Interpellé et placé en garde à vue dans un premier temps ce mercredi, cet habitant de l'Ain n'a pas réussi à s'expliquer clairement sur les raisons qui l'ont poussé à envoyer près de 500 courriels à France Travail. Il avait par ailleurs l'interdiction de se rendre dans les locaux de l'ex-Pôle Emploi après des altercations.
L'individu bien connu des services de police aindinois pour avoir récemment été l'auteur d'une fausse alerte à la bombe fera l'objet d'une expertise psychiatrique poussée pour déterminer s'il peut être jugé ou non.