Mardi soir, la mairie, la Métropole et la préfecture ont signé une nouvelle convention territoriale qui définit la géographie prioritaire de Lyon.
Laënnec dans le 8e arrondissement et la Vallonnière dans le 9e arrondissement deviennent donc des QPV. L'objectif sera de réduire les inégalités et renforcer la cohésion sociale.
"La Ville de Lyon a fait le constat que les conséquences du dérèglement climatique et des différentes crises sociales, économiques, sanitaires ont des répercussions d’abord dans les quartiers les plus pauvres de nos villes : les logements y sont les moins résilients face aux canicules ; la crise sanitaire, les confinements successifs ont d’abord eu des effets sur l’emploi et les conditions de vie des populations qui vivent dans ces territoires. Dès lors, la municipalité considère qu’un effort majeur doit être fait pour permettre à ces quartiers de bénéficier de la transition écologique et sociale : pour permettre aux habitants et habitantes de mieux vivre, pour qu’ils puissent davantage investir les lieux de décision et contribuer à faire la ville de demain", précise la collectivité dans un communiqué.
La convention territoriale prévoit donc de "répondre aux besoins du quotidien des jeunes dans les QPV pour les accompagner dans leur parcours vers l'autonomie et la citoyenneté". Mais aussi d'offrir "l'accès à une alimentation saine, durable et accessible, à la rénovation énergétique et à la végétalisation". De lutter "contre le non-recours aux droits, mais aussi contre toutes les formes dediscriminations" et enfin de "renforcer le pouvoir d'agir des habitants en refondant la pratique démocratique et participative".
"La signature de la nouvelle convention territoriale de Lyon est la conclusion d’un cheminement long de presque deux ans. La philosophie de la convention est d’améliorer les conditions de vie des populations vivant dans les quartiers prioritaires de la ville. Elle se veut porteuse de transformations sensibles et positives pour les habitants et habitantes des quartiers prioritaires. Comme j’aime à le penser, les quartiers populaires ne sont pas le problème, ils sont la solution", indique Grégory Doucet, maire écologiste de Lyon.
La convention territoriale prévoit également d'étendre le périmètre de QPV existants. Cela concerne Soeur Janin (5e), les Cités sociales de Gerland (7e), Moulin à Vent et Etats-Unis (8e) et La Duchère (9e).
C'est désormais 8% de la population lyonnaise qui vit dans un quartier prioritaire de la ville, soit environ 42 000 habitants.
Je ne vois pas trop ce qu'il a de "clandestin", "sauvage"', et encore moins "à la sauvette" quand ce sont une centaine de véhicules et cinq cents vendeurs qui viennent s'installer en présence de la police municipale qui s'éclipse discrètement une fois le plus gros du nettoyage fait. De toute façon, tout est à refaire le lendemain matin.
Signaler RépondreOn pourrait appeler ça "Le Nouveau Marché Écologiste des États-Unis".
Sinon, à propos du sujet, ce serait peut-être plus simple de désigner les quartiers encore viables de Lyon.
La discrimination positive, ils connaissent ça pourtant les écolo' ?
Bonjour
Signaler RépondreIls ont beau faire ce qu'ils veulent, c'est à la racaille qu'il faut s'attaquer. Ce ne sont que des discours et de la politique de bas étages. Dommage.
Profitez en bien. 🤣🤣
"Le problème des logements indignes, c'est pas d'avoir trop chaud l'été, c'est d'avoir froid l'hiver."
Signaler RépondreLe réchauffement climatique n'est donc pas un problème, c'est une solution !
Vous êtes hors sujet, allez faire une sieste vous en avez grandement besoin.
Signaler RépondreSalut
Lyon tout entier est devenu un quartier prioritaire, une cité....
Signaler RépondreVos amis ont été bien naïfs.
Signaler Répondre(changez d'amis)
"Le problème des logements indignes, c'est pas d'avoir trop chaud l'été, c'est d'avoir froid l'hiver."
Signaler RépondreC'est pourtant l'inverse et ça le sera de plus en plus. Les hivers froids n'existent plus en France. Et pour sortir du pays, êtes-vous seulement au courant que sur la planète davantage de gens meurent de chaud que de froid ? Les futurs migrants climatiques ça vous parle ?
"les quartiers populaires ne sont pas le problème, ils sont la solution"
Signaler RépondreGreg a fait une overdose de quinoa ?
Lyon se rapproche de plus en plus de Saint Etienne.
Signaler RépondreSoyez plus précise svp.....
Signaler RépondreDésolé mais vos amis sont de sacré pigeon...
Signaler RépondreAcheter à la Duchère.
C'est une réalité qui nous mène en ce moment a la catastrophe on peut ajouter que le 8 emme arrondisement est a 68 % de logement sociaux et le quartier des etats unis 86 %.
Signaler RépondreElle est pas belle la vie.
Il y a vraiment de quoi pavoiser et ca construit encore rue Pr Beauvisage. Le terme beau visage est ironique bien sûr.
J'ai des amis qui ont acheté un appartement à la Duchère place Abbé Pierre
Signaler RépondreOnt leur a vendu du rêve
Mes amis sont bloqués car ils n'arrivent pas à vendre
Ils subissent les malfaçons, le bruit le soir sur la place, le trafic devant et dur la place avec les étudiants de la Martiniere
Le rodéo, etc...
Ils n'en peuvent plus, mais comme les appartements sont encore à crédit, ils ne veulent pas vendre à perte
Franchement ils regrettent
Et pourtant ce quartier a subit une forte réhabilitation sous Gérard Collomb
Aujourd'hui c'est immeuble SACVL du plateau qui est squatté par les jeunes
Cet immeuble a été refait entièrement en 2020 et tout est cassé. La galerie est immonde. Toutes les poubelles passent par les fenêtres
Une HONTE
Naïve !
Signaler RépondreBien sûr, le quartier des Etats Unis est envahi par des familles nombreuses qui trainent dans les immeubles et les dégradent Là, des rénovations vont encore être faites, mais combien de temps les verront nous ?
Signaler RépondreFallait bien voter! Venez pas vous plaindre!
Signaler RépondreBientôt même le 6ème sera un quartier prioritaire et même la Métropole de Lyon.
Signaler RépondreEn effet. C' est la racaille le problème n⁰ 1, pour ne pas dire le seul problème.
Signaler RépondreDoucet bichoñne son electorat. Plus que des bobo -gaucho (jeunes cadres dynamiques en vélo électrique et cargot , des fonctionnaires aux 4 jours et 32 h hebdomadaires, des retraités nantis avec résisdence
Signaler Répondresecondaires, dans les beaux immeubles du centre ville ) et des kssoss islamo-gauchistes biberonnés aux aides sociales en peripherie.
A la vitesse ou vont les choses... Un jour, toute la ville de Lyon et l'ensemble de la France seront des quartiers prioritaires...
Signaler RépondreDepuis 70 ans que l'on vit dans ce quartier qui est très étendu . Laennec est très vaste , il suffit de traverser la rue pour se trouver au mauvais endroit au mauvais moment.. pourtant c'est un quartier complètement repensé , voir très accueillant , si certains voulaient bien y mettre du leur.
Signaler RépondreBref: pétard à la moquette et tisane de Datura biosourcée pour tout le monde !!!
Signaler RépondreAprès 40 ans de gabegie et d’angélisme, certains ont toujours des peaux de scoce devant les yeux ! Leur logorrhée rime avec diarrhée... Ou gonorhées, c'est selon !
C'est plus simple de pondre une nouvelle appellation tous les deux ans que de résoudre 40 années de laxisme.
Signaler Répondred'autre en plus !!
Signaler Répondremais la situation se dégrade...
il va falloir penser autrement 😁
"Comme j’aime à le penser, les quartiers populaires ne sont pas le problème, ils sont la solution"
Signaler RépondreEt pourtant jamais il n'y vivra.
Réduire les inégalités et renforcer la cohésion sociale sans éradiquer la racaille ? Que du pognon fichu en l'air une fois de plus...
Signaler RépondreCe serait bien de pas tout ramener toujours au réchauffement climatique. Le problème des logements indignes, c'est pas d'avoir trop chaud l'été, c'est d'avoir froid l'hiver.
Signaler RépondreEn tout cas, c'est top pour les nouveaux quartiers, ils vont bénéficier des mêmes avantages que le quartier des États-Unis. Grâce aux efforts, les habitants disposent désormais d'un nouveau marché pour stimuler la vie économique et solidaire : https://www.lyonmag.com/article/136742/marche-clandestin-du-8e-a-lyon-la-mairie-trouve-que-l-etat-n-en-fait-pas-assez