Du 4 juin au 9 juin prochain, restaurateurs et réfugiés vont s’associer pour concocter des plats à la croisée des cultures.
Né de la collaboration entre associations, entreprises d’insertion et organisme de formation, il a pour but d’accélérer la réinsertion professionnelle des personnes réfugiées et de contribuer au dynamisme du secteur de la restauration.
Pour cette 8ème édition, les boulangeries Antoinette, le restaurant La Meunière ou encore la sandwicherie Gus & Gas ont répondu présent. Au programme, de la cuisine vénézuélienne au Gus & Gas, de la cuisine colombienne chez Antoinette et de la cuisine albanaise à La Meunière.
Pour l’occasion, le restaurant Nafas participera à une invitation inversée puisque c’est Guillemette Auboyer qui se rendra dans la cuisine de Nawar Abazid, cheffe réfugiée syrienne.
Le festival se clôturera ce dimanche avec un grand banquet au HEAT, le food-hall situé sur la Presqu’île à proximité de la Sucrière.
Parce qu'ils sont pas fortiche sur la communication, certains pensaient même que c'était payant.
Signaler RépondreLa vraie question, puisque vous êtes calé sur le festival, c'est pourquoi une affiche aussi moche ? 💩
Signaler RépondreJe passes mon tour
Mais enfin, renseignez-vous avant de dire n’importe-quoi ! Vous confondez avec un autre événement. Oui, ici il s’agit bien de partage, d’intégration, et d’ouverture à l’autre, et à aucun moment il n’est question de 10€ d’entrée.
Signaler RépondreMais où voyez vous qu’il faut payer pour aller dans une boulangerie, et même qu’il faut payer pour une entree ? Vous faites exprès de dire n’importe quoi, ou vous ne vous êtes pas renseigné sur le bon festival ?
Signaler RépondreMes ancêtres, hors rivage, mangés principalement des produits issus de la chasse et de la cueillettes avant de passer au produit de l'agriculture
Signaler RépondreBonsoir,
Signaler RépondreVous êtes très obtu. Les poissons d’eau douce sont appréciés. Que manger nos ancêtres en territoire hors des rives?
Cordialement
Désolé mais pour avoir goûter les deux, je préfère le thon rouge à la silure.
Signaler RépondreBonsoir,
Signaler RépondreAu lieu de consommer des produits étrangers!
Pensez plutôt aux biens de la région AURA.
IL EXISTE DES POISSONS D'EAU DOUCE dans les départements de la région qui pourraient convenir aux menus des restaurants et combler les estomacs des clients et convives de la FRANCE, sans tuer les espèces des océans.
Mais voilà, les restaurants de l’AURA ne sont pas capables de vouloir acheter des 100 de kg à la dombes.
Car les clients ne connaissent plus les bienfaits des produits locaux,
A bon sens d’un épicurien et d’un connaisseur d’un chirurgien gourmand passant à son époque dans l’hôtel DIEU.
Pourquoi est-ce que les autres pays devraient absolument conserver les termes français mais nous on devrait tout traduire ? Ca n'a pas de sens, sauf dans une mentalité élitiste.
Signaler RépondreLe problème ce ne sont pas eux, mais les prestataires de services. Ceux-ci font des choses moches, et quand la ville, qui les payent, leur demande des modifications, ceux-ci refusent et se braquent.
Signaler RépondreComment travailler avec des gens comme ça ? Vivement les changements de contrats.
https://www.lyonmag.com/article/134061/carte-de-voeux-de-la-ville-de-lyon-les-artistes-renient-leur-visuel-apres-les-modifications-des-ecologistes
On se fiche de votre moral à la noix, on ne va pas commencer à étaler chacun ses goûts ici. Si vous voulez mangez du quinoa, je ne vous en empêche pas, et en retour j'attends à ce que vous me laisser manger ce que je veux, même du lapin ou du cheval si ça me chante, ok ?
Signaler RépondreOn a quand même le mot "partage" et "réfugié" dans l'affiche, par contre le partage au réfugié coûte 10€ l'entrée, puis 15€ pour le steak entre deux bout de pains, 20€ si vous rajoutez quelques patates frites et une boisson d'une grande marque à 50cts chez Carrefour.
Signaler RépondreDrôle de vocabulaire donc.
Merci, mais je ne mange pas de hérissons morts.
Signaler RépondreCes campagnes sont pilotées par des gens sortis d'écoles de commerce qui se rèvent américains. Leur délire c'est la Californie des années 80.
Signaler RépondreDepuis que les verts tiennent la ville et la métropole les affiches de communications sont nulles, vraiment aucun talent
Signaler RépondreOui esprit mal placé.
Signaler RépondreJe ne sais dire pourquoi mais cette affiche me fait furieusement penser à celles que l on peut voir dans les parcs et jardins ,invitant les propriétaires de toutous a ramasser les déjections de leur animal . Esprit mal placé ? sans doute ....mais pas d'appétit .
Signaler RépondreC'est vrai que ces titres en anglais ou franglais c'est nimp, sans parler que les étrangers comprennent le lexique français en ce qui concerne la mode et la bouffe, ou du luxe en général... Le pire c'est qu'il considèrent ce lexique comme classe, du coup non seulement ils se mettent à dos les français en paraissant snobs et bobos, mais en plus ils cassent leur image en renvoyant vers une image sans saveurs vers les 5 touristes étrangers qui iront s'y perdre...
Signaler RépondrePuis sans parler du fait que 99.8% des gens qui y iront seront des français...
En France on anglicise tout, même les tournois de jeux où les 50 participants sont tous français, et pendant ce temps au Japon, même les pages webs pour exporter des trucs comme des manga ou des expos à l'étranger restent en japonais...
Attention, c'est un évènement dont vous payez l'entrée mini 10€ pour ensuite ne pouvoir rien faire sans repasser à la caisse. Chaque "restaurateur" derrière vous refait payer, et comme ce festival se croit un peu "elite", ils vous font payer bien plus chère qu'à n'importe quel endroit.
Signaler RépondreAu final du street food, vous en avez tout les jours, toutes l'année, un peu partout en ville, donc ne tombez pas dans cette arnaque sans nom.
Un street food festival digne de ce nom devrait être fait dans la rue, à accès gratuit, c'est l'esprit même de la street food.
Bon et là je lis que ce n'est pas le street food festival classique, mais la version "refugee", mais ça n'a même pas l'air bien mieux. Maintenant il faut même payer pour accéder à la vitrine d'une boulangerie, n'importe quoi !
Trop 😂
Signaler RépondreY’a moyen de parler / écrire français ou c’est trop demander ? Ça parle de diversité à longueur de temps mais ça impose l’anglais comme unique langue mondiale.
Signaler RépondreSinon, bonne initiative.
Hummm, un vrai chien-chaud à déguster, ça ressemble un peu à du lapin à ce qu'il parait ;-)
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