C’est une manifestation régionale contre la réforme du choc des savoirs qui se déroulera ce samedi à Lyon. Le rendez-vous est donné à 11h sur la place Guichard dans le 3e arrondissement. Le cortège prendra ensuite la direction de la place des Terreaux.
"Le gouvernement cherche à imposer, un modèle d’Ecole, du collège au lycée, qui vise à faire sortir de l’Ecole publique, le plus tôt possible et à chaque étape de leur scolarité, les élèves des classes populaires", dénonce notamment le SNES-FSU de Lyon.
Annoncée par le Premier ministre Gabriel Attal, la réforme du choc des savoirs doit créer dès la rentrée prochaine des groupes de niveaux en mathématiques et en français pour les classes de 6e et de 5e.
Gauche bourgeoise qui ne sait rien ne voit rien. Gauche prolo qui croit tout savoir.
Signaler RépondreEncore et toujours le dogmatisme de gauche. Ils ne comprennent toujours pas que certains élèves s'épanouiront en apprenant un métier en CFA, et qu'ils pourront meme devenir des Meilleurs Ouvriers de France dans des métiers manuels. Ces gauchos dogmatiques, préfèrent tirer jusqu'à ce que la corde casse, et les élèves et les professeurs, sur qui repose la lourde charge de tenter d'enseigner. C'est parce que des élèves s'ennuient qu'ils deviennent des perturbateurs.
Signaler RépondreCes enseignants sont dans de la posture idéologique et politique et détestent l’élitisme.
Signaler RépondreEt ils se foutent royalement des classements internationaux qui mettent la France à sa bonne place et qui n’est pas brillante comme chacun sait.
D’ailleurs, le mot classement est interdit dans leur vocabulaire … et pour cause!
Comme pour les politiques, on a les enseignants qu’on mérite…..
Vous avez parfaitement raison !
Signaler RépondreComme d'habitude , proposé quelques choses a certains enseignants et vous avez immédiatement une contestation !
Voir des manifestations
Voir, alors là , le Graal !! La grève
Effectivement nos enseignants peuvent être très fier de la chute dans le classe internationale de leurs élèves en français et mathématiques .
Rappelez-moi de combien de places nous avons chuté ?
Nos chers enseignants aimeraient mieux que leurs ministère s'en prennent à leur propre niveau d'enseignement pour expliquer la dégringolade des élèves en français dans le classement international ??
Alors qu'ils fassent un effort !
Et qu'ils acceptent les groupes de niveaux avant que l'on commence a regarder leurs propres niveau à eux . J.M
Tout à fait d accord.
Signaler RépondreLes masques obligatoires pour les élèves...personne n a rien dit....
Un vrai scandale...étouffé
Accessoirement, il ne s'agit pas des élèves des classes populaires ou non.. mais de ceux qui buchent, ou non.
Signaler RépondreAprès.. pour faire des groupes de niveau, il faut donner des interro, les corriger et les noter.. c'est à dire faire le boulot d'un prof.
C'est incroyable d'en arriver là.. il y a dans l'éduc des gens qui ne veulent pas différencier les bons des mauvais, ceux qui peuvent aller plus loin de ceux qui ont besoin de plus de temps.. ils nivellent par le bas, et finalement ce sont eux qui maintiennent telle ou telle population dans un ventre mou d'où n'émerge aucun génie. C'est pourtant la base du métier.. et son plaisir. Répéter, et encore, avec ceux qui en ont besoin, c'est la bataille. Aller plus loin, éclater les programmes, avec ceux qui peuvent, c'est la victoire.
Il faut des groupes de niveau, et non des classes d'âge. Il fau(drai)t aussi des hussards noirs.
Même le samedi ils font grève 😂😂😂
Signaler RépondreOui mdr !
Signaler RépondreAh ces syndicaleux qui jouent avec les enfants des classes populaires et qui mettent leurs enfants dans le privé. Ils n'ont pas moufeté quand les enfants étaient contraints de mettre des masques et poussés vers la vaccination
Signaler Répondredes groupes de niveau il y en a dans de nombreux pays européens
Signaler Répondrecomme d’habitude ici, ne pas toucher aux petits français !!!
Plus personne ne veut devenir prof.
Signaler RépondreIls sont mal payés malgré certains avantages, plus respectés voire agressés, menacés par des racailles et parents de racailles de plus en plus nombreuses et l'absence d'autorité de l'état.
Pas assez de candidats au Capes, les rectorats obligés de recruter des profs remplaçants à tour de bras
Chute du niveau des élèves, programmes allégés chaque année.
Il faut plus qu'un choc des savoirs.
Et surtout un électrochoc à ces syndicats d'extrême gauche qui mettent l'école par terre...
Comme tous les samedis depuis... Des lustres ! Encore une manif' . On devrait rebaptiser le samedi "gôchiasse-day" !
Signaler Répondre