Elle fait cela en fonction des circonstances, mais surtout en fonction des opportunités qui s’offrent à elle.
Commençons par les vainqueurs auto-désignés des législatives, le Nouveau Front Populaire. Amis de circonstance en 2022 derrière la NUPES, ennemis farouches pendant la législature qui a suivi, avec des divergences parfois violentes:
• Sur une stratégie d’opposition totalement différente à l’Assemblée nationale concernant la loi sur les retraites. L’obstruction et le blocage pour Jean-Luc Mélenchon et le débat de fond pour les communistes, les socialistes et les écologistes.
• Sur les violences urbaines, où le patron du PS, Olivier Faure, comme le Parti communiste ne cachaient pas leur "profond désaccord avec LFI qui refusait d’appeler au calme".
• Ensuite, les partis de gauche, actant de "profondes divergences sur l’Europe" décident de partir en rangs dispersés pour les élections européennes. C’est à ce moment-là également que PS, PCF et EELV décident de former une alliance pour les sénatoriales, sans LFI. Jean-Luc Mélenchon n’hésite pas à dire en parlant de ses partenaires de la Nupes: "Je ne les aime pas", et en réponse, Fabien Roussel qui ose émettre des doutes sur une candidature commune en 2027, se fait traiter de "collabo" par une députée intime de Mélenchon.
• Sur le Hamas où les élus LFI refusaient de parler d’un mouvement terroriste, mais plutôt d’un mouvement de résistance. Attaqué par ses amis de la Nupes, Mélenchon disait en octobre 2023 : "Le point de non-retour concernant l’avenir de la Nupes a été franchi". A l’issue de cela, le PS décide de suspendre sa participation à la Nupes, et Fabien Roussel déclarait: "Pour le PCF, c’est clair, nous quittons ce rassemblement … Le bruit et la fureur c’est terminé … Je ne peux m’assoir à la même table que ceux qui m’ont traité de nazi".
Et on ne parle pas des autres divergences fondamentales comme sur le nucléaire ou la laïcité...
Et pourtant, à la veille des législatives, ils se sont mis d’accord en 48h. Avec un programme invraisemblable, et un nouveau partenaire, le Nouveau Parti Anticapitaliste…
Tout le monde a bien compris que cet accord était seulement électoral, et de ce point de vue, il faut reconnaitre que cela a plutôt bien fonctionné car un grand nombre de députés de gauche n’auraient pas été élus si chacun était partis de son côté.
Cette idée, largement défendue par les tenants d’une gauche plus modérée pour justifier leur ralliement à LFI, est aujourd’hui confrontée à la réalité électorale qu’ils n’avaient pas réellement envisagée : ils sont arrivés en tête.
Cet accord électoral se transforme maintenant en accord de gouvernement… Et là les problèmes commencent. "Le programme, tout le programme, rien que le programme" tonne Jean-Luc Mélenchon, alors que celui-ci, largement inspiré par LFI, est déjà très critiqué y compris par des économistes de gauche.
Ce programme n’a en réalité été soutenu que par 28% des Français (résultat de l’union de la gauche au 1er tour des législatives). Dire qu’il a été plébiscité par les électeurs qui, au second tour avec le front républicain, ont massivement voté plutôt contre le RN, est déjà une imposture. Mettre en œuvre ce programme au principe que le NFP est le mouvement le plus important de l’Assemblée nationale (il représente 31% des parlementaires), en est une autre.
Et avec 180 députés, le NFP sans majorité ne pourra fonctionner qu’à coup de décrets comme ils l’ont annoncé, ou de 49.3, c’est à dire de la façon qu’ils n’ont eu de cesse de dénoncer quand ils étaient dans l’opposition… Ils seront également en permanence sous le feu des motions de censure qui, n’en doutons pas, les fera exploser à un moment ou à un autre. Cette situation nous ramènera quelques années en arrière, sous le régime de la IVe république quand la France était paralysée.
Alors que faire de ces 3 blocs qui composent l’Assemblée nationale?
Ne pas s’entendre, c’est laisser les clés du pays à un mouvement très minoritaire où l’extrême gauche est majoritaire, avec des alliés qui ont su s’entendre pour se faire élire, malgré des divergences majeures, et qui ne se sont jamais entendu ensuite quand ils étaient dans l’opposition. On peut légitimement s’inquiéter de leur capacité à gouverner le pays.
Cela pourrait prêter à rire si on ne parlait pas de l’avenir de la France et de la situation des Français.
Face à cet attelage hétéroclite, il existe pourtant des solutions. Elles sont défendues ici et là, de manières différentes, avec des personnalités issues de sensibilités diverses, mais se confrontent malheureusement à des positionnements rigides et incompréhensibles.
La position officielle de LR, qui continue à penser que leur socle de 6 à 8% justifie leur désir d’une droite indépendante. "Ni coalition, ni compromission", répètent-ils, comme si négocier c’était se compromettre.
Ont-ils oublié qu’en 2002, à la création de l’UMP, ils avaient réussi à s’entendre entre les gaullistes, les centristes et les libéraux en négociant avec leurs ennemis d’hier, et que cette entente les avait amenés à la victoire ?
Ont-ils pris conscience que ce positionnement d’indépendance est intenable, pris en tenaille entre leurs adhérents partis chez le RN avec Eric Ciotti, et les autres chez Edouard Philippe, il ne leur reste plus qu’un socle d’intention de vote qui plafonne depuis des mois à 5% pour leur candidat désigné à la présidentielle ?
Ont-ils conscience que cette stratégie est dramatique pour les élections municipales à venir, ou les coalitions seront nécessaires pour gagner et battre les extrêmes dans grand nombre de villes, notamment à Lyon ?
Cette stratégie du chaos dont ils espèrent tirer les marrons du feu alors qu’elle les entrainera dans l’oubli, se fait hélas aussi au détriment des Français.
Quelques voix pourtant s’élèvent dans ce camp pour envisager le principe d’une coalition. Utile aujourd’hui pour sortir le pays de la crise institutionnelle dans laquelle l’a plongé le Président de la République, mais également pour éviter le désastre d’un gouvernement tenu par les insoumis.
Il est temps de sortir des stratégies personnelles et de retrouver le sens de l’intérêt général
Si on écarte les extrêmes, à gauche comme à droite, il reste 363 parlementaires, bien au-delà de la majorité nécessaire pour gouverner qui se situe à 289 députés. N’y a-t-il pas là moyen de s’entendre sur une majorité de projet ? N’y a-t-il pas entre les sociaux-démocrates, le centre droit et la droite républicaine des passerelles à trouver et des ententes à créer pour sortir le pays de cette crise, comme cela se fait parfois avec succès dans la gestion des collectivités locales?
Seulement cinq pays en Europe fonctionnent avec un parti majoritaire au pouvoir (la Grèce, Chypre, Malte, le Portugal, la Hongrie), et toutes les grandes puissances de l’Union européenne fonctionnent avec des coalitions, sans pour cela se renier. Dans ces pays, c’est l’intérêt général qui prédomine, c’est un donnant-donnant où chaque parti maintien ses priorités en contrepartie de l’abandon de certaines mesures de son programme.
Cette crise nous oblige à changer notre vision de l’organisation politique de notre pays. Les responsables politiques doivent accepter ce défi, la France en a besoin et les Français le méritent.
Emmanuel Hamelin
Ancien député du Rhône, adhérent d'Horizons
Bravo ! Bien dit !
Signaler RépondreOuah la grille de bingo est complète. Y'a aucune source, aucun fait, aucune citation. Que des accusations creuses, toutes contredites par le réel.
Signaler RépondreMa question est simple : est-ce que vous pouvez produire une source, ou une citation, ou un article, n'importe quoi qui étayerait un tant soit peu vos accusations mensongères? Histoire qu'on puisse discuter de quelque chose parce que là y'a rien du tout.
Parce que c'est l'exemple même du parfait facho : anti-démocrate (accepte le vote par les urnes que lorsque ça l'arrange sinon appelle à la révolution par la rue), anti-républicain (ne reconnait pas les institutions, "la police tue"), antisémite (si les juifs étaient majoritaires il serait pro-Israël), islamiste, homophobe et de manière plus générale anti-France (dans son discours il s'est adressé à la nouvelle France comprendre les migrants, toi tu peux crever) à l'image de ses militants (aucun drapeau français mais algériens, palestiniens, LGBTQIA+XYZ). Des questions ?
Signaler Répondre"tout cela risque de très mal se terminer pour tous les français"
Signaler RépondreMême si je vomis le NFP ça fait 50 ans que j'entends cette phrase et rien ne se passe.
C'est curieux vous n'avez aucun argument sur le fond. Pourquoi?
Signaler RépondreC’est curieux, tout le monde déteste JLM…
Signaler RépondrePourquoi?
Dans la cinquième, la proportion de votant·e n'a jamais été la métrique déterminante pour une victoire électorale. La gauche a 192 députés, c'est la première force politique du pays jusqu'aux prochaines élections législatives. Si ça ne vous plait pas, militez pour une assemblée constituante, comme nous le faisons à gauche depuis 2012 d'ailleurs.
Signaler RépondreIl n'y a eu aucune déclaration antisémite de la part d'un représentant insoumis. C'est une fake news, pure et simple.
Alors même que toute la classe politique, médiatique et économique met le paquet contre LFI, le score du NFP en 2024 et celui de Jean-Luc Mélenchon en 2022 démontrent bien que la gauche de rupture a le vent en poupe et que beaucoup de français ne veulent plus de l'hégémonie bourgeoise (dans sa forme sociale démocrate comme dans sa forme fasciste et raciste). Les esprits se libèrent enfin.
1/ Vous ne représentez que dix pour cent des votants soit globalement 5 pour cent des inscrits… à méditer avant de déclamer votre logorrhée Lfiste!
Signaler Répondre2/Vos déclarations anti sémites et blaguounettes n’ont rien à envier à celles du JL le Pen de la grande époque!
3/la très grande majorité des français ( et pas relative)déteste LFI…
4/ Quant aux leçons de morale, conseils et jugements, commencez déjà à vous les appliquer à vous même, ce sera un excellent début…..
👍tout est dit!
Signaler RépondreL'intérêt général est un concept creux qui ne veut rien dire. Il n'y a pas d'intérêt général en démocratie. La démocratie, c'est précisément reconnaitre que les différentes parties de la population peuvent avoir des intérêts divergents, et la nécessité d'organiser des arbitrages collectifs, pacifiques et justes des normes sociales. On tranche en faveur de la majorité (parlement), tout en assurant des droits fondamentaux à la minorité (constitution), sujet par sujet, loi par loi. C'est ça une démocratie moderne.
Signaler RépondreL'intérêt général est un concept invoqué systématiquement par les autoritaires de tous les bords, et qui sert à justifier soit une décision qui ne correspond pas à l'intérêt de la majorité, soit une décision qui remet en question les droits fondamentaux d'une minorité.
Cela prouve encore une fois que vous n'avez pas compris ce qu'est l'Intérêt Général.
Signaler RépondreLes mesures du NFP sont de la démagogie simplement destinées à flatter l'électorat.
Au niveau Intérêt Général, c'est une catastrophe.
Il ne fallait pas faire les castors et respecter le choix des français pour le RN !
Signaler RépondreN'importe quoi. Si on le prend mesure par mesure, il y a beaucoup d'éléments du contrat de legislature du NFP qui sont populaires dans toute la société : abrogation de la loi sur les retraites, augmentation du smic, 6e république...
Signaler RépondreEst-il normal quand on est journaliste de publier verbatim des paroles mensongères sans apporter un cadrage?
Signaler Répondre"vainqueurs auto-désignés" : mathématiques niveau CP pour comparer les scores. Le NFP a le plus de députés, c'est objectif.
"obstruction de LFI vs débat constructif avec les autres" : Les amendements proposé par LFI était nécessaire et justifié, et s'inscrivait dans une stratégie parlementaire prévue par les institutions. Le temps parlementaire consacré à une loi aussi cruciale aurait du être beaucoup plus important (mais le gouvernement préparait déjà l'utilisation du 49.3).
https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/02/02/reforme-des-retraites-environ-20-000-amendements-deposes-a-l-assemblee_6160304_823448.html
"n’appelle pas au calme lors des révoltes" : Qui sont les politiciens pour appeler au calme alors que la police tue des enfants? Qu'ont-ils fait depuis 30 ans pour éviter ces situations? Qu'ont-ils fait contre le racisme omniprésent dans la société et en particulier dans la police? LFI tient une position juste : on n'appelle pas au calme quand les gens se révoltent parce qu'on les tue. On peut regretter la situation (ce qu'ils ont fait) sans "condamner les violences", comme on leur en faisait l'injonction à chaque plateau télé pour continuer de nourrir le racisme et l'indifférence ambiante devant les violences policières (dont le pouvoir niait carrément l'existence même, alors que des personnes, des enfants, sont assassinées).
La marginalisation systématique de LFI est une fierté, c'est le seul parti pour porte des propositions de rupture. Et l'electorat ne s'y trompe pas puisque c'est aujourd'hui la première force à gauche. La sociale démocratie libérale qui a abandonné le prolétariat est le marchepied du fascisme, c'est amplement démontré ces 15 dernières années. De toutes façons, quand les pélos de droite veulent nous apprendre ce que c'est que d'être de gauche, c'est toujours un sketch.
Il n'y a jamais eu de refus de parler du Hamas comme d'une organisation qui utilise des méthodes terroristes. Il y a eu un refus de qualifier les crimes de guerre du 7 octobre comme de simples attentats terroristes puisque ça n'a pas de sens du point de vue du droit international (l'état d'Israël agissant en violation de ce dernier, ce qui de fait requalifie les crimes horribles du Hamas comme des crimes de guerre dans une situation de guerre, et non pas des actes terroristes dans une situation de paix). C'est une nuance juridique, pas matérielle, ça ne minimise aucunement l'horreur et la tragédie. Il y a eu dans l'histoire des crimes de guerre bien plus horribles et massifs que des actes terroristes, et inversement. Mais pour comprendre ça, il faut un minimum de culture et de connaissance de la situation géopolitique et historique.
La droite est gauche, la gauche est maladroite,il y a le centre droit et le centre gauche mais ils ne sont pas du même milieu et ne savent pas de quel côté se tourner...il y a les extrêmes qui tournent en rond pour faire la révolution ...quant aux écolos ils ont la tête à "l' an vert"....!
Signaler Répondrec'est tout simplement une bataille d'égo démesurées et d'intérêts perso
Signaler RépondreLes députés, ils en on rien a foutre des contribuables, a partir du moment ou ils touchent leurs indemnités = 7639.39 € brut, pour le gros louis boyard c'est du pain béni, Lui qui n'a jamais travaillé de sa vie c'est tout benef...
´Ça va justement très mal se terminer ! Et pour tous les français.
Signaler RépondreIl y a bien fort longtemps qu’en France l’intérêt général n’existe plus….
Signaler RépondreTous les politiques, sans exception, en sont responsables !
Très bonne analyse très bon papier!
Signaler RépondreMerci pour cet article très réaliste.
Signaler Répondre"Cela pourrait prêter à rire si on ne parlait pas de l’avenir de la France et de la situation des Français."
Texte intéressant.
Signaler Répondretous ces élus nupeste et nouveau front populiste se foutent de l intérêt général. si c était le cas nous le verrions. ce qui les intéresse c est le salaire de député et les avantages qui y sont attachés y compris pour leur retraite.
Signaler Répondretous ces vainqueurs auto proclamés sont à gerber.
Nous sommes nous français responsables d avoir promus depuis 30 ans un monde politique dénué de toute intelligence et bloqué sur des dogmes amplifiés par des réseaux associaux. les intelligents ont fuit la politique et ce pannier de crabe dogmatique. tout cela risque de très mal se terminer pour tous les français.
Il me semble, si ma mémoire est bonne, que le score du PS à la dernière élection en 2022 était de 1,7%.
Signaler RépondreAlors dans ces conditions, couper le cordon avec le NFP, c'est un peu, comme débrancher quelqu'un qui est sous assistance respiratoire...
"Adhérent d'Horizons"
Signaler RépondreOn parle bien du parti dont le chef, passe-plats de l'UE, se vantait d'avoir forcé la main des français à faire des réformes néo-libérales contre son intérêt (chômage, retraites, etc ...) ? Il était où l'intérêt général à ce moment ?
Tout est dans le titre: Les intérêts partisans semblent passer avant ceux des Français. Dire que 28% des Français ont approuvé le programme du Nouveau Front Populaire revient à dire que 72% des Français le désapprouvent. Alors messieurs les élus de gauche, un peu de modestie. Oubliez un instant vos intérêts personnels et pensez d'abord à ceux des Français que vous êtes appelés à représenter.
Signaler RépondreOn s'en tape !! vive la loi du marché !! chacun pour soi et dieu pour tous !!
Signaler RépondreToqu’elles de gauche ou de droite , les extrémistes représentent le désordre et le chaos . L’extrême droite est pire encore , car la de diabolisation du Diable 👿 n’en fera JAMAIS 👎 un enfant de Cœur ❤️ bien au contraire , déguisé , il est encore bine plus DANGEREUX.
Signaler RépondreFélicitations pour votre tribune bien rédigée et structurée. Je ne vous connais pas et n'adhere pas a votre vision, mais cela change du verbiage habituel des éditos ici.
Signaler RépondreLes français, dont je fais partie, ne sont pas partisans d'une politique de compromis.
Nous ne connaissons que 3 couleurs.
Le bleu de droite. Le blanc neutre du milieu. Le rouge de gauche. Bien sûr, c'est une image.
Ces compromis que vous évoquez ne feraient que des électeurs incompletement satisfaits puisque leurs idéaux auraient été abandonnés en partie. On ne mélange pas l'huile et le vinaigre. Une des 2 saveurs finira à terme par reprendre le dessus au détriment de l'autre.
Là où le soleil ne brille jamais.
Signaler RépondrePlus sérieusement, une coalition semble peu probable. Alors ce sera la cohabitation. Dans tous les cas, le pays est bloqué (jusqu'à ce que Macron dissolve à nouveau dans un an ?).
Oui désolant, tous plus nuls les uns que les autres....
Signaler RépondreL'ultra et l'extrême gauche des tarés racistes et antisémites, de vrais fachos.
La droite la plus nulle du monde qui restera toujours dans l'opposition, et un Macron (et ses sbires) pitoyable et ridicule...
Très bonne analyse, excellente et juste projection!
Signaler RépondreQuand est ce que le PS raisonnable va couper le cordon du NFP pou proposer une alliance raisonnable avec le forces républicaines. Le PS à une responsabilité immense dans la situation actuelle de blocage en s’entêtant avec LFI. Situation honteuse! Allez les élus PS prenez vos responsabilités en coupant le cordon du NFP!!!!
Signaler RépondreVous avez raison Monsieur Hamelin ! Vos interventions sont toujours très pertinentes ! Et ce papier est vraiment exceptionnel ! Bravo
Signaler RépondreL’espace politique est grand et suffisamment large pour aller des sociaux démocrates jusqu’au républicains de droite gouvernementale pour proposer une coalition de l’intérêt général au service des francais
Signaler RépondreMettez vous d’accord sans compromission avec LFI. Il y a suffisamment de députés pour l’intérêt général de la gauche encore faut il avoir le courage de couper le cordon avec LFI!
Signaler RépondreSi ces élections nous permettent de nous débarrasser de Melenchon et LFI, c’est nickel.
Signaler Répondre