Et cela risque de provoquer des posts sur Facebook du style : "DE MON TEMPS, ON TRAVAILLAIT ET ON AVAIT UNE ORANGE À NOËL. ON VENDANGEAIT 36 HEURES PAR JOUR ET ON N’EN EST PAS MORTS. CORDIALEMENT GEGE DU 65". Oubliant que les exploitations sont bien plus vastes qu’avant. Là où il fallait 500 personnes pour vendanger le Pilat, il en faut aujourd’hui 3000.
Certains élus de droite en profitent pour évoquer à nouveau la possibilité de réduire les droits des demandeurs d’emploi afin de les forcer à accepter un travail, en tirant vers le bas salaires et conditions de travail. Ils semblent ne connaître la loi de l’offre et de la demande que dans un seul sens. Certes, la météo et les décisions politiques jouent un rôle, mais certaines pratiques de certains viticulteurs doivent également être remises en question. Même si l'ambiance de belles vendanges, c'est aussi des souvenirs inoubliables.
Un décalage qui exclut les étudiants
Tout d’abord, il y a la question du calendrier. Cette année, dans plusieurs régions, les vendanges sont plus tardives que d'habitude, un retard qu’on n’avait pas vu depuis 2014, de même dans les vignobles de la Loire. Ce décalage coïncide avec la reprise des cours universitaires, excluant ainsi de nombreux étudiants qui formaient une grande partie de la main-d'œuvre saisonnière. Même si, côté Beaujolais, les vendanges commencent plus tôt, à savoir ce week-end.
Des salaires peu attractifs
Ensuite, il y a les salaires. Malgré les exonérations fiscales sur les cotisations patronales dont bénéficient les viticulteurs (augmentées cette année), beaucoup continuent de payer leurs vendangeurs au SMIC, même dans des domaines prospères. Dans le Champagne, des scandales ont éclaté l’été dernier, certains ramassant le raisin pour certaines maisons prestigieuses étant payés de façon informelle en dessous du SMIC, parfois 5 euros de l’heure, comme l'a révélé une enquête du journal "Le Monde" l'an passé.
Dans ces conditions, difficile d'attirer des candidats, surtout avec les frais de déplacement, de logement et de nourriture qui amenuisent des salaires déjà bas. Les viticulteurs, confrontés à la baisse de la consommation de vin, doivent aussi faire face à la montée de la bière, désormais préférée des Français. Enfin, l'explosion des loyers dans les grandes villes rend ces jobs peu attractifs pour les citadins.
L'ambiance des vendanges c'est parfois super, c'est parfois un beau lieu d'humanité mais ca ne paie pas toujours.
Le manque d’hébergement, un obstacle majeur
Les exploitations viticoles sont souvent loin des lieux de résidence habituels des vendangeurs. Depuis 2011, les obligations en matière d’hébergement des travailleurs ont été renforcées, une mesure initialement bienvenue pour lutter contre les abus, certains viticulteurs proposant des conditions de logement insalubres.
Cependant, beaucoup de petits domaines ont du mal à fournir des solutions d’hébergement, surtout pour les travailleurs venant de loin ou sans véhicule, qui ne sont là que pour deux à trois semaines par an. Cela représente un coût important.
Si certaines exploitations peuvent se permettre un hébergement de qualité, offrent une vraie ambiance de vie et cherchent des solutions temporaires, d'autres refusent de reconnaître que pour les personnes sans véhicule, il est difficile de se rendre sur des exploitations mal desservies par les transports. D'autres fois c'est au camping sauvage ou au squat ou aux pratiques de marchands de sommeils que sont confrontés ces travailleurs et travailleuses agricoles.
C'est aussi là un changement important dans la vie de la récolte et une vraie difficulté pour attirer des vendangeurs et vendangeuses que cette question de l'hébergement. Des groupements viticoles essaient de trouver des solutions ainsi que les intercommunalités. Mais ce n'est pas simple, malgré beaucoup de bonnes volontés;
De plus, certains viticulteurs, en plus de ne pas offrir d'hébergement, ne nourrissent pas non plus celles et ceux qui sont sur place et sans solution pour trouver de quoi manger à proximité. Pire: certains vendangeuses et vendangeurs (c'est certes devenu rare par rapport à il y a quelques dizaines d'années) doivent parfois payer leur employeur pour des repas déduits de leur paie pendant que d'autres, au contraire, régalent gratuitement d'excellents repas celles et ceux qui viennent ramasser le raisin dans leur exploitation.
Des conditions de travail dures
Les conditions de travail ne sont pas en reste. Les semaines de 60 heures et la possibilité de travailler 15 jours d’affilée sans repos (décision prise cette été par la gouvernement démissionnaire de Monsieur Attal et son ministre démissionnaire Marc Fesneau) peuvent sembler attractives pour ceux qui veulent en finir rapidement et rester moins longtemps sur l'exploitation, mais elles présentent des risques évidents pour la santé et le bien-être des travailleurs. Ces dérives, tolérées sous prétexte d’efficacité et de s'adapter à un temps de travail court et dense, peuvent pousser les travailleurs à chercher d'autres offres. Dans le Beaujolais où la vigne est basse, quinze jours sans repos, ça demande un dos en belle forme.
Le poids des mauvaises pratiques
Si les vendanges, c'est souvent de beaux moments, certains viticulteurs n’ont pas fait l’effort de rendre les vendanges attractives. Certes, il existe des producteurs respectueux, soucieux du bien-être de leurs travailleurs. Il m'arrive d’ailleurs d’aller vendanger par plaisir entre amis chez des viticulteurs que je connais, et c'est toujours un plaisir. Mais lorsque je faisais cela comme job étudiant, je me souviens bien de ces journées dans les vignes. Au-delà de l’expérience sympathique, le retour à l’exploitation réservait souvent des mauvaises surprises : des heures non comptabilisées, une paie bien plus basse que prévue, des repas facturés, et même l’obligation d’acheter des gants de protection au viticulteur, à un prix trois fois supérieur à celui du Auchan de Villefranche.
Si beaucoup de ces pratiques ont évolué en bien, d’autres exploitations continuent d’abuser. Et n'aident pas non plus cette jolie profession, pleine de gens supers et de beaux moments, à recruter.
Retrouvez tous les billets de Romain Blachier sur son site.
Romain Blachier
les cadences de travail etaient plus cool y a tres longtemps :c est les 35 heures qui ont cloue les clous du cercueuil et qui ont induit l esclavage dans les usines ,avec des travaux devalues...en plus de l arrivee des commandes numeriques
Signaler Répondrebin moi ,je te laisse l audi et je prends la polonaise!!! (celle qui en buvait tous les jours au petit dejeuner:allusion tontons flingueurs pour delogu)
Signaler Répondreet une audi polonaise§
Signaler Répondreen gros vous êtes en train de raconter que des gens passaient 15 jours à bosser comme des malades dans des conditions scandaleuses (pas d'eau chaude...) pour être payés 50 francs (7,5 euros) au black....
Signaler Répondreet vous trouvez ca génial....
et après les viticulteurs, au lieu d'améliorer un peu les conditions, se plaignent de manquer de main d'oeuvre et se plaignent de ne pas trouver et demandent à ce qu'on force les chômeurs à accepter leurs conditions d'esclaves.
les mecs qui quelques soit le sujet reviennent à leur délire sur le hallal...
Signaler Répondrevous avez pensé à consulter?
Ouais mais c'est fini.
Signaler RépondreC'est la réforme du chômage de Borne et Macron qui ont foutu le bordel, puisqu'avant on pouvait avoir le chomdu en faisant les vendanges, plus maintenant donc allez vous faire et vous avez qu'a faire venir vos migrants pour faire le taff pas cher mais comptez pas sur vos pigeons habituels
Signaler RépondreExcellent, ça transpire la jalousie et la frustration.
Signaler RépondreAh bon?
Signaler RépondreJ'ai vu un reportage aux infos la semaine dernière,
Les sans papiers attendent devant les grandes enseignes de bricolage pour être embauchés
C'est bizarre, tout le monde le voit, mais que fais la police? la sieste?
Non attendez, travailler , suer sang et eau pour gagner moins qu'un chouf? non mais vous rigolez 🤣🤣🤣
Signaler Répondrela philosophe Katy Perry disait: « L'avenir appartient à ceux dont les ouvriers se lèvent tôt ». Les immigrés ont compris le système Français depuis bien longtemps
Signaler RépondreComment ces soit disant "bien-pensants" peuvent-ils défendre des vendangeurs qui violent les propriétés privées et plus généralement les lois françaises? Ils n'ont qu'à accueillir chez eux ces personnes ( mais bien sûr ils ne le feront pas) Combien y avait'il d'OQTF parmi ces vendangeurs ? La préfecture ne fait qu'appliquer la loi française alors que ce monsieur Doucet ne fait que créer du chaos et de l'anarchie. Honte au maire de Lyon pour s'opposer à la justice française.
Signaler RépondrePeu importe la nationalité des vendangeurs ...
Signaler RépondreLe problème : c'est le respect de la propriété et de la propreté ! Certains sont moins ptopres que d'autres car c'est leur culture.
Il serait intéressant que les les édiles voient leurs habitations squattées, là, nous aurions des réactions !
Mon grand père me racontait . L ' Ancienne génération ne faisait pas tant de chichis pour les vendanges, levés à 6h , ( petit )
Signaler Répondredéjeuner, une grosse assiette de charcutailles , dont la fameuse rosette maison , grosse comme le bras , du bon gros pain de campagne, du calendos, avec un bon canon de rouge et au boulot, À 13 h tous à la même grande table en bois sans nappe, ils avaient tous très faim , grosses portions bourative de rata , fromages , pinard,
café, ils étaient prêt pour tous repartir au taf. Le soir, grosse fatigue et courbatures. Une bonne nuit de sommeil à dormir dans la grange sur la paille à 5 bonhommes, le matin debarbouillage souvent à l'eau froide. Ensuite une autre journée les attendait. Ils ne rechignaient pas à la tâche . Un petit billet a la fin , glissé dans la poche avant de partir. C'était le bon temps, tout le monde était heureux, souvenirs inoubliables approuvés par ma grand-mère.
Des papiers en règle, c'est sur ?
Signaler RépondreTu as jamais du faire les vendanges! Va dans les vignes, pour voir si il y a que des étrangers!
Signaler RépondreA Villefranche , les feignants sont au troquet avec leur café et leur verre d'eau
En attendant que leur rsa soit versé sur leur compte!
Cest vrai , mais pour faires les vendanges il faut des papiers, alors....
Signaler RépondrePourquoi vous n'y allez pas puisque ça vous fait tellement envie ?
Signaler Répondre37% des français non musulmans font de même et ne veulent pas faire les vendanges.. mais cela veut dire que l'on a posé la question a des musulmans et que l'on compare à un groupe dans lequel on mélange les autres confessions ET les athées !
Signaler RépondreSi les athées - qui répondent forcément non, puisque sans religion - représentent une moitié du groupe "témoins", les cathos, juifs, bouddhistes (etc.) du dit groupe témoins sont les seuls à pouvoir répondre "oui" et les 37% ne sont donc que sur la moitié de croyants non musulmans.
Donc pour 50% d'athées qui placent la république devant la religion à 100%, on a 37x2=74% des jeunes des autres religions qui mettent leur foi avant la république : c'est exactement le % trouvé pour les musulmans !
si vous demandez à un croyant sincère (qui pense donc être dépositaire d'une vérité divine révélée) s'il met sa religion au dessus des lois des hommes, il va forcément vous répondre "oui" ! c'est le principe même de la religion !
Je lirai donc plutôt ce sondage ainsi : seuls 74% des jeunes de moins de 25 ans se disant musulmans mettent la religion au dessus des lois (et ils sont donc athées !)
"Et dès le premier jour de vendanges les dealers passent le soir , le cannabis et autres drogues c'est très efficace contre le mal de dos..."
Signaler RépondreLa drogue est dans les vignobles.
Merci pour ce constat alarmant mais tellement réaliste malheureusement
Signaler RépondreA bas la drogue qu'est le pinard, à bas les viticulteurs qui ne sont rien d'autres que des dealers.
Signaler RépondreOn a pas besoin de migrants! On a assez de chômeurs et de rmistes!
Signaler Répondre"il y a beaucoup d'offres d'emploi dans différents domaines et certaines avec un bon salaire qui ne trouvent pas preneur"
Signaler RépondrePeut-être parce parce que les offres ne correspondent pas aux profils des demandeurs ? Et non, on ne se reconverti pas aussi facilement passé 40 piges, c'est même très difficile.
Vous mettez le doigt où ça fait mal, dire qu'il y en a qui en font tout un combat, celui d'une vie qui est d'imposer les saucisses halal dans les cantines au nom de la laïcité.
Signaler RépondreC'est eux les vrais obsédés.
Moi je préfère les saucisses à l'ail.
on peut aussi préférer le Jésus. ^^
Signaler RépondreVoilà pourquoi les enfants fuient les cantines , et pour cause trop de halal.
OUI! Plutôt que d'aller travailler et faire les vendanges , Ils préfèrent toucher des allocations et aller frayer avec nos femmes
Signaler RépondreSemaine de 13 jours d'affilé sans jour de repos votée en scred par le gouvernement, payée une misère pour un boulot qui te casse le dos, sous le cagnard, pas cette année mais l'année dernière un homme est mort d'hyperthermie. Au lieu de se plaindre, les viticulteurs n'ont qu'à payer plus. Sinon, il y a plein de migrants dont on ne sait pas quoi faire...
Signaler RépondrePour trouver des bras c'est pas compliqué! Il y a 2 millions de personnes au rsa!
Signaler RépondreDonc, ou ils vont bossés ( je parle pas de ceux qui ont des problèmes de santé )
Ou, on leur supprime le rsa
Avant les gens allaient bossés, aujourd'hui il y a trop d'aides!
On demande de plus en plus aux gens qui travaillent de payer pour les assistés
On en a marre!
Les agriculteurs n'ont jamais été des "philantropes" les vendangeurs viennent pour travailler et doivent être rentable !
Signaler RépondreEt il faut reconnaitre que la jeunesse citadine , sauf les sportifs , n'est plus adaptée à ce type d'effort.
Absence de logements ? les controles sont passés ...et mettre aux normes un logement qui ne sert que 15 jours par an ?
Les repas ? souvent les compagnes préfèrent garder leur emploi en dehors de l'exploitation...pour garantir un revenu dans le foyer...
Après 50 ans dans ce milieu , les évolutions qui me troublent le plus :
Malgré une forte exonération sur les charges salariales (pour le patron mais aussi aux dépens du salarié) on voit de plus en plus de vendangeurs mais aussi de ramasseurs de cerises qui viennent avec des agences d'intérim des pays de l'est, le vigneron règle juste une facture...avec un cout horaire plus faible , ces travailleurs sont autonomes et viennent en mobile-home ou caravanes...
Et dès le premier jour de vendanges les dealers passent le soir , le cannabis et autres drogues c'est très efficace contre le mal de dos...bière à volonté...faut surveiller que les acomptes ne dépassent pas la paie finale pour certains !
L'histoire des 60 heures c'est pour ce type de travailleurs ou en cave , un vendangeur normal ne tient pas physiquement avec un tel horaire !
Peut-être à cause des aides sociales, distribuées un peu trop généreusement sans aucun contrôle
Signaler RépondreLACHE NOUS LA GRAPPE
Signaler RépondreIls sont surtout musulmans.. jamais ils n'iront faire les vendanges.
Signaler RépondreEt la jeunesse est surtout.. précieuse, genre 3.0, pomponée, citadine.. il s'agit d'aller au champs ruiner des baskets à 150€ qu'elle a déjà, avec des bestioles, et elle craint de ne pas avoir de réseau pour le téléphone à 500€ qu'elle a déjà.. ça joue aussi une jeunesse 100% connectée et gâtée, tout simplement.
Les vendanges c'est un truc de vieux.
Et les jeunes prêts à s'abimer les mains bossent dès 16 ans à temps plein.
Des générations de feignants qui vivent sans trop réfléchir d’un peu de travail et de beaucoup d’assistanat comme ont les à Habitués de tout petits. L’enfant roi français n’a pas à se salir les mains, ont l’accompagne à l’école jusqu’au bac , ont lui beurre les tartines, ont lui donne l’argent de poche, il vous insultes, mais cela vous fait rire, il a tous les droit , même d’insulter les voisins , de mal se tenir du fait du manque d’éducation, de se rouler par terre et de faire un caca nerveux pour Toujours avoir ce qu’il veut . Le parfait enfant gâté qui n’a aucune honte ni dignité ni empathie pour personne, même pas pour sa mère , alors comment voulez vous vous qu’il respecte son entourage et les personnes dans sont quotidien ?
Signaler RépondreHeureusement que les travailleurs étrangers sont là, avec une culture différente pour faire les travaux les plus pénibles de notre société de loisirs ou la CAF fait vivre des familles monoparentales aux mères en multipropriétés qui sont enceintes tous les 2 ans et vivent grassement de cette progéniture sans pères ni repères pour ses enfants des Allocs .
Qui en veut ?
Signaler RépondreC est pour les boomers
Faire les vendanges = bosser comme dealer. Zéro pitié pour les vigIGNOBLES.
Signaler RépondreIls sont gentils ces jeunes dans les quartiers. Ils ouvrent la porte de l'entrée aux mamans qui reviennent des courses.
Signaler Répondreil y a une baisse globale de l'alcool y compris chez les françaises et françaises qui boivent, ce n'est pas forcément toujours réligieu
Signaler RépondreLes réglementations des entreprises évoluent : là où le vin était de rigueur entre collegues, il est prohibé dans un grand nombre d'entreprises. Les préoccupations de santé aussi jouent.
Depuis 60 ans, la consommation d'alccool a chuté de 60 %. Les cetaitmieuxavantonsavaitsetenir étaient de gros gros buveurs.
concernant le vin, c''est lui qui porte le gros de la baisse on passe d'une consommation de 127 litres de vin. par adulte à 47....alors que la biere et les spiritueux sont restés stables. D'ailleurs aujourd'hui la boisson préférée des franiçais est la biere et plus le vin.
quelques chiffres https://fr.statista.com/themes/3063/la-consommation-de-vin-en-france/#editorsPicks
Avant de parler. Des machines il y en a plein le beaujolais depuis que c'est autorisé. Et heureusement au moins elles font pas chiierrr leur monde
Signaler Répondrej'peux pas, j'ai prière ce soir !
Signaler RépondreCette jeune personne prête à donner des leçons aux autres peut accueillir dans sa maison si elle souhaite mais qu’elle ne parle pas au nom des français qui n’en peuvent plus de cette submersion d’immigration clandestine et illégale et qui génère énormément d’insécurité au quotidien!
Signaler Répondrememe tes amis d'extreme droite emploient des étrangers dans leurs vignes de riches bordelais. arrete de délirer. En plus il les héberge en violation de la loi.
Signaler Répondrehttps://rue89bordeaux.com/2022/11/le-depute-rn-gregoire-de-fournas-rattrape-par-ses-travailleurs-etrangers/
BLACHIER m'apparait beaucoup plus séduisante que Sylvie Tellier, sans maquillage elle est ravissante ,mais pour le reste, ca vole pas haut
Signaler RépondreHalala... dur de faire un monde harmonieux avec un outil basé sur l'exclusion ?
Signaler RépondreVos enfants, bientôt soldats pour soutenir ce système de débiles ?
Il a bien raison à propos des migrants !Trop c'est trop ! Ils ont la CMU,un appart,une CB avec 20,00 euros par jour etc etc ....
Signaler Répondreun bon salaire un smic à te casser le dos 60 heures par semaine? ben vas le faire
Signaler RépondreDes vendanges non mais vous rigolez? les immigrés préfèrent les dégradations de commerces tenus par racisés, viol, agressions multiples, coups de couteaux..
Signaler RépondreLes 1er responsables de l' insécurité autour de la Montée du Change sont les nazillons occupant les Remparts/La Traboule.
À Lyon, Paris et Marseille, Montpellier, 39%, 48%, 48% et 55% des actes de délinquance sont le fait d’étrangers, alors qu’ils représentent 7,7% de la population résidente en France
Ce qui fait mal à des gens comme toi, c'est de constater que votre modèle de société ne fonctionne pas et que beaucoup de français (et pas que d'extrême droite, n'en déplaise à ton obsession compulsive) s'en rend compte.
Signaler RépondrePlus de 700 quartiers dits sensibles en France (tu sais, là où tu ne vas jamais...)
120 attaques au couteau par jour (aucun homme politique n'a démenti ce chiffre)
Des centaines de victimes du terrorisme.
Des émeutes qui ont touché les grandes villes comme les petites villes il y a quelques mois (dans tout le pays)
Et j'en passe, et j'en passe... (les fameux regards pour une clope, les femmes en mini jupe constamment emmerdées...)
Ton modèle idéaliste, immigrationniste est bien beau dans le fond mais concrètement rien n'y fait, on voit bien que ça ne fonctionne pas.
Même des pays pourtant "bisounours" / tolérants font machine arrière. Regarde en Scandinavie.
Il y a 10 ans, ils faisaient la morale à la France, au final niveau accueil ils ont pas su faire mieux. Le taux de criminalité a explosé en Suède notamment...
Enfin bon, restes dans ton monde, fais nous croire ce que tu veux, mais on sait très bien que tu dois pas trop traîner aux Minguettes, au Mas du Taureau, à la Guillotière...
Les vignerons ont malheureusement arrêté la production de blanc . Pas étonnant qu'il n'y ait plus de volontaires pour des assemblages douteux
Signaler Répondre"surtout avec les frais de déplacement, de logement et de nourriture qui amenuisent des salaires déjà bas""Enfin, l'explosion des loyers dans les grandes villes rend ces jobs peu attractifs pour les citadins."
Signaler RépondreCe qui me fait rire c'est que le Parti Radical de la grande époque pointait déjà le problème... c'est dire que le problème date. Perso j'attend pas d'amélioration, on pointe les pb depuis deux siècles et rien ne se passe...
"Les viticulteurs, confrontés à la baisse de la consommation de vin, doivent aussi faire face à la montée de la bière"
La population qui boit baisse surtout car celle qui boit à tendance à régresser d'après les études sur les stats et c'est donc celle qui vient d'un autre état avec une religion qui l'interdit avec un taux de natalité légèrement plus haut qui provoque surtout cette baisse de conso, et le fait qu'il y'ait plusieurs millions de personnes qui ne boit a provoqué aussi un changement de mœurs. La raison du changement de conso est marginal et est multi-factorielle, il ne faut trop regarder la bière, ça serait tirer une analyse trop rapide.
"Le manque d’hébergement, un obstacle majeur"
Bruno Le Maire en est venu à cette conclusion après une semaine quand on a vérouillé pendant la quarantaine de 2020 et qu'il appelait auparavant des volontaires à faire les vendanges, il a dit que ce genre de jobs c'était pour les gens habitant à proximité et que ça n'avait pas de sens de faire appel à tous les chômeurs n'importe où...
"Des groupements viticoles"
Finalement quelqu'un s'est rendu compte qu'il restait plus qu'une solution pour embaucher et mettre en commun ses ressources, et c'est celle que je conseillais comme quoi on me crache beaucoup dessus mais...