Selon la 20e enquête nationale de l'UNEF, le coût de la vie étudiante a augmenté de 2,25 % en 2024, portant en moyenne le reste à charge mensuel à 1 158,70 euros. Une situation qui continue de se dégrader d'année en année, impactant directement les conditions de vie des jeunes et Lyon ne fait pas exception.
En effet, la capitale des Gaules est à la 11ᵉ place du classement des 23 villes étudiante les plus chères de France avec un coût mensuel de 1 242,84 euros (+2,25 %).
Le logement reste la première source de dépenses pour les étudiants. En 2024, le loyer moyen pour un étudiant dans le parc locatif lyonnais s'élève à 598 € par mois, soit une augmentation de 1,01 % par rapport à l'année précédente. La hausse des loyers en résidences CROUS, de 3,5 %, aggrave encore la situation pour les plus précaires, accentuant les difficultés pour accéder à un logement abordable et décent.
Les transports représentent une autre part importante du budget étudiant. En France, l'abonnement annuel pour les étudiants non boursiers s'établit en moyenne à 267,99 €. À Lyon, pas d'augmentation à observer cette année, avec un coût des transports égale à l'année dernière (250 €). Si les étudiants boursiers bénéficient d'une baisse de 4 % de leur tarif annuel (244,48 €), les inégalités persistent. "Un alignement par le bas des tarifs est nécessaire afin que l'ensemble des jeunes puissent accéder à une tarification réduite", rappelle l'UNEF dans son rapport.
L'inflation sur les produits alimentaires, bien que plus modérée en 2024 (+0,82 %), continue de peser sur les budgets étudiants. À Lyon, comme ailleurs, près d'un étudiant sur deux sautes régulièrement des repas pour des raisons financières. Cette précarité alimentaire, couplée à la hausse des prix (+29,75 % depuis le premier quinquennat d'Emmanuel Macron), souligne l'urgence d'une réforme de la restauration universitaire. Malgré l'absence d'augmentation pour les non-boursiers dans les restaurants universitaires, l'accès à une alimentation saine et abordable reste un défi quotidien.
L'inflation, je la vis comme eux, et même plus durement car n'étant pas au SMIC, mon salaire n'est pas revalorisé 5x par an.
Signaler RépondreJe n'ai aucune allocs, et par contre, mon abonnement TLC lui a augmenté plus que le leurs
(OK, 5x ,j'exagère un peu, je crois que l'année dernière c'était 3x le SMIC.)
Et comme l'a dit un autre commentaire, je dépense pas autant qu'eux, alors que j'ai des frais en plus qu'à ma période étudiante, comment l'expliquez vous ?
Pas étonnant, l’UNEF c’est l’idéologie LFIste avec des membres qui organisent des réunions interdites aux blancs (donc raciste) et avec une présidente en hidjab à paris. Cette analyse est donc complètement décrédibilisée. Ils sont certainement pour le smic à 10K€ aussi
Signaler RépondreComme pour la rentrée scolaire un pognon 💰 de dingue qui va pas au enfants Mais bien à la Consommation pour gonfler le PIB Français .
Signaler RépondrePas d’angoisses avec l’argent de la rentrée scolaire j’ai acheté un IPhone le dernier .
Signaler RépondreN'oubliez pas les sorties important pour les étudiants avec les bière a 5 e y ont des sous la
Signaler RépondreC'est quoi ce com de bourrin à deux neurones? Etudier demande beaucoup de travail.
Signaler RépondreLes capitalistes : quand la demande est forte, ça fait baisser les prix.
Signaler RépondreEncore les capitalistes : quand la demande est forte, ça fait monter les prix.
De mon temps on fermait sa gueule et on bossait. On ne va pas non plus soutenir des fainéants.
Signaler Répondrede nos jours pour faire des études
Signaler Répondreil faut que papa maman aient un ou deux gros salaires
j’habite dans un immeuble à Villeurbanne pas cossu mais !!
bcp d’étudiants bien chics qui vivent très bien
droit médecine philo à mon avis avenir assuré
sélection par l'argent depuis belle lurette
rien de nouveau
Tant mieux, ca fera un premier filtre social si vous voyez ce que je veux dire...
Signaler RépondreL'inflation. Et surtout la flambée des prix des logements étudiants à Lyon.
Signaler RépondreNan mais l'UNEF... "Un alignement par le bas des tarifs est nécessaire afin que l'ensemble des jeunes puissent accéder à une tarification réduite".
Signaler RépondreMais donne leur la carte de transport, point barre. Y'a ça d'un coté, les étudiants ne sont pas indépendants ni une classe à tondre.
D'un autre faut voir le budget en détail.. peut être que les étudiants ont un niveau de vie qui ne se justifie pas. A Lyon 1242€/mois.. un salaire en gros. J'en gagne plus mais j'en dépense pas autant, et encore moins quand j'étais étudiant. La génération se voit une peu trop belle.
L'UNEF vraiment des as, des génies, toujours le bon mot...
"par le bas", "réduite"... les mecs ont du vocabulaire... 👍
Quand on voit le nombre d'étudiants dans les bars le soir on se demande où sont ceux qui sont dans le besoins
Signaler RépondreAprès je ne dis pas que certains ne sont pas dans le besoins mais 1200 € c'est presque un SMIC et beaucoup de Français vivent avec
Il faut faire comme dans les pays du Nord, une allocation d'études versée à tous les étudiants du supérieur, pendant un certain nombre d'années (cf. Danemark par exemple), et gratuité des transports en commun (train et tcl).
Signaler RépondreAh les fameuses "études" annuelles de l'UNEF ! Pile à temps pour faire un peu de propagande ! Plus de 1200 euros de dépenses mensuelles à Lyon, cela doit inclure l'alcool et la beuh, c'est ça ?
Signaler Répondreil est fiché "S"..
Signaler Répondre"près d'un étudiant sur deux sautes régulièrement "
Signaler Répondresautes avec un s bien évidemment...
Un étudiant sautes
deux étudiant sautess ...?
allez savoir...
Je pense que le prix de la pinthe n'a pas augmenté..
Signaler RépondreUn echec de plus pour les pastèques
Signaler RépondreVa falloir m'expliquer les chiffres....j'ai jamais dépensé 1200€ par mois quand j'étais étudiant à la Rochelle ....
Signaler RépondreEt c'est toujours pas ce que je dépense une fois adulte alors que je gagne pas des 1000 et des 100...Je comprends vraiment pas ces chiffres, en toute bonne foi
Un reportage TV un jour avait montré que, pour faire face à la hausse du coût de la vie étudiante, beaucoup devaient travailler ou tomber dans l'escorte. C'est triste. Et aussi bien les garçons que les filles.
Signaler RépondreUne "précarité grandissante" qui ne touche hélas, pas que les étudiants, en cette rentrée aussi morose qu'elle promet d'être bordélique !.. Encore un petit effort et la faim, la vraie, va commencer à se manifester , les gens commenceront peut-être enfin à BOUGER pour de bon !
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