoir pour eux en France, et l'avenir sera encore plus rude et difficile. Vous etes les monstres, vous les faites venir et ils se retrouvent dans la rue à cause de vous!!!!
Dites moi quelle entreprise va fournir un titre se séjour, un contrat de travail, se porter garant d'un immigré comme ça? Pas de logement, pas de projet mais déjà enceinte. NON NON
Mais que fait la police 🤔
Signaler RépondreRemigration
Signaler RépondreC’est insupportable d’entendre les pro immigration soit disant humanistes nous rebattre les oreilles sur notre devoir d’en accueillir encore plus, patronats et associations ont le même combat le business, c’est immonde de laisser ces gens comme ça, pire que tout oser dénoncer et dire stop nous vaut une volée de bois verts, soit on a les moyens, l’argent les conditions et ok on accueille des gens qui veulent s’intégrer et respecter les lois soit on arrête c’est vraiment écœurant de constater que certains font leur beurre, bâtissent leurs projets politiques sur le dos de ces gens et des travailleurs. Société de dingues irresponsables dogmatiques qui s’en fiche royalement des conséquences.
Signaler RépondreMême quand on a un coeur énorme, toujours prêt à aider les gens dans la détresse , il y a des choses qui me sidèrent.
Signaler RépondreGermique nous raconte le viol collectif qu'elle a subi au Cameroun et nous indique qu'elle a travaillé deux mois en France, et qu'elle est enceinte d'un mois !
Comment peut on tomber enceinte dans une situation comme la sienne ? Comment ?
Ça m'horripile, ça m'exaspère, on est à la rue, on n'a pas de travail ,on est en situation irrégulière et on fait un enfant !
Comme Samira qui fuit un mari violent à qui elle a donné quatre enfants, j'hallucine, il fallait partir avant, ce n'est pas possible !
Je préfère m'arrêter avant de dire des "conneries
On sent que les élections approchent et que certains commencent à avoir peur pour leurs postes. Il n’y a pas d’autres explication censée au fait que les pastèques annoncent des décisions rationnelles de fermeté à propos de ces squats.
Signaler RépondreJ'ai lu cet article et je me pose quelques questions sur le choix d'immigrer en France. Il n'y a pas de guerre dans les pays en questions et les faits relatés relèvent de la justice du pays ou de convenances personnelles. Je regrette pour cette algèrienne que le rapprochement familial soit caduque du fait d'un divorce, elle peut retourner dans son pays d'origine.
Signaler RépondreLe constat c'est que nous avons à faire face à une immigration économique. Je ne critique pas des personnes qui recherchent des meilleurs conditions de vie mais la France ne peut accueillir toute la misère du monde et à commencer par offir des logements alors qu'il y a pénurie. Pour les politiques qui s'offusquent, c'est facile d'être généreux avec l'argent des autres, passer une nuit dans un squatt ce n'est pas une révolution.