Ce mercredi, le collectif des Représentants des Parents d’Elèves de Lyon a déposé une demande de recours gracieux auprès de la Mairie de Lyon. Dans un communiqué, il réitère leur mobilisation contre cette réforme "qui manque de maturité".
Pour rappel, le programme Peps réorganise l’accueil périscolaire du soir en plusieurs temps : goûter, temps calme, activités pédagogiques et récréation. Pour les parents d’élèves, le point noir de ce nouvel aménagement réside dans les temps de sortie.
Les enfants inscrits à la garderie pourront quitter l’école à partir de 17h45 pour les maternelles, 18h pour les élémentaires, contre 17h30 actuellement. Le programme Pep’s prévoit un temps unique entre 16h45 et 18h30, contrairement au système actuel qui en compte deux, le premier entre 16h45 et 17h30, puis le deuxième entre 17h30 et 18h30.
Avec cette nouvelle organisation, les parents pourront venir chercher leurs enfants uniquement à partir de 18h, la plage horaire entre 16h45 et 17h30 disparaitrait.
Pas d’inscriptions sans modifications
Trois éléments sont pointés du doigt par le collectif.
Parmi eux, le manque de transparence et de dialogue de la Mairie qui organisent des réunions d’informations à 17h, "ce qui est plutôt étonnant pour des parents qui ont besoin de faire garder leurs enfants au moins jusqu’à 17h30", raille le communiqué. Ce dernier avance aussi l’absence de réunion d’informations dans certains établissements scolaires "pour une date d’inscription limitée au 31 mai alors que les inscriptions sont possibles jusqu’à la rentrée".
En complément, la pétition lancée par le collectif et signée par plus de 2300 parents réclament trois aménagements supplémentaires. Ils demandent la possibilité de venir chercher ses enfants à partir de 17h30 "permettant les activités extrascolaires et un rassemblement des fratries…", de nouvelles tarifications et la possibilité de varier les jours de garde.
Des parents dans le flou
La récurrence des campagnes de SMS, des mots collés dans le carnet ou encore l’affichage des noms des enfants non-inscrits agacent les parents d’élèves qui dénoncent une mise sous pression martelée d’une communication omniprésente dans les écoles. "Par crainte de ne pas avoir d’alternative, la plupart se réinscrivent, cela ne traduit en aucun cas une adhésion au projet ", précise le communiqué.
Avec la déposition de ce recours gracieux à la Mairie de Lyon, le collectif attend beaucoup du conseil municipal qui aura lieu ce jeudi. "Au moins une mention sera à l’ordre du jour du conseil municipal", assure le communiqué.
lundy grandpre II:le retour!!
Signaler RépondreJ'hésite: gros troll, ou un personne imaginant un passé glorifié et totalement déconnecté de la réalité?
Signaler RépondreAu lieu de favoriser le consensus, l’extrême gauche lyonnaise avance dans son idéologie du chaos et du clivage permanent! En 2026, virons cette bande gauchiste qui détruit jour après jour notre ville
Signaler Répondremerci mai 68, dans un monde normal l'homme travaille dur pour faire vivre sa famille et la femme s'occupe du foyer avec fierté. mais elles sont contentes (alors qu'elles se sont faites manipuler), elles font des boulots inutiles du tertiaire mais elles pensent se "venger" du méchant patriarcat. alors que nous les hommes on rêverait de rester à la maison pour s'occuper des enfants. société pourrie.
Signaler Répondrec’est le leitmotiv de cette municipalité d’agacer !
Signaler RépondreUn grand merci pour les oreilles des riverains...Ils font que ça les gamins... soit dans la cour les 3/4 de la journée à gueuler entre eux toute la journée...soit en vacacances la plupart du temps .
Signaler RépondreL'école est devenue une grande garderie....
Signaler RépondrePremièrement les parents veulent récupérer leurs enfants plus tôt, deuxièmement a mon époque je pouvais me permettre de m’occuper de mes enfants et nous arrivions a vivre avec un salaire, ce n’était pas l’opulence mais on vivait bien. Aujourd’hui les jeunes n’arrivent même plus a vivre avec 2 salaires, les loyers sont très chers, l’électricité n’en parlons pas, les impôts les taxes, les dépenses contraintes c’est une folie. Votre commentaire est hors sol, je plains sincèrement les nouvelles générations qui doivent se saigner pour offrir a d’autres une petite vie tranquille, ils paient pour tout pour tout le monde et ils n’ont droit a rien, même pas l’aide juridictionnelle qu’on offre aujourd’hui aux oqtf on marche sur la tête dans ce pays. C’est de la folie.
Signaler RépondreJustement, les parents demandent de pouvoir les récupérer plus tôt pour s'en occuper.
Signaler RépondreDe mon temps, les parents s'occupaient de leurs enfants et n'attendaient après personne pour les prendre en charge. Maintenant, tout ça pour avoir deux salaires et vivre dans l'opulence, il faudrait que la collectivité prenne en charge l'éducation de leurs enfants. Mais qui sont ces parents qui préfèrent l'argent à leurs enfants ?
Signaler Répondreencore une raison pour choisir le privé
Signaler RépondreIls vont apprendre à dessiner l'arc en ciel LGBT après l'école. A ce qu'il parait ce serait bon pour les enfants
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