Ce mardi, les forces de l'ordre ont évacué les lieux rue d'Anse, plaçant en garde à vue les deux mineures qui avaient fait changer les serrures du logement inoccupé.
Il s'avère que l'une des squatteuses était recherchée après avoir fugué de son foyer.
Au terme de plusieurs heures d'audition, les adolescentes ont été relâchées. Elles seront jugées, respectivement au printemps et à l'automne 2025.
Elles sont les nouvelles Valeurs de la féminité française..
Signaler Répondre"Elles seront jugées, respectivement au printemps et à l'automne 2025."..... Si on les retrouve !
Signaler RépondreSquats réservés aux femmes sous toutes les latitudes. Hamboyrg, Paris, Lyon, Zurich, Alger, Tunis, Pretoria, Montevideo... C'est pour demain...
Signaler Répondredans la rubrique victimes d un lubrique
Signaler Répondre...quand elles seront dans la rubrique fait divers...comme victimes.
Signaler Répondreca sera une condamnation ultra light ; autant économiser quelques milliers d'euros et quelques heures de tribunal en vaines procédures
Signaler RépondreOn the road again !
Signaler Répondre" La procédure de loi dite du droit au logement opposable (Dalo) a permis une expulsion rapide et dans les temps avant toute installation pérenne. Les deux jeunes femmes font l'ojet d'une comparution devant un officier de police judiciaire. L'une pour mars et l'autre pour septembre 2025. "
Signaler RépondreQuand on veut, on peut 👀👀
Elles seront jugées...... quand on sera capable de les retrouver
Signaler RépondreIl s'avère que l'une des squatteuses était recherchée après avoir fugué de son foyer.
Signaler RépondreAu terme de plusieurs heures d'audition, les adolescentes ont été relâchées.
Recherchée, relâchée ????????