Le 10 décembre dernier, un chauffeur de bus de la ligne C2 avait été violemment pris à partie à Rillieux-la-Pape. Son tort ? Avoir demandé à des passagers d’éteindre leur cigarette à bord du véhicule.
Après plus d’une semaine d’enquête, les forces de l’ordre avaient interpellé trois mineurs, rapidement identifiés grâce aux images de vidéosurveillance et aux témoignages recueillis. Ces adolescents, âgés de 16 et 17 ans et résidant à Rillieux, avaient été placés en garde à vue. Un des concernés a admis avoir filmé la scène avec son téléphone, mais il conteste la gravité de son rôle. Les deux autres sont suspectés d’avoir porté les coups de poing et de pied au chauffeur, qui avait souffert de contusions multiples et été placé en arrêt de travail pendant trois jours.
Leur passage devant le juge des enfants s’est déroulé ce jeudi. En ce sens, les trois mineurs sont poursuivis des chefs de "violences volontaires aggravées par deux circonstances suivies d’une incapacité totale de travail n’excédant pas huit jours". L’un d’eux doit répondre en supplément du chef de "diffusion de l’enregistrement d’images relatives à la commission d’une atteinte volontaire à l’intégrité de la personne".
Les trois adolescents ont été placés sous contrôle judiciaire en attendant leur jugement. Ce régime leur impose de respecter un certain nombre d’obligations fixées par le juge, telles que l’interdiction d’entrer en contact avec la victime ou de fréquenter certains lieux.
Pauvre choux
Signaler RépondreDes bébés électeur aux écolos et LFI
Un rappel à la loi suffira
Donc libres, vraiment n'importe quoi.
Signaler Répondre' telles que l’interdiction d’entrer en contact avec la victime ou de fréquenter certains lieux."
Signaler Répondredu vent, du pipeau,conforme a cette institution judiciaire lamentable