Jean-Marc Lafont, vigneron de profession a été choisi ce jeudi pour prendre la présidence de l’organisme qui regroupe en sein les partenaires de la chaine de la filière viti-vinicole. Il succède à Philippe Bardet qui présidait cette fois-ci pour le négoce, puisque la présidence de l’Inter Beaujolais est exercée alternativement par le négoce et par la viticulture.
Pendant deux ans, le vigneron de profession aura pour mission de poursuivre le travail de montée en gamme des vins du Beaujolais entamé par ses prédécesseurs. Une étape indispensable à la valorisation des vins du Beaujolais sur le marché international puisque l’organisme compte bien occuper davantage de terrain à l’export tout en s’adaptant au changement climatique.
"À l’heure où le contexte économique aussi bien en France qu’à l’étranger s’assombrit, nous devons garder le cap et continuer la transformation de notre vignoble en le rendant plus mécanisable et écoresponsable, afin d’élaborer des vins toujours plus qualitatifs tournés vers les consommateurs", précise Jean-Marc Lafont via un communiqué de presse.
Le vigneron qui travaille sur un domaine de 24 hectares avec son épouse Annick est plein d’ambitions pour l’organisme. "Nous voulons un Beaujolais fort !", affirme-t-il. Au total, ces 12 appellations couvrent 13 000 hectares sur le Rhône et la Saône-et-Loire, ce sont 78 millions de bouteilles qui sont produites chaque année par 2000 domaines viticoles.
C’est vrai entre un Beaujolais nouveau gouleyant et festif ou un excellent Beaujolais des crus, il vaut mieux une merde de soda bien degueulasse à gerber
Signaler RépondreSurtout n’hésitez pas
Qu'en disent les Japonais, grands acheteurs de Beaujolais ?
Signaler RépondrePas trop fort quand même le beaujolpif nouveau, on n'a pas envie de vomir à la première gorgée, au moins attendre 2 verres comme d'habitude ;-)
Signaler RépondreMollo sur le beaujolais fort !
Signaler RépondreAucun problème : il suffit d’arracher le Gamay.
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