Geneviève Tachon est bénévole à la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM), présidente de la branche AURA. La fondation (co-créée en 1947 par le père du chanteur Michel Berger : le génial mais instable Pr Hamburger) a des salariés au siège à Paris, mais le moins possible pour limiter les coûts de gestion et affecter le pourcentage le plus élevé possible des dons, legs et autres mécénats à la recherche médicale.
Geneviève Tachon, lyonnaise donc et psychologue de formation, a rendez-vous cet après-midi avec Julie Caramel, sur le site du centre Léon Bérard. Cette dernière co-dirige au sein du Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon, une équipe de recherche focalisée sur le mélanome, un type de cancer de la peau particulièrement agressif.
Un jeune médecin dermatologue, Felix Pham, entame une thèse qui sera financée pendant trois ans par la Fondation, et dont le sujet vise à mieux comprendre pourquoi certains mélanomes vont récidiver dans les années qui suivent la chirurgie.
Geneviève Tachon suit ça de près, même si les sujets sont assez complexes : "Heureusement que j’ai des scientifiques avec moi pour suivre les dossiers scientifiques".
Mais Julie Caramel a l’habitude de parler à ceux qui la financent (Ligue, ARC, FRM) et d’expliquer les enjeux et les succès de la recherche. Le développement de stratégies d’immunothérapie contre le cancer, récompensé par le prix Nobel de médecine en 2018, a en effet révolutionné la prise en charge des patients, en permettant de réactiver les lymphocytes T du système immunitaire pour qu’ils tuent les cellules cancéreuses.
Pour Julie Caramel ces traitements ont marqué une révolution : "Les médecins ont enfin des traitements efficaces à proposer aux patients atteints de mélanome métastatique, même si la moitié seulement des patients répondent à ce jour".
Un enjeu majeur repose sur le diagnostic précoce, car opéré suffisamment tôt, près de 80% des mélanomes ne rechuteront jamais. Mais comment faire pour les 20% restants ? La thèse que dirige Julie Caramel et que finance la FRM a pour but de comprendre en examinant au niveau moléculaire les tumeurs retirées aux patients, si des traits distinctifs permettent de prédire le risque de rechute, afin de personnaliser le suivi et le traitement des patients.
Pour mener ce travail extrêmement complexe, l’équipe plasticité du mélanome peut compter sur des équipements technologiques couteux mais très puissants (une seule analyse d’échantillon coûte plusieurs milliers d’euros) acquis par le Centre. Notamment une méthode appelée transcriptomique spatiale, qui permet de classer et recomposer spatialement toutes les cellules contenues par une tumeur cancéreuse.
Charge à l’équipe de Julie Caramel de déchiffrer comment transformer cette somme de données en une compréhension accrue du risque de rechute. Un travail de romain, mais dont le résultat pourrait changer le destin de beaucoup de malades.
y a interet à consulter à partir d un certain temps d expositions solaires :faut juste mettre sa peau sur la table,recto-verso, sans timidite et se laisser caresser par de jolies veterinaires!!pardon:.....dermatologues!!qui vous scrutent avec un oeilleton,mais attention ,ce n est pas un salon de massage oriental,!!quoique les premieres fois ,faut savoir montrer son zizi (flacide,si possible:merci),en tout bien tout honneur , et meme decalotter !!(pour les non circoncis)pour faire en sorte que ces damoiselles puissent inspecter tours ,detours et contours!
Signaler RépondreLes tatouages peuvent augmenter le risque de développer un lymphome, selon une nouvelle étude alarmante. Une étude révèle un lien possible entre les tatouages et le lymphome, un type de cancer du sang. Fortune Business Insights, prévoit que la taille du marché mondial du tatouage fera plus que doubler, passant de 2,22 milliards de dollars à 4,83 milliards de dollars d’ici 2032.
Signaler Répondrehttps://www-foxnews-com.translate.goog/lifestyle/tattoos-may-increase-risk-developing-lymphoma-new-study-finds?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc&_x_tr_hist=true
et çà ne m a pas empeché d en chopper un bien viceloque!!,installé dans le dos sur un grain de beaute ,suivi de deux autres ...potentiellement toxiques:ils m ont tous ete extraits "à la ferocite " ,au scalpel ,façon yeux sur pomme de terre,par de charmantes dermatologues de lyon sud,et grace à elles :je vis du "rab"!!merci les frangines!
Signaler Répondre"près de 80% des mélanomes ne rechuteront jamais. Mais comment faire pour les 20% restants ?"
Signaler RépondreJe propose aux chercheurs de considérer la composante émotionnelle du cancer. Notamment le stress au travail principal source de stress. Mon cancer est apparu après des années de stress professionnel
Comme quoi, juste un grain de beauté insignifiant peut se transformer avec le temps en bombe cutanée.
Signaler RépondreFaut toujours surveiller ses grains de beauté..... sur des changements de forme, d'extension et surtout si il apparaît un relief qui n'existait pas 👍