"Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis". Lorsqu'il écrivit cette phrase, dont pourraient se revendiquer les immigrationnistes, Antoine de Saint-Exupéry était loin d'imaginer qu'il donnerait son nom à l'aéroport de Lyon. Et encore moins qu'au pied des pistes serait construit un centre de rétention administrative, aujourd'hui doté de deux bâtiments (CRA 1 et CRA 2). Soit près de 300 places destinées à accueillir les migrants sans-papier et OQTF de l'agglomération lyonnaise, mais aussi de toute la région Auvergne-Rhône-Alpes. Dans des conditions déplorables comme dénoncé par la gauche et le Barreau de Lyon ?
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Au sommaire de ce numéro 206 (novembre 2024) :
- OQTF : l'enfer à l'ombre de Saint-Exupéry ?
- Lyon, nouveau pôle de l'intelligence artificielle
- Refus d'obtempérer : l'escalade d'un fléau routier
- Lyon Femmes : ces chercheuses lyonnaises en quête des solutions de demain
- Lyon Restaurants : rencontre avec les chefs Alexis Coquard et Constance Patrina
- Lyon Foot : quand l'OL se lançait dans le sport automobile
Les CRA sont remplis d'OQTF qu'on exécuté pas, les villes débordent de migrants dont on ne sait pas quoi faire
Signaler RépondreQuand va ton prendre le taureau par les cornes au lieu de détourner le regard et de trouver des excuses a tout et n'importe quoi
Arrêtez d'être naïf
Encore un titre qui souligne l'ampleur d'une situation calamiteuse . Il suffit de faire un petit tours en ville pour constaté l'état de fait . Rien que la place Raspail situé juste après le pont de la guillotiére, souvent monopolisé par les migrants donne déjà la tonalité de ce qu'il se passe dans les autre arrondissements .
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