La Ville de Lyon avait fait évacuer deux gymnases occupées par des femmes à la rue, provoquant la colère du collectif "Solidarité entre femmes à la rue". Grâce à la médiation de la députée écologiste Marie-Charlotte Garin, un accord avait été trouvé, portant sur 60 places d'hébergement qui seraient réservées à des femmes en détresse, qui seraient au total 160 recensées dans les rues lyonnaises.
Mais le collectif organise une manifestation ce mercredi matin à 10h devant l'Hôtel de Ville, car il ne voit toujours rien venir. "Depuis que Sandrine Runel (l'ex-adjointe aux Solidarités ndlr) est devenue députée, plus de nouvelles. Sa remplaçante Sophia Popoff ne semble même pas au courant de ces promesses !", s'insurgent les membres de "Solidarité entre femmes à la rue".
Où sont les places d'hébergement pour les femmes du collectif promises depuis le mois de juin par @SandrineRunel ?
— Collectif Solidarité entre Femmes à la rue (@CollectifSfr) October 21, 2024
Nous espérons en savoir plus mercredi.
Rdv à 10h devant @mairiedelyon pic.twitter.com/BTGQje8SKw
Quand on voit de qui il s'agit,laissez les dehors ,et retour aux pays ,comme les soi disant mineurs venus d'autres galaxies
Signaler RépondreAvec 7000€ Marie-Charlotte Garin pourrait faire un geste personnel !
Signaler Répondreen utilisant le terme 'travail ' , vous les faites fuir
Signaler RépondreVeuillez expliquer et commenter la phrase suivante :
Signaler Répondre"Avant l'été, les séquences avaient marqué, y compris au sein de la majorité".
Vous avez 2 heures et c est coefficient 4.
Bonne chance.
Forcément ils viennent tous ici. On leur donne tout et ils ont même pas besoin de travailler. On relativise quand ils sont délinquants et ils sont jamais inquiétés. Et les partis de gauche encouragent toujours plus cette immigration au nom de la soit disant solidarité. Pendant ce temps là, l’agriculteur français qui vit avec 500 euros par mois en travaillant 70 heures par semaine, par contre ça les intéresse pas trop les gauchistes.
Signaler RépondreMarie Charlotte n'a qu'à en loger chez elle puisqu'elle les aime tant
Signaler RépondreAccompagnement à la frontière avec un peu d’argent pour qu’elles soient prises en charge dans leur pays : pas d’avenir pour elles en France > stop aux prestations sociales pour les étrangers !!!
Signaler RépondreEt pourquoi pas "loger des femmes dans la rue" ?
Signaler RépondreLes pauvres sont une masse de manœuvre pour l' extrême gauche. Une fois ces femmes logées ils en feront venir d' autres pour recommencer le même cirque.
Signaler RépondreIl n'y a pas de gymnase dans leur pays? Car oui ce sont toutes des clandestins
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