La cour d'assises spécialement composée de Paris a rendu sa décision ce vendredi. Farrah Z., 34 ans, a été condamnée à neuf ans de prison pour participation à une association de malfaiteurs terroriste, indique le parquet national antiterroriste à l'AFP.
Son parcours débute dans la région lyonnaise, ou elle y passe son enfance avant un départ pour Londres avec son père. Là-bas, elle se radicalise au début des années 2000, alors que la capitale britannique connaît une vague de départs vers les zones de conflit syriennes.
Entre 2013 et 2021, Farrah Z. s'établit successivement en Turquie, à Dubaï, au Qatar, et effectue plusieurs séjours en Syrie. Mariée à deux combattants, dont l’un appartenait au groupe djihadiste al-Nosra, elle revient en France en 2019 avant d’être interpellée en janvier 2021.
Lors de son procès, elle a reconnu avoir été radicalisée, mais a nié toute adhésion à l'idéologie djihadiste. Le parquet avait quant à lui requis 11 ans de réclusion assortie d'une période de sûreté des deux tiers. Elle devient la vingtième femme condamnée en France depuis 2012 pour avoir rejoint une organisation terroriste.
Déchéance de nationalité et oqtf effective dans les 15 jours
Signaler Répondreretour au pays d origne OQTF
Signaler Répondren'entendez vous pas dans nos campagnes mugir ces féroces soldats ..............
je vais me faire censuré
Comme par hasard elle revient en FRANCE et elle a le culot d'affirmer qu'elle ne partage pas l'idéologie djihadiste ? elle ne nous prendrait pas pour des niais par hasard ? évidemment la soupe est bonne ici meilleure qu'en Syrie ,Turquie ,Dubai etc......
Signaler RépondreÊtre prêt à tuer pour une idéologie est juste incompréhensible, insupportable de tolérer des propos putrides haineux notamment ceux que propage la gauche, les radicalisés sont des dangers, lorsque j’entends Lfi dire écrire qu’il faut plus de radicalité plus de divisions plus de haine en toute impunité je ne m’étonne plus que des esprits tordus fragiles se laissent entraîner dans des délires meurtriers, comme si nous n’avions pas assez de malheurs de violences il faut qu’ils en rajoute. Ce monde est fou.
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