Les faits s’étaient déroulés le 10 février dernier au musée des Beaux-Arts. Deux militantes écologistes de Riposte alimentaire avait aspergé de soupe l’œuvre d’art, endommageant le cadre mais pas la toile.
Les deux étudiantes étaient poursuivies pour des faits de dégradation volontaire de biens culturels en réunion et refus d’obtempérer aux prélèvements ADN.
"On vit une situation si catastrophique que les scientifiques poussent à la désobéissance civile", avait déclaré Sophie d’une voix hésitante à l'audience du 21 mai. "On est rentré en résistance civile car les manifestations ne fonctionnent pas. On est obligé d’agir pour que les médias et le grand public prennent conscience de l’urgence", complétait Ilona.
Les mains agitées, Ilona et Sophie avouaient rechercher l’attention des médias pour leur cause. Des propos qui ne semblent pas convaincre le greffier hochant continuellement la tête en signe de non.
Venait le tour du procureur qui soulignait un acte "égoïste". Celui-ci ajoutait : "Quand de manière aveugle, immature et inconsidérée, on cherche l’attention pour parler d’une cause, on l’abîme et on en détruit une autre : l’accès à l’art".
Étudiante aux Beaux-Arts de Lyon, Sophie affirmait pourtant avoir "reçu le soutien de tous ses professeurs pour son action".
Les militantes risquaient jusqu’à 10 ans d’emprisonnement. Le procureur n’a pas requis la peine maximale et a demandé plutôt deux mois de prison avec sursis. Partie civile, la Ville de Lyon réclamait, via une demande formulée par lettre, un euro symbolique de dommages et intérêts. Une somme symbolique, mais dérisoire pour des coûts de restauration compris entre 2000 et 2200 euros.
faire des bulles
Signaler Répondrezont pas du inventer l eau chaude
Signaler RépondreElles ont raison
Signaler RépondreAvec EELV le saccage est permis
Les écolos détestent le patrimoine.
Drôle de conjugaison du verbe s'émouvoir...
Signaler RépondreUn petit passage par les fondamentaux de la langue française vous permettrait en plus d'énoncer clairement ce que vous pensez qui est bien confus !
Incompréhensible
Signaler RépondreRelaxées !
Honteux
Et leur ordure d'avocate au service des juges rouges ça la fait rigoler
Signaler RépondreSophie affirmait pourtant avoir "reçu le soutien de tous ses professeurs pour son action". Des profs des Beaux Arts qui soutiennent le fait de dégrader une oeuvre d'art. Hum Hum....
Signaler Répondre1 Euro symbolique, franchement le procureur favorise les dégradations, limite il les plébiscite. Le cout de leur dégradation volontaire c'est 25000 Euro, leur association doit leur avancer si elles n'ont pas les moyens et ensuite elles remboursent l'association !
Signaler RépondreL'extrême gauche qui attaque des œuvres d'art ne choque personne
Signaler Répondreelles auraient bien mérité les 10 ans de prison ainsi que le remboursement de la totalité des frais de remise en état . idem pour l ensemble de leur groupe
Signaler RépondreQue ces deux peronelles se fassent soigner, le Vinatier leur conviendrait à merveille. Elles pouraient toujours taguer leurs camisoles...
Signaler RépondreEt toujours pas d'obligation de soins?...
Signaler RépondreOn ne dit rien aux agriculteurs du lobby de la FNSEA qui incendient des locaux de l'état, en revanche un jet de soupe sur un tableau protégé par une vitre et tout le monde s'en émoie ! En plus les frais de réparation ont été pris en charge par l'assurance.
Signaler RépondreMais c'est sûr, c'est plus simple de critiquer le jet de soupe que de commenter le message qui est derrière, à savoir la mise en place d'une sécurité sociale alimentaire.
les effets délétères de la propagande catastrophiste certainement
Signaler RépondreSi on pouvait arrêter de parler de ce genre de cas social
Signaler RépondreC'est toujours ainsi,les voyous se planquent derrière un masque ou une cagoule
Signaler RépondreCe sont des voyous à la sauce escrologiste,comme doucet en passant
Signaler RépondreIl a ptet porté plainte pour ostrcisation, le pauvre loulou :'(
Signaler RépondreLes œuvres sont en danger à cause de l'esstreme drouate.
Signaler Répondre2 ans de soins dans une maison médical assorti d'un suivi psychiatrique de 5 ans et tout cela à ses frais
Signaler Répondre1 euro symbolique ? Pourquoi ne pas faire rembourser les dégâts par ces 2 personnes ?
Signaler RépondreIl me semble voir un troisième activistes assis sur le banc .....
Signaler RépondreCette personne ressemble fortement a un député sortant , que fait il donc la ?
Venu témoigner en faveur de ces deux clowns tristes écolo ou se croyant comme telle, ou alors pour savoir le résultat de son propre procès ....
mdr .....
Elle a l'air fière d'elle!
Signaler RépondreMais bon comme elles savent qu'elles risquent rien!!!!
Ces pourchassés, qu elles s en prennent aux humains concernés et vivants, et non aux œuvres d art. Ces œuvres d art, n ont rien demandé, encore moins de la soupe, juste d émerveiller les yeux, des "esthètes ", qui eux, savent apprécier les belles choses.
Signaler RépondreAucun suspens : le juge va leur donner une médaille et les remercier.
Signaler RépondreEn France, on idolâtre les crétins....
Le tout permis a l'épreuve des élections
Signaler RépondreUne des deux doit avoir honte de son geste, elle se cache derrière une casquette et des lunettes de soleil à l'intérieur du tribunal, l'autre s'en tamponne...
Signaler RépondreSi elles veulent créer le chaos et l'anarchie qu'elles aillent le faire en dehors de notre pays.