Ce mardi 19 novembre, à 13h30, la cour d’appel de Lyon examinera le dossier de Sophie et Ilona, deux militantes écologistes du collectif Riposte Alimentaire qui avaient jeté de la soupe sur un tableau.
Relaxées en première instance en juin dernier, elles sont rejugées après l’appel formulé par le parquet. "Malgré le prononcé de relaxes en première instance pour des jets de peinture vite nettoyés, le parquet a jugé bon de gaspiller de l’argent public en interjetant appel", se désole Riposte Alimentaire.
Poursuivies pour dégradation volontaire d’un tableau en réunion et refus de se soumettre aux prélèvements ADN, elles avaient vu le procureur de la République requérir en première instance 2 mois de prison avec sursis, tandis que la Ville de Lyon réclamait 1 euro symbolique au titre des dommages et intérêts.
Mais les juges du tribunal judiciaire de Lyon avaient estimé que le tableau, protégé par une vitre, n’avait pas été endommagé, bien que le cadre ait nécessité une restauration. Ce point avait conduit à la relaxe des prévenues.
Les faits remontent au 10 février 2024 : les deux jeunes femmes avaient aspergé de soupe Le Printemps de Claude Monet, exposé au musée des Beaux-Arts de Lyon. Ce geste, filmé et relayé sur les réseaux sociaux, a été réalisé dans le cadre de la campagne de riposte alimentaire visant à "instaurer une Sécurité sociale de l’alimentation pour tous."
La cour d’appel devra évaluer si ce type d’action militante sert réellement son propos ou reste un acte gratuit de dégradation d'œuvre d'art.
Interessant cet article, « Riposte Alimentaire est en réalité financé par un fonds d’investissement américain et de grands philanthropes hollywoodiens » « Le bailleur de fonds ne se contente pas de donner : il impose un cahier des charges aux campagnes. Les généreuses donations du CEF sont conditionnées au nombre d’actions réalisées par Riposte Alimentaire et les autres campagnes de l’A22. Le fonds insiste par ailleurs sur le nombre restreint des membres de l’équipe organisatrice. Une réalité bien éloignée de la vitrine du « mouvement citoyen » affichée dans les médias par les différents porte-parole.«
Signaler Répondrequand des pays étrangers financent toutes de sortes d’activistes qui pourrissent divisent la France il faut que la justice frappe fort, les écologistes profite d’un système qu’elle passe son temps à dénoncer.
il faut montrer l exemple : direction la prison . mare de ces gauchos qui dégradent les œuvres d art , monuments historiques, tout ça pour se faire voir
Signaler RépondreJ' ai trouvé un article sur le financement de dernière rénovation devenu riposte alimentaire :
Signaler Répondrehttps://www.frontieresmedia.fr/enquetes/derniere-renovation-ecolos-financement-americain-enquete
elles avaient envie de se faire remarquer!en effet,les obliger à balayer les musées,la mairie,etc...Et payer les dégradations!
Signaler RépondreDirection le front russe pour comprendre la liberte
Signaler RépondreIl faut écouter ceux qui souillent des œuvres d'art d'après les écolos qui sont incapables de condamner ce type de vandalisme.
Signaler RépondreUn panneau explicatif aurait suffit sous l'oeuvre pour débiter leur idéologie ? 🤔
Avec une peine exemplaire pour ces incapables!
Signaler RépondreFoutez les en hôpital psychiatrique avec de bonnes injections aux fesses elles feront moins de conneries !!!!!
Signaler Répondre🙌🙌🙌 tout est dit..
Signaler RépondreFaire le ménage du musée des beaux-arts pendant 15 jours
Signaler RépondrePas de prison, juste rembourser les frais !
Signaler RépondreUn "geste incompris"? plutôt une action stupide de petites bourges voulant se donner l'impression d'exister
Signaler RépondreDeux gamines qui vont être condamnées, et c 'est bien normal. Mais où sont les responsables de cette organisation qui ont commandité cette opération débile en envoyant ces deux idiotes se faire pincer ?
Signaler RépondreElles remboursent....
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