Recalée lors de l'oral du concours d'entrée au centre régional de formation professionnelle des avocats, cette candidate libre estimait ne pas avoir était traitée de manière équitable par rapport aux étudiants de Lyon 3. Car la présidente du jury donnait des cours à l'université, et connaissait donc la plupart des autres candidats.
Mais après avoir gagné en première instance et en appel, elle vient de voir le Conseil d'Etat donner raison à Lyon 3, annulant les premières décisions de la justice administrative lyonnaise.
Le Conseil d'Etat a estimé que le fait qu'un seul membre du jury puisse connaître des candidats n'était pas un argument suffisant pour faire annuler ses décisions au nom d'une partialité présumée.
Bien entendu, cette affaire pose des questions plus larges sur l'équité et le traitement égal des personnes dans les sélections quelles qu'elles soient. Des commissions d'enquête parlementaire seraient nécessaires sur ces sujets. L'impartialité doit être la règle.
Signaler Répondredécidément ces jeunes journalistes ne se relisent pas ils confondent vitesse et précipitation. qu ils demandent à l IA d écrire elle le fera sans faute.
Signaler RépondreElle faisait les travaux pratiques...
Signaler RépondreElle débute mal sa carrière d'avocate ;-)
Signaler RépondreSon nom des fois qu'elle arrive éventuellement à faire son cursus pour ne pas la prendre comme avocate ?
Sont toujours difficiles a accepter, pourtant le niveau actuel est tellement bas qu’échouer devient un exploit.
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