Le nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes s'est rendu à la cité scolaire Sembat-Seguin de Vénissieux, qui avait été attaquée par plusieurs centaines de jeunes armés de mortiers d'artifice dans la matinée.
Le discours de l'élu LR a effrayé l'intersyndicale CGT FO SNES Sud, qui souhaite éviter des "discours racistes" ou des "punitions collectives".« Si on vient nous attaquer il n’y a pas de raison que l’on vienne vous accompagner», assure @Pannekouckefabr #Vénissieux pic.twitter.com/fVtU8WiaN4
— Lyon Mag (@lyonmag) October 3, 2024
En faisant miroiter l'arrêt de l'accompagnement de la Région envers les jeunes casseurs, Fabrice Pannekoucke n'a pas marqué des points auprès des syndicats, qui le jugent dans un communiqué comme étant "en complet décalage avec les attentes des personnels". Selon eux, cela "revient à enfoncer plus encore la tête sous l’eau des personnels et des élèves déjà affectés par ces incidents graves. L’immense majorité de nos élèves n’a qu’une envie : réussir, construire sa vie, obtenir son diplôme et pouvoir contribuer activement à la société. Cela, alors même que les conditions matérielles et sociales auxquelles ils et elles sont confrontées se dégradent".
"Personnels et familles travaillent ensemble à faire grandir et réussir les jeunes accueillis, à combattre les comportements inacceptables, mais les pouvoirs publics ont une responsabilité : fournir les moyens d’une éducation de qualité et de conditions de travail sereines, à Vénissieux comme ailleurs", conclut l'intersyndicale, qui évoque des baisses de moyens et des explosions des effectifs depuis de nombreuses années dans l'établissement.
Parfait , la parabole de l'arroseur arrosé ! ou celle de ceux ...qui sèment le vent récoltent la tempête....
Signaler RépondreLes syndicats feraient aussi de se poser la question pourquoi les personnes qui choisissent les candidats à l'admission en BTS, refusent systématiquement les élèves qui viennent du privé ?
Signaler RépondrePeut être ont ils peurs qu'ils ne soient pas des fouteurs de merde, ou que cela les empêchent de venir se plaindre du manque de mixité sociale, entretenue par eux même ?
Et puis quand cette même équipe organise une journée porte ouverte pour les sections BTS, ce serait pas mal de préparer un minimum la journée, et de faire preuve d'un minimum de professionnalisme.
L’éducation nationale noyautée depuis des années par les dogmes gauchistes doit assumer aujourd’hui de se faire dévorer par les monstres qu’elle à crée. Je me souviens qu’ils ne voulaient ni ordre, ni police ni sanctions, toujours tirer vers le bas aussi bien en matière de connaissances que de respect, et d’ordre, le pas de vague qui se transforme en tsunami, vous avez voulu cette société, vous continuez a faire encore de l’entrisme ma foi tout comme nous autres qui subissons vos conneries avec injonction de se taire faites comme nous 🤷🏻♀️
Signaler Répondre"Arrêt de l'accompagnement" ça veut dire quoi concrètement ?
Signaler RépondreLes profs veulent encore plus de LFI et plus de bordel devant les lycées. Ils sont ravis de cette situation et détestent l'idée de sanctionner ces voyous, ces délinquants. Ils obtiendront ce qu'ils souhaitent. Les français qui veulent que leurs enfants puissent bosser en cours mettent leurs enfants dans le privé depuis déjà 30 ans.
Signaler RépondreÀ l'origine, nos Topaze d'aujourd'hui partent de bons sentiments, sociaux et généreux. Ils ont eux-mêmes été formés par des enseignements politiquement marqués (litote). Ils se heurtent nécessairement au réel. Or ils ne peuvent attendre aucun soutien de la part de quiconque. Ils se radicalisent alors dans une position victimaire et souffrent de scotomisation en perdant le contact avec la réalité. Quant à leurs syndicats, ils n'obéissent qu'à des idéologies politiques sans prendre en compte de manière constructive les aspects professionnels, ce qui devrait être leur vocation. Mal payés, méprisés, soumis aux absurdités administratives et aux aberrations pseudo-pédagogiques, nos enseignants sont envoyés en première ligne sans arme ni armure. Dès lors, pourquoi s'étonner de la crise du recrutement et, ce dont on parle moins, des nombreux abandons de carrière ?
Signaler Répondreje cite :
Signaler Répondre"L’immense majorité de nos élèves n’a qu’une envie : réussir, construire sa vie, obtenir son diplôme et pouvoir contribuer activement à la société."
donc mettons hors de nuire la minorité d'emmerdeurs et avançons . Ce n'est pas en embauchant des dizaines de fonctionnaires supplémentaires que ca changera quoique ce soit ; on a déjà donné : les effectifs de l'éducation nationale sont passés de 1 million en 97 (lorsque Claude Allègre voulait dégraisser le mammouth ) a 1,2 million en 2023 (dont 853 000 enseignants )
Caïds dealer votre armée est en formation ..
Signaler RépondreCreuser des tunnels vers Lyon
En quoi arrêter d'accompagner les casseurs changera quoi que ce soit pour un jeune voulant "réussir, construire sa vie, obtenir son diplôme et pouvoir contribuer activement à la société" ?
Signaler RépondreAu contraire, il faut taper dans le tas, réaliser des sanctions collectives et aléatoires!
Signaler RépondreIl faut diviser ces populations, au lieu de faire la guerre à la France, faites la guerre entre vous, divisez vous, dénoncez vous entre vous. Il faut instaurer ce genre de climat, ton voisin est peut être la personne qui t'enverra en prison
Que des profs soient davantage choqués par un discours de fermeté face à des sauvages que par le fait qu’on leur tire dessus avec des mortiers en dit long sur la dhimmitude du corps enseignant. C’est bien connu que le gros souci des lycées de banlieue, c’est l’extrême droite !
Signaler RépondreQuand ces gens comprendront qu ils se sont eux mêmes mis la tête sous l eau depuis 40 ans , il pleuvra de la choucroute
Signaler RépondreLe discours de l'élu LR a effrayé l'intersyndicale CGT FO SNES Sud ?? Pourquoi font ils référence à des "discours racistes" ??
Signaler RépondreLFI, NPA, EELV soutiennent les racailles parce que ces extrêmes gauchistes pensent a raison qu'ils votent pour eux. Mais il faut que ces mouvements politiques aient bien conscience que la première chose que font toujours les minorités lorsqu'elles accèdent au pouvoir, c'est d'éliminer en premier lieu les intellectuels, les écoles, les journalistes, ceux qui pensent et réfléchissent. D'attaquer une école en est la parfaite illustration !
Signaler RépondreIls n'ont qu'à mettre la cantine uniquement halal dans ce collège comme les commerces dans cette ville, ça calmera les esprits ;-)
Signaler RépondrePourquoi les syndicats craignent ils un discours racistes ? Ces actes de quasi guerre civile sont ils le fait de personnes racisées, exogènes, aux mœurs chariatiques ou pas ?
Signaler RépondreCertains quartiers de l'ancienne France sont des puits sans fond ! Je n'ai pas envie de payer pour remettre en état le résultat de leurs œuvres...
Zoom zoom dans l'avion !