Entre 2012 et 2014, elle a escroqué l'unité de recherches de l'établissement, détournant plus de 170 000 euros. Elle réalisait de fausses factures avec son numéro de compte, et utilisait également la carte bleue de l'école pour des dépenses personnelles.
Un audit avait permis de remonter sa trace, menant à son licenciement.
Finalement jugée à Villefranche-sur-Saône, la sexagénaire assure avoir tout dilapidé en voyages et en achats de meubles ou de sacs de luxe.
Le parquet a requis un an de prison avec sursis à son encontre. Les juges caladois ont suivi ces réquisitions, et ont ajouté 5000 euros d'amende.
Comme disait Coluche " une sanction avec sursis ça veut dire pas de sanction.." Donc en France , on peut escroquer des centaines de milliers d'euros sans être inquiété par la justice...Cela dit ,quand on sais à quel point la Suisse est spécialiste dans le blanchiment d'argent sale ,on peut comprendre que les juges français rendent la pareille...!
Signaler RépondreMoi je dis respect, déjà elle se fait embauché comme comptable sans avoir de diplôme dans le pays en question, en plus elle arrive à se faire bien entendre pour endormir malgré la xénophobie suisse, et elle parvient à détourner en y comprenant quelque chose pour réussir. On devrait appliquer la jurisprudence Banque de France, qui dit que quand on est ni capable d'embaucher, ni de surveiller, ni d'appliquer les normes de sécu financières, que la faute est sur la boite....
Signaler Répondrebon rendement 😜
Signaler RépondreElle doit en tous cas bien se marrer en regardant ses photos de vacances à l'autre bout du monde
Signaler RépondreJ'avoue que je n'ai pas compris non plus ?
Signaler RépondreElle doit avoir un pote dans la politique côté Renaissance ;-)
Comme quoi elle a bien fait d'escroquer 170000€ si c'est pour un an de sursis et 5000 d'amende
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