Elle doit comparaître ce lundi après-midi devant le tribunal correctionnel de Nice pour des faits remontant à plusieurs années. Déjà impliquée dans différentes affaires de cyberharcèlement, cette fois-ci, elle n’est plus la victime, mais bien sur le banc des prévenus aux côtés de trois anciens collègues.
La procédure concerne sa gestion de la société de courtage en assurance BA&CO, entre le 30 janvier 2014 et le 31 juillet 2015. Placée en garde à vue il y a un an, celle que l’on surnomme « la mère » des influenceurs est depuis sous contrôle judiciaire, avec interdiction de gérer une entreprise et obligation de pointage.
Après avoir été la cible de cyberharcèlement de la part de nombreux internautes, mais également du rappeur Booba dans son combat contre les « influvoleurs », Magali Berdah a dû faire face à de multiples attaques. Le rappeur l’a accusée de pratiques commerciales trompeuses, accusations auxquelles elle a répliqué en déposant plainte. L'enquête déclenchée contre elle a été classée sans suite, tandis que Booba a été mis en examen il y a un an pour harcèlement moral en ligne aggravé.
Pour rappel, Magali Berdah a fondé l'agence Shauna Events, spécialisée dans la mise en relation entre les marques et les influenceurs, principalement issus de la téléréalité. La Lyonnaise a déclaré à Nice Matin qu'elle se sentait sereine sur le plan judiciaire pour le procès de ce lundi, mais s'inquiétait pour sa sécurité : "Des gens m’interpellent sur les réseaux sociaux pour me dire qu'ils seront à Nice ce jour-là, qu’ils m’attendront au tribunal...".
Et pourquoi tu as pris la peine de commenter ? Après avoir LU l'article, bien sûr, pour parle de ce que tu connais...
Signaler RépondreC'est comme pour Sarko, ça multiplie les recours et autre procédés visant a retarder le jugement final.
Signaler RépondreEnsuite, on pleure que la justice est lente.
Si elle a travaillé dans ce secteur, c'est qu'elle est loin d'être aussi sotte que la plupart des "influenceurs".
Signaler RépondreCes réseaux sociaux attirent beaucoup de malfrats de ce genre, c'est trop facile avec tous ces pigeons en ligne ;-)
Signaler RépondreToujours les mêmes,quand il s’agit d’escroqueries!!
Signaler RépondreRidicule de parlez sur 2 lignes de son escroquerie et le reste de la faire passez pour ce qu'elle n'est pas "une victime " cette femme est une voleuse. Mais comme elle a de belle relation politique elle n'aura encore une fois rien ce procès est juste une mascarade
Signaler RépondreUne qui manque pas d air a faire la promotion des influ-arnaqueurs.
Signaler RépondreAprès le côté pile, c'est l'autre face qui intéresse.
Signaler RépondreDIX ANS !!!! Et après, on nous dit que la justice fonctionne !!!
Signaler RépondreOn s'en fout complètement !
Signaler RépondreYa pas a dire, etre en paix avec soit meme et les autres si possible, ca n'a pas de prix .Une bonne nuit de someille ca vaut tout l'or du monde.
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