Ce mercredi en fin d’après-midi, aux alentours de 17h30, une opération de sensibilisation a réuni policiers et intervenants en sécurité routière au carrefour du Pont Lafayette et du Quai Augagneur, à Lyon. À l’approche de la nuit, les forces de l’ordre ont rappelé les règles de sécurité en insistant sur la visibilité, essentielle pour éviter les accidents. Une distribution de gilets jaunes était d’ailleurs organisée en parallèle, bien que cet élément ne soit pas obligatoire en agglomération, mais vivement conseillé à la nuit tombée.
“Avec le changement d’heure et la baisse de la luminosité, on observe beaucoup plus d’accidents, qui impliquent notamment les cyclistes ou les utilisateurs de mode doux type trottinettes,” a expliqué Juliette Bossart-Trignat, préfète déléguée à la défense et à la sécurité. "L’objectif aujourd’hui est de les sensibiliser aux dangers auxquels ils s’exposent."
Durant une heure, des dizaines d’utilisateurs en infraction ont été arrêtés et informés par la DIPN (Direction Interdépartementale de la Police Nationale), mobilisée pour cette action de prévention. Les infractions constatées les plus fréquentes : utilisation du téléphone, écouteurs portés en roulant, plusieurs personnes sur un même engin, ou encore l'absence de phares ou d’équipements rétroréfléchissants.
Pas de sanction cette fois-ci, l'objectif étant principalement de sensibiliser.
Si les chiffres d’accidents sont en baisse par rapport à l'année précédente, le bilan reste préoccupant. Depuis le début de l'année, 42 personnes ont perdu la vie dans le département, dont 5 cyclistes, 1 cyclomoteur, 1 EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) type trottinette. La préfète a rappelé l'importance de la prudence pour tous les usagers : "Les chiffres sont plutôt bons, avec moins de morts et d’accidents que l’an dernier dans l'agglomération et la ville de Lyon. Mais il y a toujours trop de décès ; chaque victime est une de trop."
Face à l'augmentation du nombre d'usagers des modes doux, la Préfecture du Rhône réitère son appel à la vigilance, encourageant les automobilistes et les utilisateurs de mode doux à partager la route de manière responsable. "La cohabitation avec les automobilistes doit être bien prise en compte, et c'est aussi à eux de faire particulièrement attention," a conclu Juliette Bossart-Trignat.
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Signaler RépondreEntre les innombrables infractions au code de la route des automobilistes et leurs voitures qui n'est plus aux normes, les caisses de l'Etat se rempliraient effectivement très vite. Ce n'est qu'une question de temps...
"Oui mais lé cyclist y brulent des feurouges" (sans connaître le M12).
qui s'exprime pendant son jour d'absence payé
Signaler RépondreFac de lettre en auditeur libre petit bobo
Signaler RépondreSi toutes les infractions automobiles seraient verbalisées les caisses de l'état seraient pleines
Signaler Répondrela solution est simple. le français est un animal latin pour qui les lois sont jute la pour emmerder. donc pour régler la question, il suffit d’immatriculer les vélos, obliger les cyclistes à se former au code de la route (sauf pour les déjà titulaires d’un permis routier) et appliquer des amendes dissuasives. La solution est simple et facile à appliquer mais la volonté politique n’est pas là mais cela viendra avec le temps.
Signaler RépondreC'est pourtant simple de verbaliser, un justificatif d'identité ou alors un passage au poste pour vérification,comme pour les tcl.
Signaler RépondreTes certitudes tu peux les garder pour tes amis du bar
Signaler RépondreEntendu d'un automobiliste qui s'arrête sur une piste cyclable :
Signaler Répondre"Les cyclistes m'emm*rdent, la prochaine fois je m en fais un moi !,"
Tout est là ...
Entendu d un cycliste qui roulait en ville sans lumières :
Signaler Répondre"Je n en ai pas besoin car j ai une bonne vue ,moi !,"
Tout est là ...
Il mangerait les enfants des automobilistes aussi
Signaler RépondreDoucet aurait donner l’ordre de ne pas verbaliser. Il aurait été contre cette sensibilisation pour ne pas stygmatiser les cyclistes.
Signaler RépondreUn cycliste ou trottinette qui roule sans feu arrière ou avant et en pleine nuit, ça devrait être 1 an de prison automatiquement + saisie du véhicule et obligation de suivre des cours de conduite et du code de la route.
Signaler RépondrePas certain que cette opération soit efficace. Pour être efficace il faudrait que ce type de contrôle se répète dans des lieux différents, à des heures différentes, des jours différents pour "surprendre" les infractions en flagrant délit comme les gendarmes sur les routes avec les jumelles et verbaliser. Sinon c'est un coup d'épée dans l'eau, les policiers se voient à 300m...
Signaler RépondreComme toujours, la police intervient seulement face à des gens solvables. Qd c'est des rodéos, ils font semblant de ne pas voir. On ne les vois jamais en dehors des beaux quartiers.
Signaler Répondre"Pas de sanction cette fois-ci", mais non "comme d'habitude".
Signaler RépondreContrôlés mais pas verbalisés, encore un coup de com et une opération payée par nos impôts qui ne sert a rien...
Je suis certain qu'il y a eu des automobilistes de verbalisés eux en même temps que ces contrôles.
c'est danger de la vie d'autrui ca c'est 5 ans de prisons mini
Signaler RépondrePas de délits de fuite...c'est déjà une bonne chose...Les contrôles auraient été plus pertinents sur la rue Victor Hugo,c'est impressionnant le nombre de zigotos qui slaloment en toute quiétude au milieu des piétons.
Signaler RépondreInterdisons aussi les autoradios dans les voitures !
Signaler RépondreLes automobilistes qui téléphone au volant sont dans leur bulle !
Bravo à la police nationale qui fait respecter la loi.
Signaler RépondreLa police municipale du khmaire à ordre de ne pas verbaliser les vélos.
Ce n’est pas possible faire cohabiter qui que ce soit avec des règles différentes.
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