S'il peut accueillir jusqu'à 70 personnes, il n'y avait plus que 33 mineurs présumés à l'arrivée des forces de l'ordre.
La maire écologiste du 1er arrondissement de Lyon Yasmine Bouagga a annoncé avoir offert "un petit déjeuner solidaire" aux expulsés, tandis que le CCAS de la Ville de Lyon "assure leur accueil inconditionnel dans ses lieux d'aide sociale, bains douche et restaurant social".
"Nous demandons aux autorités préfectorales des solutions de mise à l'abri immédiate", rajoute Yasmine Bouagga, qui estime que "nul ne doit s'accommoder de cette indignité".
Une position partagée par des groupes des majorités de Grégory Doucet et Bruno Bernard à la Ville et Métropole de Lyon. Dans un communiqué commun, écologistes, socialistes et communistes appelle l'Etat "à prendre ses responsabilités" après l'évacuation du squat Neyret.Ce matin, petit déjeuner solidaire à la @Mairie1Lyon avec les jeunes expulsés du squat du 13 rue Neyret, à la veille de la trêve hivernale. Une opération qui met en danger 70 jeunes en recours de minorité. Les élu.e.s demandent des solutions de mise à l'abri dignes. CP 👇🏽 pic.twitter.com/Of2u2qpU0k
— Yasmine Bouagga (@yasminebouagga) October 22, 2024
"Faute d'hébergement, ces jeunes vont se retrouver dans une situation d'extrême vulnérabilité, risquant ainsi d'interrompre leur parcours de scolarisation et d'intégration". "Assurer un droit à la dignité et protéger les plus vulnérables, nous ne renonçons pas, même quand le contexte politique se fait de plus en plus hostile", concluent les élus de gauche.
Mais si vous voulez être solidaire Madame Bouagga, donnez votre argent personnel!
Signaler RépondreLes Français vont bientôt plus pouvoir bouclés leur fin de mois, et vous gaspillé l'argent du contribuable!
le dernier repas du condamné?..a-t-elle offert le dernier verre de schnapps et la derniere clope?
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