Accusé d’avoir joué un rôle clé dans les violences qui ont suivi la réforme électorale en Nouvelle-Calédonie, le chef de la Coordination des Actions de Terrain (CCAT) a été désigné président du Front de Libération Nationale Kanak et Socialiste (FLNKS) le 31 août dernier.
Il est mis en examen pour avoir organisé des émeutes violentes qui ont secoué la Nouvelle-Calédonie à partir de mai, ainsi que pour complicité de tentative de meurtre et vol en bande organisée avec arme.
Il est le dernier des 7 militants indépendantistes incarcérés en métropole depuis fin juin à être entendu par la juge d'instruction.
Éloignés de la Nouvelle-Calédonie pour des raisons de sensibilité procédurale, cinq d’entre eux seront entendus dans la matinée ce jeudi à huis clos.
faudrait qu y se sortent d abord les doigts du C.L...
Signaler Répondre...et l autre... sitting bull ?(taureau assis)
Signaler Répondrehi,hi,hi
Signaler Répondreoui mais sans pognonet avantagesqu'ils se debrouille seul
Signaler Répondremais il lui manque le beret et la barbe :comme... l abbe pierre?
Signaler RépondreUne bonne tête le mec.
Signaler Répondrenon:en pirogues
Signaler Répondre"un con qui marche va plus loin que deux intellectuels assis"...hi,hi,hi
Signaler RépondreCensurer un comm qui relate les risques sur une base historique des expériences précédentes et censurer les affaires qui ont été dites sur france inter, canal + et dans la revue fiduciaire c'est pas normal. Vous censurez la vérité et vous apportez un risque en renforçant la gauche dans sa fausse croyance.
Signaler RépondreEt c'est pas un petit risque vu ce qu'il se passe là bas...
Il n'y a qu'à leur donner l'indépendance
Signaler Répondreha bon..........c est le FLK maintenant?...y zont changé de raison sociale?
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