Sept personnes de nationalité française ou bosnienne et âgées de 27 à 41 ans ont été mises en examen. Certaines ont été placées ensuite sous contrôle judiciaire, d'autres écrouées.
Selon France Info, elles sont soupçonnées de faire partie d'un vaste réseau de trafic d'armes de guerre entre la France et les Balkans. Les armes venaient de Serbie, de Bosnie-Herzégovine ou du Monténégro et étaient stockées en Haute-Savoie. Là, elles étaient ensuite revendues pour inonder l'agglomération lyonnaise.
Achetées 250 euros, elles rapportaient 2500 euros pièce aux trafiquants. De quoi faire rapidement un sacré profit.
L'enquête fêtera son premier anniversaire le 8 août. L'été dernier, l'arrestation d'un homme en Savoie permet aux forces de l'ordre de découvrir une Kalachnikov dans sa voiture, ainsi que des grenades.
La JIRS de Lyon avait établi que ces armes provenaient des Balkans. Grâce à la mise sur écoute de l'entourage de l'individu interpellé, le réseau s'était dessiné progressivement.
Des perquisitions ont permis de retrouver plusieurs de ces armes. L'enquête se poursuit pour mettre la main sur de potentiels complices.
Il suffit simplement d'aller voir sur YouTube : Des manifestations et de casseurs d'extrême gauche après les élections UE !
Signaler Répondrec est comme les francopalestiniennes sur les listes LFI et les drapeaux du Maghreb aux manifs de la NUPES
Signaler Répondre2017 wahou ça c’est de l’info fraiche 🤣
Signaler RépondreIl suffit simplement d'aller voir sur YouTube :
Signaler Répondre" Des franco-serbes au meating de Marine le Pen 2017 " .
Donne nous des dates de manifs du RN stp.
Signaler RépondreHa la Serbie et le monténégro, y'a souvent leurs drapeaux aux manifs du RN.
Signaler RépondreJe vois que les armes plafonnent toujours au même prix quelque soit les dates de faits divers similaires, comme quoi l'inflation touche pas tout.
Oui on va pouvoir armer correctement la police !
Signaler RépondreSurtout, en peines...incompressibles, pas de stages poneys. Dans les balkans, les races chevalines, ils connaissent. Ah ! la Kalach de l'Est, elle garde encore sa côte au second marché : un peu comme la caisse à outils de Maurice - mon plombier-zingueur aux 50 heures hebdomadaires...
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