Depuis des années, la maire de Vaulx-en-Velin et vice-présidente de la Métropole de Lyon se bat contre la dissolution du Parti socialiste dans la NUPES puis le NFP, au profit de la France insoumise.
Et alors que l'alliance de la gauche ne parvient pas aujourd'hui à imposer sa Première ministre Lucie Castets à Emmanuel Macron, l'ancienne députée a jeté un nouveau pavé dans la mare ce mardi à l'occasion du bureau national du PS.
"Nous sommes dans l’impasse, la gauche et l’espoir qu’elle avait suscité est dans l’impasse", a déclaré Hélène Geoffroy, estimant que les socialistes sont "à la croisée des chemins. Soit nous persévérons dans l’erreur et nous condamnons le pays à la violence en étant aussi irresponsables que le Président de la République qui a mis le pays dans cette situation, soit nous donnons le coup de talon qui nous permet de remonter à la surface".
— Hélène Geoffroy (@HeleneGeoffroy) August 27, 2024S'adressant à plusieurs reprises au premier secrétaire du PS Olivier Faure, Hélène Geoffroy lui a reproché de ne pas s'être indigné quand son nom a été recalé par le NFP après avoir été proposé pour le poste de Premier ministre.
"Et voici que Lucie Castets, qui est une femme déterminée, nous l’avons constaté, est désignée sans vote des militants par une décision en chambre obscure comme notre représentante. Et voilà, que désormais tu annonces être prêt à censurer tout gouvernement qui ne serait pas dirigé par Lucie Castets. Y compris s’il est dirigé par un Premier Ministre dans un gouvernement de cohabitation ?", s'étonne la maire vaudaise.
Son discours sur son aversion pour les méthodes insoumises ne change pas : "J’assume de ne pas vouloir le grand soir et la Révolution. J’assume de comprendre le réel et d’aller vers l’idéal. J’assume l’utopie face à la radicalité".
Et Hélène Geoffroy conclut en réclamant "un vote en présentiel pour décider quelle sera notre position une fois un nouveau Premier ministre nommé a priori hors NFP et j’annonce que nous prenons totalement notre liberté de parole, pour dire qu’un autre chemin que celui que tu empruntes est possible, qu’un autre PS est possible. Nous avons été constructifs, nous serons en frontal si nécessaire, pour donner une capacité d’espérer".
Quel soutien populaire ?
Signaler RépondreLFI, c'est 9,9% des voix aux européennes.
Mélechon est l'homme politique le plus détesté de France.
La Gauche peut très bien vivre et gagner sans les boulets de la France Insoumise !
Pourquoi vous arrivez pas à comprendre qu'il y a un projet de société différent côté nupes/nfp et côté Macron / LR? Et que c'est justement parce LFI assume ce projet différent qu'elle obtient autant de soutien populaire, dans la rue et dans les urnes? Vous dites qu'il aurait fallu négocier mais vous êtes pas capable de dire sur quoi. Votre système de pensée se heurte au réel.
Signaler RépondreCette élue accompagne sans vergogne le mouvement de diabolisation qui veut faire perdre la gauche. Avec pour conséquence le maintien de la réforme des retraites, la non taxation des dividendes et l'abandon d'une revalorisation significative du smic !
Signaler RépondreQuand on rejette en bloc les mesures du programme commun LFI / PC / PS / EELV, pourquoi continuer à se revendiquer de gauche ? Cela n'a aucun sens !
Hélène Geoffroy, quelle que soit votre nostalgie, il est temps que vous réalisiez que votre idéologie et vos prises de positions sont anti-gauche. Assumez votre adhésion à l'anti-gauche officielle de Renaissance, et l'élection du RN qui découlera du dégoût de l'autoritarisme de Macron et de la traitrise des gens de votre espèce.
Marrant, parce que moi je ne fait qu'entendre votre discours, et à part quelques individualités de gauche, pas grand monde ne pousse le NFP à négocier. Et ce discours, ça fait des années que je le tiens.
Signaler RépondrePour le reste, vous confondez les causes et les conséquences: Si LaREM a été autant de droite c'est parce qu'ils ont du négocier avec la droite à défaut de pouvoir négocier sur leur gauche.
De la même façon que si le NFP en vient à accepter de négocier (ça a l'air de commencer à bouger, mais ça risque d'être trop tard), il devra aller vers le centre. Est-ce que ça fera pour autant du NFP un ensemble de partis du centre? Non
Et je sais bien que le smic à 1600€ vient du NFP. Je l'ai pris comme exemple des choses qu'ils ne pourront pas appliquer tel quel. Mais votre commentaire montre que vous ne comprenez même pas le principe de négociation. Ce que Macron donnerait en échange d'une augmentation moins importante, c'est rien. Ou plutôt c'est d'accepter cette augmentation. En restant bloqué à 1600€, au final, ça sera 0% d'augmentation que le NFP obtiendra.
Quel courage madame, vous avez raison les extrêmes n'ont rien a faire dans le PS ...
Signaler RépondreUn autre courant de pensé doit émerger plutôt que d' accepter des idées des extrêmes ....
A Villeurbanne jean Paul BRET a osé face au gendre de Mélenchon..Il n a pas été élu mais de peu ....
oui elle a raison, mais Olivier Faure préfère rester le pion de LFI, car il pense aux élections municipales, et sait que le PS sera dépendant de LFI dans certaines villes !!!!
Signaler RépondreNon mais le SMIC à 1600 euros c'est une proposition du NFP (juin 2024). Mais allons-y : en échange d'une augmentation moins importante, qu'est-ce que vous voudriez que Macron nous propose? Vous pensez qu'il va abroger sa réforme des retraites en échange d'un SMIC à 1550 euros? Ou le rétablissement de l'ISF? Je comprend pas votre stratégie.
Signaler RépondreC'est vous qui dites que la NUPES n'a jamais voulu négocier, sur quoi aurait-elle pu vouloir négocier avec la Macronie entre 2022 et 2024? Quoi en échange de quoi? Bien sûr qu'ils négocient facilement avec la droite : ILS SONT DE DROITE ! Ils ont les mêmes intentions politiques ! Quand on veut pas aller dans la même direction sur le fond, y'a quoi à négocier?
Votre discours, on l'entend partout, on dirait que vous ne faites que répéter les arguments creux de la bourgeoisie libérale qui se réclame de la gauche. C'est eux qui devraient prendre leur carte chez Macron et laisser les militants de gauche (les vrais) faire le boulot dans la rue, dans les urnes, aux tribunes. Vous ne nous empêcherez pas de gagner ! Si c'est pas aujourd'hui, ce sera demain.
Le chef du PS est tellement insignifiant qu’il préfère être soumis aux insoumis que d’être dans une démarche d’intérêt supérieur pour la nation!
Signaler RépondreMr Faure, prenez votre carte à LFI, vous deviendrez le toutou de Melenchon!
Les leçons de démocratie de Me Faire sont fabuleuses quand on sait que lui a truqué les élections de 1er secrétaire de son parti il y a 2 ans avec le soutien de ses affidies. Grotesque et honteux! Le NFP est mort, cette alliance contre nature est une insulte à nos institutions, a notre République et à nos valeurs! Faire alliance avec la racaille de LFI est une faute politique et un bras d’honneur fait à la France! Le bruit et la fureur, non merci! Sauver son siège de député et avaler toutes les horreurs de LFI montre votre hauteur de vue minable et vos sens des responsabilités!
Mais la macronie n'a fait que ça, de négocier depuis la seconde élection. C'est la NUPES qui a refusé de négocier.
Signaler RépondreDonc oui, la macronie a négociée, à sa droite, avec le résultat qu'on connait et qu'on subit.
Et ça recommence encore avec le NFP: le programme, tout le programme, rien que le programme (ah zut, on n'a pas les voix pour ça. Pas grave, on continue quand même, ça fait un joli slogan. Tant pis si ce n'est pas possible).
Vous prenez vraiment les électeurs et les militants de gauche pour des imbéciles? Vous pensez qu'ils ne sont pas capables de se rendre compte qu'ils n'y a pas de majorité pour appliquer le programme pour lequel ils ont voté? Qu'ils sont incapables de se dire qu'avoir un peu, c'est mieux que rien du tout?
Moi je sais qu'ils en sont capables, mais ça nécessite aussi qu'on n'ait plus de politiques qui leur servent des boniments en sachant pertinemment que c'est faux. Tout le NFP qui indique qu'ils appliqueront tout leur programme, qu'ils ont gagné depuis les résultats du second tour, tout ce NFP ment comme un arracheur de dent, il se fout de la gueule des électeurs.
Quoi négocier? Oubliez le smic à 1600€, mais négocier une augmentation de ce dernier est faisable.
etc.
Bref, faire de la politique.
Je vous repose une troisième fois la question : QUELS COMPROMIS?
Signaler RépondreSur quoi est-ce que vous pensez pertinent de négocier? Quel compromis sur le programme ne serait pas perçu comme un dévoiement et une trahison par l’électorat et les militant (dont les attentes sont légitimes vu ce qu'on ramasse dans la gueule)?
Vous regrettez qu'il n'y ait pas de négociation mais vous ne semblez pas comprendre que la méthode macroniste n'est pas la négociation ! On ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif ! Ils n'ont jamais voulu négocier, sur quoi que ce soit, regardez les votes à l'assemblée ! C'est un exercice du pouvoir autoritaire, performatif, aveugle.
houla la :tous ces beaux discours de sociologues de comptoir sur la pureté des sentiments de la gauche..c'est beau l'utopie mais a propos qu'est ce que la gauche a réussi depuis des années ? a part couler le pays chaque fois qu'ils ont été au pouvoir
Signaler RépondreVous avez oublié une chose: et perdre. Parce que le what you get, it will be nothing.
Signaler RépondreParce que c'est le pendant de vouloir rester idéologiquement pur, de ne pas chercher des compromis. C'est rester seul et perdre. Abandonner le peuple.
Si pour vous, c'est ce qu'il faut faire, ça ne fait que confirmer que la LFI est la tombe de la gauche. Une jolie tombe immaculée, mais une tombe quand même.
A moins d'avoir une hégémonie, faire de la politique, c'est négocier et faire des compromis. Je préfère faire des pas qui vont dans la bonne direction même si ça me fait dévier de mon chemin idéal que de vouloir rester dessus et voir le pays partir dans une autre direction.
Le NFP finira peut-être par comprendre que l'on ne peut pas être majoritaire avec seulement 178 députés sur 577.
Signaler RépondreIl faut arrêter d'être sectaire : un peu d'ouverture et des alliances sont nécessaires pour gouverner.
Seul le NFP semble ne pas l'avoir compris.
En fait vous avez pas l'air de comprendre qu'il y a des différences idéologiques entre les formations politiques. Ce n'est pas qu'une question de négociations pour des sièges, des postes, des textes de lois. La politique c'est la mise en concurrence d'idées, de vision du monde et de la société !
Signaler RépondreSuffit d'écouter les discours et de regarder les programmes pour comprendre que la REM a un projet politique et une structure idéologique irrémédiablement incompatible avec la gauche (et pleinement compatible avec la droite). Dans ce contexte, c'est quoi les points de négociations que vous imaginiez? Sur quoi vous croyez que la NUPES aurait pu gagner, en plus au prix du sentiment de trahison de son électorat (qui n'a jamais voté pour la gauche en espérant qu'elle négocie avec les macronistes sur nos droits et nos acquis sociaux)?
LFI fait le choix de la droiture et de la cohérence, il n'y aura aucun parjure, aucune trahison (ou alors ça signifiera l'effondrement immédiat du mouvement car c'est une clé de voute de l'organisation, c'est ce qui tient les militants ensemble, et c'était le mot d'ordre le soir de la fondation du NFP "ne nous trahissez pas"). Ceux et celles qui n'étaient pas clairs ont été virés ou sont partis (garrido, ruffin et co). Ca vous fait peut-être bizarre, surtout comparé à tous les autres partis qui sont en permanence divisés et contradictoires, mais c'est comme ça que les électeurs et les militants LFI aiment la politique : un cap clair, pas de négociation sur les valeurs de justice et d'égalité, what you see is what you get.
Mais bien sur. Vous avez déjà négocié quelque chose?
Signaler RépondreAprès que la NUPES ait annoncé haut et fort qu'ils ne négocieraient rien, quel était le seul choix qui restait? La droite.
Et les LR sont loin d'être idiots, ils le savaient aussi que LaREM n'avait pas d'autre choix que de venir chez eux, et qu'ils devaient trouver un accord. Les meilleures conditions possible de négociation pour eux: ils ont pu demander tout ce qu'ils voulaient et ils l'ont eu.
Si la NUPES n'avait pas été aussi conne, bien sûr que ça aurait changé quelque chose. Le simple fait de laisser ouverte la porte des négociations aurait limité ce qu'a obtenu les LR
Et le NFP recommence la même merde!
Quel travail de fond de la LFI? Celui de paraitre comme un parti repoussoir encore pire que le RN? D'avoir réussi à faire de JLM un personnage perçu comme plus dangereux que MLP (chapeau!)
Désolé, je ne vois aucun motif de satisfaction dans la situation, je ne vois qu'un désolation à venir, mais pas de soucis, le NFP pourra dire qu'ils sont propre sur eux, ils seront restés fidèles à leur programme. Au détriment des français.
Le PS fait élire ses députés grâce au NFP, donc majoritairement grâce à LFI, et tout de suite après, ils crachent dans la soupe !
Signaler RépondreComme Macron, en fait : le NFP était respectable pour le barrage au RN, mais à présent le NFP est passé de partenaire du "front républicain" à Grand Satan...
Alors que dès les élections européennes, et plus encore lors de la mobilisation électorale des deux tours des législatives, les Français de toutes opinions ont exprimé leur rejet du pseudo-centre qui renie la volonté du peuple et contourne l'assemblée (49.3), Madame Geoffroy emboîte le pas de Macron pour perpétuer cette politique.
C'est à vomir d'opportunisme et de reniement, et surtout, c'est faire la courte échelle au RN à court terme car vu comme on nous prend pour des c... le "front républicain" ne marchera plus la prochaine fois !
Madame Geoffroy, prenez votre carte à Renaissance et cessez de vous prévaloir du qualificatif de "socialistes". La dystopie orwellienne n'est pas encore totalement accomplie : les mots ont encore un sens.
elle a le bon sens du terrain, elle !! il faut l'écouter
Signaler Répondreelle n'est pas énarque planquée aux finances de la mairie de Paris !!
Au bout d'une impasse il y a souvent un mur
Signaler RépondreLe risque c'est l'absence de freins et la gauche va se crasher lamentablement à moins que cela ne soit déjà fait
"rééquilibré la situation"? Vous avez suivi l'actualité politique? Vous pensez vraiment que des "négociations avec la NUPES" auraient empêché ce gouvernement de réformer les retraites? L'assurance chômage? De faire les lois sur la sécurité et l'immigration dont rêvent les fachos? C'est plus de la naïveté là...
Signaler RépondreLa seule stratégie qui paye, et les résultats dans les urnes le montre, c'est de rester droits et inflexibles sur le fond : les valeurs, les idées, les propositions programmatiques. Négocier à la marge et sur la forme pourquoi pas, personne ne l'a jamais exclu, ni à la NUPES ni au NFP (comme le disait Cocquerel aux amphis, on peut négocier des seuils, des montants, des plafonds, mais pas sur le principe politique des propositions). Les parlementaires LFI et NUPES ont souvent travaillé main dans la main en commission avec des représentants d'autres formations politiques.
Si vous êtes vraiment un électeur de gauche, je ne comprend pas comment vous pouvez faire ce bilan alors que le travail de fond de LFI à l'AN et dans les médias a permis de faire des scores historiques à gauche aux présidentielles et de gagner les dernières législatives contre tous les sondages et pronostics, et après des mois de propagande anti-gauche dans tous les médias. Nous n'avons jamais été aussi forts dans la rue comme dans les institutions, jamais aussi prés de pouvoir changer la vie des français (et c'est pour ça que le bloc bourgeois est dans une surenchère antidémocratique).
La gauche politique a le vent en poupe alors même que l'hégémonie culturelle a basculé à droite (à cause du PS), si vous êtes vraiment de gauche, réjouissez-vous !
La trahison de la gauche, c'est la NUPES qui refuse de discuter avec le gouvernement. Ce dernier, minoritaire à l'assemblée avait besoin de négocier. Sans ouverture sur sa gauche, il a été obligé de partir sur sa droite et on a eu un gouvernement très à droite. Ils auraient négocié, on n'aurait certes pas eu un gouvernement à gauche, mais ça aurait rééquilibré la situation.
Signaler RépondreLa trahison, c'est le NFP qui refait exactement la même connerie en ce moment, et le résultat sera exactement le même.
La trahison, c'est le NFP qui est resté arcbouté sur son programme, rien que son programme et tout son programme alors qu'il n'avait pas la majorité pour l'appliquer et qu'il le savait très bien.
Je suis un électeur de gauche et ce NFP me dégoûte.
Je vais essayer de détricoter parce que c'est très confus.
Signaler RépondreLa gauche est internationaliste. C'est juste historique. Pour des raisons géopolitiques (la paix) et pour des raisons politiques (la liberté, l'égalité). Elle veut agir en réformant les structures, pas en contraignant les individus. C'est pour ça qu'elle est en faveur de la libre circulation des personnes (mais pas des capitaux). Pas de dumping social sans mondialisation financière, qu'il y ait ou non libre circulation des personnes !
Penser à gauche, c'est justement penser la différence entre l'instrumentalisation de l'immigration par la classe possédante, et le phénomène d'immigration lui-même. Vous, vous confondez les deux, ce qui est un marqueur intellectuel classique de... l'extreme-droite (et j'ai aucun problème à dire que le PCF a déjà été confus dans ses fondamentaux sur cette question, si il vous venait l'idée de ressortir George Marchais du chapeau).
A l'évidence, vous êtes de droite, donc ça vous arrange bien de penser que la gauche est une arnaque, ça vous évite de vous poser des questions, de penser de façon critique. Mais vous n'en connaissez ni l'histoire ni la pensée. Dommage.
Dire que "la gauche sociale n'existe pas", c'est vraiment faire la preuve définitive de votre inculture. Il n'y a pas d'autre gauche que sociale, puisque précisément, la préoccupation sociale (c-a-d l'égalité face aux besoins humains fondamentaux), c'est ce qui fait qu'on pense à gauche, c'est la base.
Et ce qui définit la "fausse gauche", c'est justement la perte de la boussole sociale, de la préoccupation incontournable de l'égalité et de la justice, pour tous les humains quelque soit leur nationalité. C'est un peu la politique que vous décrivez, qui va d'une main baisser les impôts des riches, et de l'autre flatter son électorat petit-bourgeois avec des mesures sociétales. Mais ça, ça n'a jamais été la gauche, et penser que la pensée de gauche se limite aux trahisons libérales françaises des années 80 et 2010, c'est vraiment se fourrer le doigt dans l’œil jusqu'au coude. Renseignez-vous.
Les gens de gauche n'apprécient pas vraiment que des partis qui se disent de gauche ne le soient pas.
Signaler RépondreSe rapprocher du centre, pour une droite c'est une arnaque qui fait respectable, pour la gauche c'est une réalité qui fait trahison.
La "gauche" tente de se faire passer pour une gauche, et vous avez compris comment d'ailleurs :
Le sociétal, c'est le thème du plan de l'Assemblée effectivement... le thème général de la politique en France, et la fameuse fenêtre d'overton y procède largement.
Si on refait le plan sur le thème social, à gauche ils sont combien ?
Et comment on classe les partis ? parce qu'en fait l'extrême-droite sociale.. bah c'est le parti du président, le parti de la casse-sociale.
D'un point de vue social, logiquement c'est la gauche qui devrait promettre de stopper "l'immigration"(en langue sociétale) pour protéger les Français, et leurs emplois. Dans les faits c'est la droite libérale, au pouvoir, qui se dit au centre, qui laisse porte-ouverte.. on présente ça en sociétal "si t'es contre t'es raciste" et le tour est joué.. la "gauche" arrive à militer en faveur de "la libre circulation des travailleurs"(en langue sociale) pour bien plomber les salaires.. c'est un gag, ce n'est qu'un exemple de non-sens absolu parmi d'autres.
Et vous arrivez à voir/craindre une extrême-gauche "sociale"... qui ressemble à l'extrême-droite "sociétale".. sans reconnaitre l'extrême-droite "sociale"... ça c'est de la vista...
Il n'y a pas d'autre "gauche" que sociétale en fait, c'est à dire qu'il n'y a pas de "gauche" du tout sauf vendue ou bisounours. Et pas d'autre débat que sociétal, soit pas de débat du tout.
Les plus dingue chez les gens de droite, c'est qu'ils ne voient même pas que la gauche est défaite, fausse, médiocre ou corrompue.. la gauche sociale n'existe pas. C'est une farce, une fiction, un épouvantail. Et à un moment faudrait comprendre que tout le monde se fait rouler.. les gaullistes, ou ce qu'il en reste, sont fous de rage.
Bah regardez celle là... "socialiste" hein, du sociétal y'en a plein sa mairie.. coté social elle ne veut pas du grand soir(la justice sociale) en l'associant à une révolution qu'elle confond d'ailleurs avec la Révolution, et se montre prête à négocier avec la droite libérale.. on est où là ?
Déjà quand on parle de LFI, on ne parle pas que de Mélenchon. Ensuite...
Signaler RépondreSi il ne reconnaissent pas les institutions, comment expliquez-vous qu'ils fassent campagne, soient élus et siègent dans ces dites institutions?
Ce n'est pas être "anti-démocrate" que de déplorer le résultat d'une élection, LFI n'a jamais remis en question le principe du vote.
Il n'y a eu aucune plainte, aucune mise en examen, aucune condamnation pour des propos antisémites, c'est un pur mensonge, gratuit. LFI a toujours dénoncé et condamné toutes les formes de racisme et de discrimination.
Vous me faites bien marrer parce que quand vous parlez de "vote communautariste", c'est vous qui êtes anti-démocrate : visiblement il y a des votes qui vous paraissent plus légitimes et plaisants que d'autres. En République, c'est une personne, une voix, il n'y a pas de vote ceci ou de vote cela, tous les votes sont comptés car légitimes.
Une nation c'est d'abord une idée, une abstraction, et la France ne fait pas exception. Votre idée de la France peut être différente de la mienne ou de celle de Mélenchon, ça ne nous empêche pas de vivre dans le même pays car nous sommes justement dans un régime démocratique et libre. Si une vision de la France s'imposait à une autre dans notre pays, nous serions dans une dictature. Votre propagande sur LFI n'a ni consistance, ni cohérence. C'est creux quoi.
Merluche pas d'extrême-gauche ? Alors qu'il est anti-républicain (ne reconnaît pas les institutions), anti-démocrate (reconnaît le vote par les urnes seulement quand ça l'arrange), antisémite, se base sur le vote communautariste et plus généralement anti-France (il s'est adressé à la "nouvelle France").
Signaler RépondreC'est clair, quand Lamar se permet de commettre un délit et ensuite de menacer les flics avec sa soi-disant immunité parlementaire pour annuler l'amende, ces gens sont des voyous pour lesquels les ploucs ont voté...
Signaler RépondreBien vu !
Signaler Répondre"je n aime pas les socialistes parce qu ils ne sont pas socialistes!!!"
Signaler RépondreC'est que les socialistes ce sont acoquiné avec Merluchon et toute sa clique et là c'est grave !
Signaler RépondreJ'ai fais une réponse qui n'a pas été publiée... Pas de temps à perdre.
Signaler Répondrebien repondu :vous avez mouché ce pretentieux sentencieux qui fait l analyse pot-litique qui l arrange
Signaler RépondreÇa fait bien longtemps que la gauche est dans une impasse, il faut toujours que les ploucs aient le nez écrasé contre le mur pour se rendre compte qu'il y a un mur...
Signaler RépondreEt pendant ce temps, les Vaudais attendent toujours qu'on s'occupe de leurs problèmes quotidiens : guettoïsation, éloignement des réseaux de transport, chômage, absence de logements abordables, logements à rénover et à sécuriser... Bonne carrière à Paris à leur "maire" !
Signaler RépondreC'est de l'analyse politique vraiment basique pourtant, mais c'est sûr que c'est autre chose que ce qu'on entend à longueur de temps dans les médias tradis tenus par les bourgeois et leurs défenseurs.
Signaler RépondreSi jamais vous avez le courage, allez discuter avec un militant d'extrême droite. Pour lui, le RN est de droite, les LR le centre, Macron est à gauche et tout le reste à l'extrême gauche. La principale différence, c'est qu'il se basera sur le sociétal et non pas l'économie pour établir son échelle.
Signaler RépondreJe maintiens donc, vous avez la même façon de raisonner que le camp d'en face: on essaye de se positionner plus au centre pour apparaitre plus propre et plus légitime et on essaye de délégitimer tous les autres.
C'est bien, vous avez bien appris le discours LFI et vous le régurgitez correctement comme le brave militant que vous êtes. On reconnait bien la volonté de purge et de vengeance envers le PS surtout.
Signaler RépondreMais ce n'est pas pour autant vrai.
Malgré toute sa bonne volonté, l'édile de Vaulx-en-Velin n'avait qu'un an au Congrès PS d'Épinal (juin 1971)... De ce fait, il lui manque l'Historique, même François Hollande a toujours ses lacunes. C'est peu dire. Le PS aime les courants, un peu comme ceux du Rhône au pont de la Guille, ils tournent (les courrants) et disparaissent dans les flots...
Signaler RépondreJe crois que l'on tient le prix Nobel du jour .......
Signaler RépondreDans la secte de la France insoumise , Mélenchon doit être un sacré Kourou !
Signaler RépondreAlors que Fabien Roussel et Olivier Faure avaient dit que LFI Mélenchon c'était fini pour eux et qu'ils n'en voulaient plus .
Les revoilà derrière lui ! Ils n'ont vraiment pas honte.
Quand vont-ils comprendre que les Français attendent autres choses du PS et des Communistes.
J.M
LFI ne représente pas la gauche parce qu'elle n'en est pas vraiment... ou gentiment.. y voire une extrême-gauche c'est vraiment bigler.
Signaler Répondre"la droitisation de l'espace politique et de la fenêtre d'overton, ça décale tout le monde dans la même direction politique", c'est tout à fait ça.
Et un peu en désordre en plus... c'est complètement enfumé le truc.
LFI est le parti leader de la gauche électoraliste depuis sa création, le PS étant sorti de la gauche en se compromettant avec le bloc bourgeois (le quinquennat de Hollande et sa suite macroniste en ont apporté toutes les preuves). Le fait de désigner LFI comme un parti d'extreme-gauche est une tentative désespérée des défenseurs du bloc bourgeois de dissimuler le glissement vers la droite de tout le paysage politique (qui met le PS au centre, Macron et LR à droite, et le RN là ou il a toujours été : au bout du spectre avec les fachos).
Signaler RépondreLFI est le parti le plus modéré et compatibles avec les institutions qui mérite encore d'être considéré comme de gauche, et l’électorat ne s'y trompe pas, ce qui explique les scores de Mélenchon.
LFI n'a rien à voir avec la vraie extreme-gauche, dont les propositions relèvent d'une stratégie révolutionnaire (réquisitions, nationalisations, abolitions), alors que LFI revendique une stratégie de révolution citoyenne (réformiste), c'est à dire à travers les institutions existantes et par les urnes.
Je suis d'accord avec le fait que le RN ne représente pas la droite mais bien l'extrême droite. Mais de la même façon, la LFI ne représente certainement pas la gauche.
Signaler RépondreVous n'avez pas compris : la droitisation de l'espace politique et de la fenêtre d'overton, ça décale tout le monde dans la même direction politique. Si on regarde le paysage politique actuel avec une grille de lecture gauche/droite historique (celle de après-guerre), le RN retrouve sa place authentique : tout au fond de l'extreme-droite, aux côtés des nazis du GUD et des royalistes de l'action française.
Signaler RépondreLe RN n'est pas un parti qui "représente la droite", c'est un parti dont les propositions politiques sont profondément xénophobes, autoritaires et réactionnaires. Ce sont des autoritaires, l'extreme-droite quoi !
D'ailleurs, cette grille d'analyse crée un angle mort qui rend difficile l'identification des partis actuels qui représenteraient la droite classique, républicaine, pour une raison simple : la bourgeoisie est en train de faire alliance avec l'extreme-droite, et surfe sur ses thématiques depuis Chirac ("le bruit et l'odeur"). La droitisation du paysage politique, c'est aussi causé par l'emballement autoritaire des partis qui historiquement étaient associés à la droite républicaine (gauliste), dans un mouvement qui a commencé avec Chirac et qui finit en apothéose avec le déni de démocratie de Macron.
Résultat : les partis qui devraient représenter la droite (Macron, LR) ne le font même plus parce qu'ils courent après l'extreme-droite ! C'est la polarisation du paysage politique : d'un côté le bloc bourgeois allié à l'extreme-droite, de l'autre le bloc progressiste (la gauche), polluée par les hésitants carriéristes du PS comme cette dame (qui ne veulent pas ouvertement s'allier au bloc bourgeois pour ne pas faire fuir leur électorat, mais qui ne peuvent pas non plus s'associer à une gauche de rupture incarnée par LFI pour rester fréquentables aux yeux du bloc bourgeois).
Vous avez le même argumentaire que le RN. Pour les militants RN, ce parti représente la droite et tous les autres sont à gauche.
Signaler RépondreEt si l'argumentaire façon RN est ridicule, il l'est aussi pour la LFI qui serait de centre gauche.
"Sociale-démocrate", la LFI, c'est pas la gauche de Jean Jaurès non plus hein.
Signaler RépondreDonc oui, "LFI est la seule formation politique qui incarne une gauche sociale-démocrate authentique".
Sauf que "gauche sociale-démocrate" en fait c'est pas à gauche. Centre-gauche, au mieux. Ca vous replace le PS, et par domino les autres aussi.
Quand vous regardez le schéma de l'Assemblée, dites vous que le plan est faux. La répartition des partis dans l'ordre gauche/droite est fausse, la barre "centre" est nettement décalée.
Entre ceux qui ne sont pas ce qu'ils prétendent être, et ceux qui ne sont pas la bonne place... ça ne veut rien dire. En fait le PS ne devrait pas être à gauche, le camp Macron/libéral devrait être celui le plus à droite... etc..
Du coup l'ambiance est hallucinante. On croirait que Staline en personne a la main à trois centimètres du pouvoir, alors que tout ce qu'on a comme gauche de gauche c'est un tout petit PC bien poli.
Et la vision d'un clivage inexistant, sur le papier des alliances contre-nature... c'est n'importe quoi.
Libre à vous d'apporter une contradiction argumentée sur une ou plusieurs de ces "affirmations péremptoires".
Signaler RépondreAh le fameux sophisme vénézuélien (déshonneur par association). Une question pour vous, très simple : Quelles sont les mesures du programme du NFP que vous trouvez comparables aux politiques menées par les dirigeants socialistes au Venezuela (à supposer que vous soyez suffisamment informé sur la question ce qui est très difficile quand on ne connait pas le pays)? Et en quoi les trouvez-vous "encore plus gonflées que celles de Staline"?
Signaler RépondreOn peut faire un concours de mauvaise foi ou échanger des arguments de fond, c'est vous qui voyez.
En même temps, il n'y a aucun arguments en face, juste des affirmations péremptoires.
Signaler RépondreC'est marrant de porter des accusations sans l'ombre d'un début d'argument.
Signaler Répondre"LFI est la seule formation politique qui incarne une gauche sociale-démocrate authentique,"
Signaler Répondrevous en avez d'autres comme ça en stock pour nous faire marrer? quand on s'inspire de chavez ou maduro, c'est encore plus gonflé que les méthodes de staline
Bravo ? Mort de rire à votre commentaire .Vite une bonne douche et au lit
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